Showing results for née nya noué nee noue n’y n’y n’y

Search Results for “양산노래방㎹ busandal72.ŊᴱΤ♬양산주점✆양산유흥 양산노래방㎹ 양산키방※양산오피” – CARE | Evaluations

Search Results: 양산노래방㎹ busandal72.ŊᴱΤ♬양산주점✆양산유흥 양산노래방㎹ 양산키방※양산오피

Evaluation d’impact Genre de la réponse de CARE à la crise du Bassin du Lac Tchad au Cameroun, Niger et Tchad

La crise du BLT, née du conflit armé au Nord Nigéria qui s’est étendu au Cameroun, Niger et Tchad a créé une crise humanitaire qui a entrainé le déplacement de 4.025.486 personnes au niveau de ces quatre pays (OIM DTM, Avril 2018). Cette crise révèle une dimension protection sans précèdent avec notamment des violences multiformes à l’encontre des femmes et de filles (kidnapping, violences et abus sexuelles, transformées en kamikaze), des violences physiques à l’encontre des hommes et jeunes garçons (décapités ou enrôlés de force dans les combats) ; la dislocation des milliers de familles a laissé aux femmes et aux enfants la responsabilité de se prendre en charge leurs familles. Cette évaluation a pour objectif d’analyser l’impact de l’intégration du genre dans la qualité de la réponse de CARE dans les trois pays du bassin du Lac Tchad que sont Le Cameroun, le Niger et le Tchad. Read More...

Protection et Appui Alimentaire aux enfants et a leurs meres affectes par la crise de Diffa

Depuis 2013, CARE1 intervient dans la région de Diffa, zone située à l’extrême Est du Niger et en proie à l’insurrection boko haram. Cette intervention répond à un appel de l’Etat du Niger et s’inscrit dans la réponse humanitaire globale face à une situation née au Nord Nigeria mais qui frappe toute la région du Lac Tchad. Le conflit a mis à terre l’économie
locale. Il a entraîné un flux important de réfugiés et retournés du Nigeria dans Diffa, particulièrement dans le sud-est. En juillet 2018, la DREC/M/R2 estimait à 249 813 personnes la population de déplacés, réfugiés, retournés et demandeurs d’asile. Pour la même année, les besoins humanitaires dressés par OCHA3 indiquaient que « 409 000 personnes ont besoin d’assistance dans la région de Diffa » : Read More...

EVALUATION FINALE: Projet d’accès à des services de protection pour les populations déplacées par le conflit du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO)

Le Projet d’Accès à des Services de Protection pour les populations déplacées par le conflit du nord-ouest et du sud-ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO) a été mis en oeuvre par un partenariat noué entre CARE Cameroun, récipiendaire principal et Horizons Femmes, pour une période de15 mois qui s’étend du 15/10/2022 au 30/03/2024 dans les départements de la Mifi et de la Menoua. L’objectif général de ce projet était d’améliorer l’accès à des services essentiels de protection pour les populations les plus vulnérables affectées (populations déplacées et hôtes) par les conflits des régions du Nord-ouest et Sud-ouest au Cameroun, dans les zones avoisinantes (Ouest), grâce à une réponse humanitaire coordonnée.
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...

At the last mile: Lessons from Vaccine Distributions in DR Congo

The Democratic Republic of the Congo (DRC) has one of the lowest COVID-19 vaccination rates in the world, with just 0.87% of people in DRC having received even one dose. While the country has received 8.2 million doses of COVID-19 vaccine, it has managed to administer 528,000 of them—just under 11% of vaccines available. In April of 2021, DRC became one of the first countries to return 1.3 million COVID-19 doses to COVAX because they could not deliver them to people before the vaccines expired.

The challenges that risked more than a million doses expiring are still in play for most of the country. In both January and February 2022, 114,705 vaccines expired in country because there was not enough investment in systems and health workers to deliver vaccines. To reach 70% of the population—62.7 million people—DRC will need to drastically scale up and accelerate COVID-19 vaccination.

CARE is working with 4 vaccination sites—2 in Butembo and 2 in Goma—to support with community mobilization in partnership with local leaders, health center operations, and training. With joint action and communication plans developed with chiefs, religious leaders, and local authorities, and additional equipment to protect health workers, those sites had vaccinated 1,132 people. In those 4 sites, we have also conducted several rounds of research and problem-solving using community dialogues between health workers and clients using the Community Scorecard, as well as the Social Analysis and Action tools, which provides the insights for this case study. The team has also supported local vaccination teams with IT infrastructure, personnel costs, and creating locally adapted COVID-19 communications plans.

Version Francaise
La République démocratique du Congo (RDC) possède un des taux de vaccination les plus bas dans le monde avec la lutte contre COVID-19. Seulement 0,87% des personnes en RDC ont reçu même une seule dose du vaccin. Alors que le pays a reçu 8,2 millions de doses de vaccin contre la COVID-19, il n’a réussi qu’à en administrer 881,204, soit un peu moins de 11% des vaccins disponibles administrés. En avril 2021, la RDC est devenue l’un des premiers pays à restituer 1,3 million de doses de COVID-19 à COVAX parce qu’elle ne pouvait pas les administrer aux personnes avant l’expiration des vaccins.

Les défis qui risquaient d’expirer plus d’un million de doses sont toujours en jeu pour la majeure partie du pays. En janvier et février, 114,705 doses ont expiré dans le pays parce qu’il n’y avait pas assez d’investissements dans les systèmes et les agents de santé pour livrer des vaccins. Pour atteindre 70 % de la population, soit 62,7 millions de personnes, la RDC devra considérablement intensifier et accélérer la vaccination contre la COVID-19.

CARE travaille avec 4 sites de vaccination – 2 à Butembo et 2 à Goma – pour soutenir la mobilisation communautaire en partenariat avec les leaders et structures locaux, les opérations des centres de santé et la formation. Ces sites avaient vacciné 1 132 personnes. Dans ces 4 sites, nous avons également mené plusieurs séries de recherches et de résolution de problèmes à travers des dialogues communautaires entre les prestataires des services et les clients avec la Carte Communautaire et l’analyse et l’action sociale, à l’aide de la carte de pointage communautaire, qui fournit les informations nécessaires à cette étude de cas. On a aussi appuyé les missions de supervisions avec l’infrastructure pour la connexion internet, la motivation des prestataires, et l’élaboration des plans de communication adaptes aux contextes.
Read More...

RAPPORT D’EVALUATION FINALE DU PROJET D’ASSISTANCE MULTISECTORIELLE AUX REFUGIES, RETOURNES ET AUX COMMUNAUTES HOTES DANS LE SUD DU TCHAD EN MATIERE DE SECURITE ALIMENTAIRE, NUTRITION, PROTECTION ET WASH DE GORE ET DE MOISSALA.

CARE International est l'une des principales organisations humanitaires internationales de lutte contre la pauvreté dans le monde. Elle est présente au Tchad depuis 1974 et intervient dans la zone de Biltine, MARO, GORE, MOISSALA et dans le LAC. Au Sud du Tchad, ses interventions visent principalement les populations réfugiées, les retournés tchadiens de la République Centrafricaine ainsi que les communautés locales les plus pauvres et vulnérables. Suite à l’afflux des nouveaux réfugiés centrafricains au sud du Tchad principalement dans le Département de la NYA-PENDE et du MANDOUL dû à la crise centrafricaine, CARE a obtenu l’appui de BPRM pour le financement du projet dénommé « Projet d’Assistance Multisectorielle aux Refugies, Retournes Et Aux Communautés Hotes Dans Le Sud Du Tchad En Matiere De Securite Alimentaire Et Nutrition, Protection Et Wash à GORE et de MOISSALA».
La mise en œuvre dudit projet BPRM a démarré en septembre 2019 et a ciblé 48158 bénéficiaires (réfugiés, retournés et communautés hôtes vulnérables). Les actions essentielles envers ces différents bénéficiaires s’articulent autour de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, accès à la protection et aux mécanismes Wash pour une amélioration du niveau de vie des populations cibles. Après,12 mois de mise en œuvre, une évaluation a été menée auprès des bénéficiaires de l’action pour évaluer les résultats et les effets induits du projet.
Read More...

COCOA SUSTAINABILITY INITIATIVE II (CSI II)

CARE International et Cargill WA ont noué un partenariat stratégique pour la mise en oeuvre de projets de développement en faveur des producteurs de cacao et de leurs communautés. A cet effet, depuis 2010, CARE bénéficie du soutien financier de Cargill. Dans la continuité de ce partenariat, en Septembre 2017, General Mills a conclu un partenariat avec CARE, pour la mise en oeuvre du projet Cocoa Sustainability Initiative II (CSI II) et cela, jusqu’en fin Août 2020. En guise de préparation de la clôture du projet, CARE a commandité une évaluation finale, conduite par une Consultante, appuyée par une équipe technique de CARE Côte d’Ivoire, pour mesurer les progrès réalisés en rapport avec les objectifs et résultats cibles. Dans la perspective de répondre aux objectifs et résultats attendus de l’évaluation, une stratégie participative a été mise en oeuvre, ce qui a permis d’analyser et d’évaluer de manière qualitative et quantitative, l’ensemble des éléments caractéristiques du projet. Read More...

Filter Evaluations