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The Impact of the Food Crisis on Women and Girls in Afghanistan

CARE conducted a study on how the food crisis in Afghanistan affects women and girls differently to better understand the gendered economic, cultural, and practical barriers to food security. This research highlights key findings on household food security, negative coping strategies women and families adopt, and shortcomings of humanitarian actors in gender-responsive aid delivery. The study is based on a comprehensive desk review of existing data since August 2021, a household survey comprising of 345 women respondents, completed in both urban and rural communities, a series of qualitative interviews with 18 women, 9 focus group discussions (FGDs) with men, and key informant interviews (KIIs) with food security specialists and humanitarian actors. The data was collected in urban and rural districts in 9 provinces in the north, west, south, and center of the country. Read More...

Rapport Narratif Renforcement des Actions de Nutrition- Actions Integrees de Nutrition et Aliemntation (RAN-AINA)

Ce rapport expose les réalisations du projet RAN‐AINA durant le premier semestre de la troisième  année de mise en œuvre c’est‐à‐dire de janvier à juin de l’année 2017. Le projet RAN‐AINA était  élaboré pour renforcer les actions en Nutrition de AINA, mais ce premier semestre est celui au cours  duquel RAN‐AINA s’est retrouvé « seul » sur terrain vu que la mise en œuvre de AINA par CARE s’est  arrêtée le 31 décembre 2016. Ce premier semestre mesure ainsi les retombées des actions des deux  projets au sein de la population cible des 88 Fokontany d’intervention.   En considérant l’évolution du Taux d’insuffisance Pondéral (TIP) sur les premiers semestres des  années  2016  et  2017,  représentée  par  le  graphique  suivant,  l’effet  de  l’adoption  des  bonnes  pratiques nutritionnelles et d’hygiène diffusées se fait ressentir au sein de la communauté. Ce taux a  accusé une baisse moyenne de 15 points entre les deux périodes.  
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Access Protection Empowerment Accountability and Leadership (APEAL) II project Endline Evaluation

The APEAL II project was a follow on project to APEAL I. The purpose of APEAL 2020 was to Enhance multi-sectoral responses by providing targeted life- saving protection, mental health, Psychosocial support and inclusive services to Congolese refugees and vulnerable host communities in Kyangwali and Kyaka II settlements. APEAL II deferred from APEAL I by; increasing the Consortium members from six (6) to nine (9) after incorporating three (3) organizations, programme scope included changes from GBV to SGBV, disability and Inclusion Services and strengthening the capacity of community structures. The community structures were strengthened to identify, respond, support and refer persons in need of MHPSS, comprehensive rehabilitation, disability and inclusion, protection and SGBV services. The Project operated in a COVID 19 environment which was not present in APEAL 1. As such, the project embedded a specific focus on COVID 19 response.
The European Civil Protection & Humanitarian Aid Operations (ECHO) funded the Project with Euro3,462,889.15 spanning from May 01, 2020 to April 30, 2021.
The project targeted 40,000 beneficiaries split between Kyaka II and Kyangwali refugee settlements and distributed support to 20% of surrounding Host communities and 80% of Refugees. The APEAL II intended to achieve: Enhanced access to timely protection, SGBV, MHPSS and disability and inclusion services, Improved protection mainstreaming and strengthen the capacity of community structures, duty bearers and stakeholders, provide extra capacity in nutrition screening for young children, pregnant and lactating mothers and supportive advocacy for standards setting, and harmonized approaches to refugee protection and MHPSS at the national level.
The APEAL II project end line evaluation was conducted to assess change and impact by comparing data from before and after for APEAL Project implementation. The end line evaluation was constructed on a cross-sectional assessment of intervention focus area, the individual refugees and host community members. Qualitative and quantitative data collection methods were applied with the former utilized to obtain information on project relevance, effectiveness and outcomes from Project key stakeholders including beneficiaries through key informant interviews and focus group discussions. Read More...

Women for Change: Rapport d’étude sur l’utilisation des bénéfices générés des AGRs

En 2017, Mars Inc. a lancé une stratégie de développement durable ambitieuse. Reconnaissant la nécessité d'un effort collaboratif accéléré pour relever les défis environnementaux et sociaux, Mars a développé des objectifs étayés par la science et une détermination à générer un impact tout au long de sa chaîne d'approvisionnement et au-delà. La stratégie « Durable dans une génération » s'engage à atteindre des objectifs centrés sur une planète saine, des personnes prospères et un bien-être nourrissant.

Près d'un an après le lancement de la stratégie, Mars a annoncé Cocoa for Générations, ce qui représente une refonte fondamentale de l'approche de durabilité du cacao de l'entreprise. Avec un engagement envers Responsable Cocoa Today (pilier 1) et Sustainable Cocoa Tomorrow (pilier 2), Cocoa for générations engage Mars à accélérer le rythme des progrès dans l'amélioration de la vie de ceux qui font partie de sa chaîne d'approvisionnement en cacao. CARE s’inspire de l’engagement de Mars dans le cadre de la stratégie Cocoa for Generations à étendre les programmes « d’Associations Villageoises d’Epargne et de Crédit » (AVEC) dans leurs communautés cacaoyères, en renforçant l’épargne des ménages et les activités génératrices de revenus des femmes. Les AVEC sont considérées comme efficaces pour autonomiser les femmes et leur donner accès aux ressources financières dont les familles ont besoin. Par extension, Mars considère donc le programme VSLA comme une pierre angulaire pour réduire le risque de travail dangereux des enfants dans la chaîne d'approvisionnement du cacao. En aidant les familles de producteurs de cacao à améliorer leurs revenus, Mars et CARE contribuent à réduire les risques pour les droits humains dans la chaîne d'approvisionnement, tout en contribuant également à l'autonomisation sociale et économique des femmes.

Cet engagement représente une extension du programme Women for Change que CARE met en oeuvre en partenariat avec Mars depuis 2015, une collaboration en Côte d’Ivoire qui a déjà :
• Bénéficié à plus de 10 000 familles, représentant au moins 50 000 personnes, dans les régions productrices de cacao.
• Inscrit 12 134 membres de ménages dans des groupes d'épargne, générant 720 042 $ en épargne et en prêts.
• Doublement influencé des femmes sur les Santés du ménage.
• Réduit de 60% la proportion de parents incapables de payer les frais de scolarité.
• Augmenté de 86% la proportion de ménages de cacao qui consomment plus de deux repas par jour.

À une époque où le secteur du cacao est confronté à des menaces sur plusieurs fronts et à un besoin urgent de solutions évolutives qui apportent un changement significatif et durable pour les agriculteurs et leurs ménages, le modèle Women for Change représente une opportunité puissante. Cette proposition dénote la vision de CARE et MARS d'élargir le modèle Women for Change au cours des cinq prochaines années (2020-2025). CARE est inspiré par l’ambition de Mars d’atteindre au moins 50 000 ménages producteurs de cacao supplémentaires avec cette approche, élargissant la portée du programme en Côte d’Ivoire tout en s’étendant au Ghana.

Suite à la formation des promoteurs de groupe sur les AGRs, il eut une réplication de cette formation aux membres des groupements mis en place par le projet. Cela a permis aux membres des AVEC de mettre en place des AGRs au sein de leur communauté. A cet effet, l’équipe MEAL prévoit une étude qui vise à mesurer les bénéfices générés par les AGRs et leurs propension d’utilisation dans le quotidien des ménages des communautés cacaoyères.

MARS WRIGLEY (15 pages) Read More...

RAPPORT ETUDE DE BASE ET ANALYSE GENRE PROJET PASEPRO

La stratégie pluriannuelle 2022-2027 de CARE Cameroun vise à toucher 250 000 personnes affectés par les crises, à travers une réponse humanitaire sensible au genre. La prévention et la réponse à la violence, en particulier aux violences basées sur le genre (VBG), est un axe central de cette stratégie. Au vu des nombreux besoins humanitaires non couverts dans la région de l’Ouest Cameroun, CARE souhaite étendre son action humanitaire dans cette région. C’est ainsi qu’avec l’appui du Centre de Crise et de Soutien (CDCS), CARE Cameroun en partenariat avec Horizons Femmes mettent en oeuvre le projet dénommé PASEPRO dans les districts de santé de la Midi et de Santchou sur une période de 15 mois. Ce projet vise spécifiquement à prévenir et répondre aux risques de violence, abus et exploitation encourus par les personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d’accueil à travers des mécanismes communautaires et une meilleure coordination des acteurs. Dans une logique d’intégration transversale du genre, l’étude de base de ce projet a été couplé à l’analyse genre. Cette étude s’est appuyée sur des statistiques descriptives secondaires et des données d’enquête primaires(quantitatives) combinées à des examens structurés de documents, des groupes de discussion et des entrevues semi-structurées (qualitatives). Les résultats de cette étude mettent en exergue que le déplacement des personnes à la suite des conflits vers les deux départements a fortement influencé la division du travail d’après 54,39% personnes enquêtées. Les décès enregistrés au sein des ménages tout comme les occupations liées à la recherche des moyens de subsistance ont conduit certaines femmes à faire établir des actes de naissances. Une diminution dans l’accès aux ressources est constatée exception faite de l’accès à l’information. Ce déclin dans l’accès aux ressources tant pour les hôtes que pour les déplacés interne entraine l’émergence du travail journalier. Il convient cependant de préciser qu’avant la crise, les principaux moyens de subsistance étaient : l’agriculture (31,34%), le petit commerce (21,35%) et les travaux journaliers (6,12%) contre respectivement (27,94%) agriculture ; (25,27%) le petit commerce et (16,33%) les travaux journaliers. Une spécificité est tout de même observée pour les personnes en situation de handicap qui ont recours à la mendicité bien que l’on observe une tendance au désir d’autonomisation pour les personnes de sexe féminin en situation de handicap. Davantage de femmes (55,87%) que d’hommes (32,65%) estiment pouvoir prendre la décision dans l’achat ou la vente des actifs de manière unilatérale. Cette tendance ne s’observe pas pour ce qui concerne la santé où les hommes sont ceux qui prennent la décision dans la majorité des cas. La situation est davantage difficile pour ceux qui en plus de ces identités liées au sexe porte l’identité du handicap. Ces derniers sont perçus par la communauté comme des personnes ne pouvant pas exercer le leadership communautaire. S’agissant de l’accès aux services, 12,72% des personnes enquêtées ne disposent d’aucun document d’état civil. Seulement 37% des personnes consultées dans le district de Santchou ont accès aux soins de santé. Il convient également de préciser que bien que 78,96% des personnes consultées au cours de cette étude possèdent des comptes Mobile Money seulement 25,43% d’entre elles affirment disposer les comptes Mobile Money enregistrés à leurs noms. Read More...

ETUDE DE BASE PROJET ESPOIR POUR ‘‘L’INSERTION SOCIO-ECONOMIQUE DES FEMMES/FILLES DES CAEF’’

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet ESPOIR pour l’Appui à l’initiation à l’entreprenariat et à la structuration des apprenantes des Centres d’Autonomisation des Femmes de Kaloum-Cameroun-Mamou exécuté par CARE et financé par l’Agence Belge de Développement-ENABEL et sera exécuté en partenariat avec AID, et la DGCAEF. S’il est évident que les résultats de l’étude serviront à mesurer l’impact du projet, il convient de rappeler que l’objectif de cette étude est de recueillir dans la zone du projet, des données fiables permettant de déterminer la situation de référence dans les communautés ciblées au démarrage du projet ESPOIR afin de pouvoir apprécier les changements produits au terme de sa mise en œuvre contractuelle.

Les apprenantes bénéficiaires directes des CAEF et leurs chefs de ménages, les populations (hommes et femmes) bénéficiaires indirects et les partenaires de mise en œuvre ont constitués les principales cibles de l’étude qui a été réalisée en avril 2022. L’étude a démarré avec la conception des outils de collecte, puis a suivi la formation des agents de collecte, y compris leurs superviseurs ; ensuite la collecte à proprement dire des données quantitatives et qualitatives dans les régions de Mamou et Conakry (Kaloum et Dixinn).

En termes d’approche méthodologique, la mission tire ses constats des entretiens approfondis individuels et de ménages, et auprès de plusieurs groupes de discussion au sein des communautés ciblées (des groupes hommes et femmes dont des groupes homogènes d’adultes et des jeunes) avec les différents partenaires ; en termes d’entretiens individuels et de ménages les enquêtes ont touché 195 personnes (dont 117 apprenantes et 96 chefs/cheffes de ménages).
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ETUDE DE BASE : Projet Walindé

L’Extrême Nord du Cameroun est confronté depuis plusieurs années à des problématiques structurelles. La vulnérabilité des ménages à l’insécurité alimentaire, au réchauffement climatique ou encore aux épidémies, a été exacerbée par la crise sécuritaire autour du Lac Tchad, ayant causé un déplacement important de population.
Elle est la région la plus pauvre du Cameroun, avec 74% de la population vivant sous le seuil de pauvreté (mois d’1,125€/jour) contre 37,5% au niveau national (INS : 2014). De plus, l’incidence de la pauvreté est plus élevée en milieu rural (66%) qu’en milieu urbain (7%).
L’Extrême Nord dispose d’une faible couverture en services de base, notamment en matière d’eau et d’assainissement. D’après l’UNICEF, le taux d’accès à l’eau potable dans le Nord du Cameroun est de 53% contre 73% dans le Centre du pays (UNICEF : 2017). En 2017, seuls 16% des écoles dans le Mayo Tsanga et 24% dans le Mayo Kani – les deux départements d’intervention – disposent d’un accès à l’eau. Le ratio latrine par élève est compris entre 249 pour le Mayo Kani et 352 pour le Mayo Tsanga, soit 5 à 6 fois plus que les standards fixés par l’UNICEF. Le nombre restreint d’infrastructures adaptées, telles que les latrines sexospécifiques, constitue un frein à la scolarisation des enfants notamment des jeunes filles.1 L’absence d’intimité pour changer ou nettoyer les protections menstruelles, de matériel hygiénique, ainsi que les tabous autour des menstruations poussent de nombreuses filles à quitter l’école lors de leurs règles.
Dans les zones rurales, la présence de dispositifs de lavage de mains (DLM) fonctionnels au sein des écoles reste rare, ce qui limite fortement le lavage des mains des élèves et des enseignants ainsi que la mise en pratique des mesures de prévention contre la COVID-19. Faute de moyens, d’infrastructures et de formations, les enseignements relatifs à l’eau, l’hygiène et l’assainissement ne se traduisent pas systématiquement par le changement des comportements.
Pour répondre à cette situation, le projet de CARE Cameroun envisage de mettre en oeuvre le projet intitulé « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, dont l’objectif global est de renforcer l'accès aux services de bases en matière d'eau, d'hygiène et d'assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun. De manière spécifique, cet objectif se traduit à travers l’amélioration la couverture en eau potable et l’accès aux services d'épargne et de crédit pour les femmes et les jeunes dans les communes de Mokolo, Hina, Yagoua, Kaélé.
CARE est intervenu dans les communes de Mokolo et Hina (Mayo Tsanga), Yagoua et Kaélé (Mayo Danay), respectivement dans le cadre des projets RESILIANT (2017-2020), COOPERER I et II (2016-2017 / 2019-2020). La continuité de ces programmes est actuellement assurée par les projets PEREN (Mokolo et Hina) et COOPERER III (Yagoua et Kaélé), qui visent respectivement (1) au renforcement de la résilience des populations vulnérables face aux crises alimentaires, (2) à l’amélioration de l’accès aux services sociaux de bases et aux opportunités économiques. Read More...

CARE Guatemala Food Security Rapid Assessment 2022

EVALUACIÓN RÁPIDA DE INSEGURIDAD ALIMENTARIA SAN BARTOLOMÉ JOCOTENANGO, QUICHÉ

Rural families in Guatemala face one of the most severe food shortage seasons, mainly due to the high cost of meeting their basic needs, the effects of international conflicts and COVID-19 prevention measures, low hiring of temporary labor, the slow recovery of the impact of storms Eta and Iota, and the rainy season 2022 that has started with rains above normal, causing water saturation in the soil, which affects subsistence agriculture. This is worst for families who live in the dry corridor.

In this context, the Municipal Coordinator for the Disaster Reduction –COMRED- and the Municipal Directorate of Comprehensive Disaster Risk Management -IMGIRD of the municipality of San Bartolomé Jocotenango, department of Quiché, with the technical support of CARE Guatemala and TECHO, surveyed 163 households in 33 rural communities to know the availability and access to food, the economic situation, gender roles and strategies of survival that families are implementing. This report shares the results of the analysis of the data collected in July 2022

• 42% of households do not have any remaining grain from the previous harvest, and a further 33% only have remaining grain reserves for further 3 months or less.
• Women earn 56% less than men. On average, men earn $143 per month, and women earn $62.
• 21% have gone into debt to be able to buy food
• 38% are reducing the size of their meals; 22% of people are eating less (or have stopped eating) to make sure their children can eat
• 31% are now skipping at least one meal per day
• 3.7% have spent entire days without eating
• 2% have sold their land to buy food
• In 45% if the households, at least one member has migrated outside the community to find jobs elsewhere.
• Women and young girls are doing 94% of the work preparing food, cleaning, and taking care of family members. Read More...

Evaluation de Ligne de Base du Project Urbayiti

Extrêmement affecté par l’ouragan Matthew de catégorie 4 qui a frappé Haiti en Octobre 2016, la ville de Jérémie1, chef-lieu du département de la Grand’Anse, reste extrêmement vulnérable aux catastrophes plus de deux ans après ce sinistre. En effet, sa position géographique dans le bassin de la Caraïbe l’expose à de nombreux risques naturels tels que séismes, ouragans, tsunamis et pluies dévastatrices.

D’un point de vue de la structure urbaine, Jérémie souffre d’un manque de planification et d’un niveau de gestion territoriale inadapté à la pression démographique actuelle. Il en résulte un développement chaotique de la ville qui, entre autres, ne prend pas en compte l’exposition aux risques et n’est pas associé à une offre de services de base. De plus, la pauvreté chronique des populations, aggravée par les fréquentes catastrophes, ne permet pas aux habitants les plus démunis de développer un niveau de résilience minimal leur permettant de garantir leur propre intégrité physique, et de capitaliser pour réaliser une évolution significative tant sur le point économique que social.

En vue d’adresser une série de problèmes structurels, environnementaux, sociaux et économiques enregistrés au niveau de la partie urbaine de la commune de Jérémie, CARE HAITI et CBM implémentent, depuis Mai 2018 et jusqu’à Avril 2022, le Projet « Vil nou pi bèl » dénommé UrbAyiti au niveau de la ville de Jérémie financé par l’Union Européenne.

Le projet a été lancé officiellement en Octobre 2018 et, avant le début des activités à fort impact sur les bénéficiaires, CARE a réalisé la ligne de base afin d’avoir un instantané de la situation. Ce qui devra permettre de mieux affiner les activités du projet et de mesurer l’effet du projet sur les bénéficiaires ciblés. Read More...

Synthese Analyse Rapide Genre – Est du Cameroun

La crise en RCA et l’afflux de refugies n’a pas changé les rôles et relations ci-dessus. Les seuls changements positif relevé est l’existence de plus de main d’œuvre pour le travail de la terre. Par contre tous les groupes consultes ont noté plusieurs impacts négatifs qui alimentent des tensions perceptibles entre les refugies et leurs communautés hôtes parmi lesquels:

- Accès aux soins de santé : les refugies sont soignés gratuitement dans les centres de sante existants, et les autochtones doivent payer leurs soins, longues files d’attentes au centre de sante car les refugies ont la priorité
- Accès à l’EHA: les refugies disposent de plusieurs forages alors que leurs forages sont soit non fonctionnels soit inexistant ou ne suffisent pas. Ils sont « obligés de payer l’eau dans le forage des anciens refugiés et/ou d’utiliser l’eau des rivières polluées par les défécations des réfugiés ».
- Accès aux produits de base sur les marchés : avec l’arrivée des refugies, les prix des denrées ont augmenté significativement, exemple la tasse de couscous de manioc est passée de 500 à 2000Fcfa),
- Pression sur les ressources en eau et le pâturage par les refugies et leurs animaux. Destruction des champs de cultures par les troupeaux
- Multiplication de cas de vols : sentiment d’insécurité au sein de la population autochtone qui attribue la recrudescence des vols à la présence des refugiés Read More...

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