Showing results for menée may07 menée même menée menée menee menee meme menee menee

Search Results for “페이스북채널늘리기⒤『Many07』 페이스북자동구매 페이스북채널♪페이스북자동 페이스북팔로워 페이스북팔로워늘리기” – Page 2 – CARE | Evaluations

Search Results: 페이스북채널늘리기⒤『Many07』 페이스북자동구매 페이스북채널♪페이스북자동 페이스북팔로워 페이스북팔로워늘리기

Evaluation Initiale du projet de renforcement de la résilience des communautés les plus vulnérables par l’intermédiaire d’actions de réduction de risques de catastrophes inclusives à Madagascar

Du fait de sa situation géographique dans le sud-ouest de l'océan Indien, Madagascar est le deuxième pays d'Afrique le plus exposé à de multiples risques de catastrophe. Entre 2000 et 2017, Madagascar a enregistré 19 catastrophes majeures déclenchées par l'environnement nécessitant une assistance internationale, ce qui le place bien devant tout autre pays en Afrique australe au cours de la même période. Parmi les divers aléas auxquels le pays est exposé, les tempêtes tropicales et les inondations sont ceux qui causent le plus de dommages socio-économiques et de pertes de vies humaines.
Les districts de Mahajanga I, Mahajanga II et Marovoay qui sont localisés sur la côte Ouest Malgache font partie des districts à risques en cas de catastrophes naturelles en particulier les cyclones et les inondations. Compte tenu de l’historique et de la probabilité que d’autres catastrophes naturelles se produisent au niveau de la zone dans le futur, CARE avec le financement d’ECHO met en oeuvre un projet d’amélioration de la résilience des populations et des institutions pour faire face aux risques de catastrophes d’une durée de 21 mois dans la Région Boeny sur la côte ouest de Madagascar.
A cet effet, CARE a procédé à un appel à consultance pour la réalisation d’une évaluation de référence incluant une enquête sur les connaissances, attitudes et pratiques des communautés cibles du projet qui utilisera des méthodes qualitatives et quantitatives et dont le but est de collecter des données de référence qui aideront éventuellement les parties prenantes du projet à tirer des conclusions rigoureuses sur la performance du projet (pertinence, efficience, efficacité, impact, durabilité) à la fin du projet. Read More...

Mémoire de Fin d’études pour l’Obtention du Diplôme de Master Professionnel en Pastoralisme

La présente étude menée en zone pastorale dans les communes de Bermo et Gadabédji vise à analyser la dynamique organisationnelle des femmes en zone pastorale et de caractériser le rôle que peuvent jouer les groupements féminins dans la prise de décision et l’entrepreneuriat pour ces femmes. Une enquête a été réalisée auprès de 146 femmes membres de groupements féminins à travers des questionnaires individuels mais aussi auprès des femmes non membres (53) et des hommes pour avoir leurs perceptions. Il ressort que 97,3% des femmes membres de groupements féminins interrogés ont affirmé que la pratique d’activités génératrices de revenus (AGR) a amélioré leur relation au sein du ménage et 43,2% ont détecté le renforcement de leur participation aux prises de décisions dans le ménage. 61% des femmes membres de groupements féminins ont affirmé avoir adhéré au groupement pour financer une AGR et 51,4% ont dit que leur adhésion a été motivée par imitation. Il résulte ainsi que les motivations sociales et économiques constituent le pivot de la participation des femmes aux groupements féminins. Les caisses des groupements constituent également un rempart en cas d’urgence ou de crise même pour les non membres. Cette importance reconnue aux groupements de femmes fait qu’ils sont socialement acceptés par toutes les couches. Read More...

Rapport d’Evaluation du Projet AIDMATCH implémenté dans la ville de Goma (RD Congo) : Endline

Cette étude présente les résultats de l’évaluation finale d’un projet de santé sexuelle et de la reproduction des adolescents et jeunes financé par DFID et mis en oeuvre par Care International dans trois aires de santé de la ville de Goma de janvier 2016 à septembre 2017. Le but dudit projet est de réduire la fécondité des adolescentes par l’amélioration de l’accès à l’utilisation des méthodes contraceptives modernes. Une enquête de base avec une approche quantitative a été menée au début du projet durant la période du 26 mars au 5 avril 2016 pour déterminer les indicateurs qui servent de base de comparaison. L’enquête finale (Endline) s’est déroulée durant la période du 1er au 8 août 2017 et a utilisé deux approches : qualitative et quantitative. Une autre enquête quantitative a aussi été menée au même moment dans des aires de santé qui n’on pas été couvertes par les activités du projet AIDMATCH afin de servir des indicateurs témoins. Read More...

CARE répond à la crise du Bassin du Lac Tchad (BLT) depuis 2014 au Niger et 2015 au Tchad et au Cameroun

Le con it armé au Nord Nigéria étendue au Cameroun, Niger et Tchad a créé une crise humanitaire qui a entrainé le déplacement de 4.025.486 personnes (OIM DTM, Avril 2018). Ce e crise a révélé une dimension protection cruciale avec en particulier des violences multiformes à l’encontre des femmes et de filles et la dislocation des familles qui a laissé des centaines de milliers de femmes et des enfants avec la responsabilité de se prendre en charge et de prendre en charge leurs familles. CARE répond à ce e crise depuis 2014 au Niger et 2015 au Tchad et au Cameroun avec une approche centrée sur le genre. Une analyse d’impact genre, financée par le Global Affairs Canada a été menée en Août 2018 dans les trois pays en vue d’apprécier l’efficacité de l’approche d’intégra on du genre utilisée et son impact sur la vie des hommes, des femmes, des filles et des garçons affectés et formuler des recommanda ons d’améliora on. Les points ci-dessous synthétisent certains parmi les résultats de ce e analyse. Read More...

RAPPORT ETUDE DE BASE ET ANALYSE GENRE PROJET PASEPRO

La stratégie pluriannuelle 2022-2027 de CARE Cameroun vise à toucher 250 000 personnes affectés par les crises, à travers une réponse humanitaire sensible au genre. La prévention et la réponse à la violence, en particulier aux violences basées sur le genre (VBG), est un axe central de cette stratégie. Au vu des nombreux besoins humanitaires non couverts dans la région de l’Ouest Cameroun, CARE souhaite étendre son action humanitaire dans cette région. C’est ainsi qu’avec l’appui du Centre de Crise et de Soutien (CDCS), CARE Cameroun en partenariat avec Horizons Femmes mettent en oeuvre le projet dénommé PASEPRO dans les districts de santé de la Midi et de Santchou sur une période de 15 mois. Ce projet vise spécifiquement à prévenir et répondre aux risques de violence, abus et exploitation encourus par les personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d’accueil à travers des mécanismes communautaires et une meilleure coordination des acteurs. Dans une logique d’intégration transversale du genre, l’étude de base de ce projet a été couplé à l’analyse genre. Cette étude s’est appuyée sur des statistiques descriptives secondaires et des données d’enquête primaires(quantitatives) combinées à des examens structurés de documents, des groupes de discussion et des entrevues semi-structurées (qualitatives). Les résultats de cette étude mettent en exergue que le déplacement des personnes à la suite des conflits vers les deux départements a fortement influencé la division du travail d’après 54,39% personnes enquêtées. Les décès enregistrés au sein des ménages tout comme les occupations liées à la recherche des moyens de subsistance ont conduit certaines femmes à faire établir des actes de naissances. Une diminution dans l’accès aux ressources est constatée exception faite de l’accès à l’information. Ce déclin dans l’accès aux ressources tant pour les hôtes que pour les déplacés interne entraine l’émergence du travail journalier. Il convient cependant de préciser qu’avant la crise, les principaux moyens de subsistance étaient : l’agriculture (31,34%), le petit commerce (21,35%) et les travaux journaliers (6,12%) contre respectivement (27,94%) agriculture ; (25,27%) le petit commerce et (16,33%) les travaux journaliers. Une spécificité est tout de même observée pour les personnes en situation de handicap qui ont recours à la mendicité bien que l’on observe une tendance au désir d’autonomisation pour les personnes de sexe féminin en situation de handicap. Davantage de femmes (55,87%) que d’hommes (32,65%) estiment pouvoir prendre la décision dans l’achat ou la vente des actifs de manière unilatérale. Cette tendance ne s’observe pas pour ce qui concerne la santé où les hommes sont ceux qui prennent la décision dans la majorité des cas. La situation est davantage difficile pour ceux qui en plus de ces identités liées au sexe porte l’identité du handicap. Ces derniers sont perçus par la communauté comme des personnes ne pouvant pas exercer le leadership communautaire. S’agissant de l’accès aux services, 12,72% des personnes enquêtées ne disposent d’aucun document d’état civil. Seulement 37% des personnes consultées dans le district de Santchou ont accès aux soins de santé. Il convient également de préciser que bien que 78,96% des personnes consultées au cours de cette étude possèdent des comptes Mobile Money seulement 25,43% d’entre elles affirment disposer les comptes Mobile Money enregistrés à leurs noms. Read More...

PROJET WALLINDE « AIDER LES AUTRES » Evaluation Finale et Capitalisation

Le projet « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, a été mis en oeuvre par CARE Cameroun dans les départements du Mayo Tsanaga, Mayo Danaï et Mayo Kani. L’objectif poursuivi par le projet est de « renforcer l'accès aux services de base en matière d'eau, hygiène et assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun ». Le projet couvre une période allant du 1er avril 2021 au 31 avril 2023 soit une durée globale de 24 mois.
Trois (03) résultats spécifiques étaient attendus, à savoir : (i) La gouvernance communautaire et communale des infrastructures de base (points d'eau, latrines, hygiène) est améliorée afin de garantir un accès accru, équitable et sécurisé à l'eau potable autour des écoles des communes de Mokolo, Hina, Touloum et Kaélé ; (ii) les élèves (filles, garçons), les parents (hommes, femmes ) et le personnel des écoles ont amélioré leurs connaissances et adopté des bonnes pratiques en matières d’EHA ; (iii) les capacités d’épargne des femmes et des jeunes membres des AVEC sont renforcées
Rendu à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe du projet. La mission dont le présent document est le rapport visait à apprécier le résultat global du projet par rapport aux objectifs initiaux et de réfléchir avec les principaux intervenants en vue d’améliorer la mise en oeuvre ultérieure de projets similaires, mais aussi de générer des leçons apprises que CARE Cameroun puisse utiliser pour planifier et/ou adapter les composantes humanitaires des interventions futures. A la suite du processus de sélection, le Cabinet Multipolaire a été retenu pour accompagner CARE dans ce processus. Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 20 au 25 mars 2023. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection et sauvegarde des enfants. Au total, 1 609 personnes dont ont été consultées dont 699 hommes et 910 femmes.
Les données croisées de l’évaluation montrent que les résultats attendus du projet ont été largement atteints, poussés par certaines activités comme la réhabilitation de 25 forages sur 20 prévus. On a également noté une forte mobilisation des populations, notamment à travers les sensibilisations sur les thématiques EHA. Les points forts du projet Walindé sont nombreux, entre autres il s’agit d’un projet pertinent, accepté et fortement apprécié par les populations, menant de judicieuses activités de construction/réhabilitation des points d’eau et des latrines, de renforcement des capacités des CPGE et micro-assurances, en partenariat avec les communes cibles et les structures sectorielles déconcentrées, avec lesquelles un climat de bonne collaboration et d’interactions positives a été développé, pour le grand bien des populations bénéficiaires. Ceci est également un atout pour la durabilité sociale et institutionnelle du projet.
On peut conclure sans risque de se tromper que la couverture en eau potable a été améliorée par l’offre de forages fonctionnels aux écoles bénéficiaires. Toute la population des intervenants de l’école et des communautés environnantes profitent de ces points d’eau. Toutes les écoles bénéficiaires ont en outre un lieu désigné pour le lavage des mains où l'eau et le savon sont présents et les latrines propres. Les proportions de personnes qui, lorsqu’elles y sont invitées, font une démonstration satisfaisante de bonnes pratiques en matière d’EHA sont très satisfaisantes (supérieures à 90%) quel que soit le sexe et l’âge. Le projet a ainsi contribué au changement des comportements au sein des établissements scolaires, au sein des ménages et au sein des communautés. Le projet a également contribué à la formation et au l’autonomisation, soutenue par une implication marquée et positive des acteurs communautaires peut déclencher des dynamiques sociales et institutionnelles favorables à la motivation des communautés qui prennent conscience de ce que leur avenir dépend en majeure partie d’eux même, de leur désir commun de développement.
Les structures de micro assurance constituent une réponse idoine à la problématique de la maintenance durable des points d’eau. A condition :i) qu’elles aient des capacités de sensibilisation permettant d’attirer et affilier le maximum de CGPE au sein de leur commune ; ii) qu’elles soient capables de mutualiser leurs ressources au-delà de la commune et des départements, dans le cadre d’un réseau régional de micro assurance d’entretien des points d’eau. Un accompagnement à cet effet devrait être confié à un consultant ayant le profil adéquat, qui serait rétribué en fonction des résultats obtenus.
Finalement, l’évaluation recommande fortement une phase subséquente du projet, dans la perspective de consolider les acquis du projet, d’organiser plus sereinement le développement du mécanisme de micro-assurance des points d’eau et également les centres d’alphabétisation. Read More...

PROGRAMME QUINQUINAL MWANAMKE AMANI NA USALAMA (MAnU 2.0) RAPPORT D’EVALUATION MI-PARCOURS DU PROGRAMME EN RDC ET AU BURUNDI

Cette étude évalue le programme MAnU 2.0, contraction de Mwanamke, Amani na Usalama 2.0 (traduction de Femmes, Paix et Sécurité). Il s’agit d’un programme mis en oeuvre au Burundi et en République Démocratique du Congo, par un Consortium composé de deux organisations néerlandaises dont Mensen met een Missie (MM) (organisation lead) et CARE Nederland et d’une organisation régionale SPR (Synergie des Femmes pour la Paix et la Réconciliation des Peuples des Grands Lac), en partenariat avec des organisations nationales dans les deux pays d’intervention du programme. Il s’agit d’une évaluation à mi-parcours, puisque le programme couvre la période 2021-2025.
L’objectif global du programme est le suivant : « Les femmes et les filles en RDC et au Burundi participent de manière significative à la prévention, à la résolution, à la médiation des conflits, à la protection et à la consolidation de la paix ». Afin d’atteindre cet objectif, le programme met en oeuvre une stratégie axée sur des activités de sensibilisation et de réflexion, le renforcement des capacités des organisations de la société civile, des leaders communautaires, autorités locales et des réseaux de base ainsi que le lobbying et le plaidoyer aux niveaux local, provincial, national et régional pour accroître la participation des femmes dans les instances de prise de décisions.
Pour vérifier l’atteinte de cet objectif, IRSAC a mis en oeuvre une méthodologie mixte, combinant méthodes quantitatives (réalisées au moyen d’un questionnaire) et méthodes qualitatives (à travers l’organisation de Focus Groupes et d’entretiens semi-structurés), complétés par la recherche documentaire.
La présente évaluation s’est concentrée sur la pertinence, la cohérence et l’efficacité aussi bien du programme lui-même (la gouvernance du programme, le partenariat et le niveau d’atteinte des résultats) que de la stratégie mise en oeuvre.
L’étude a évalué l’efficacité de la structure de gouvernance de MAnU 2.0 et le partenariat au sein de MAnU 2.0 et vérifié la mesure dans laquelle cette structure a contribué à l’atteinte des objectifs du consortium en matière de participation effective des organisations partenaires et groupes cibles dans la prise de décisions. Quant au partenariat au sein et en dehors de MAnU 2.0, l’évaluation a analysé son caractère équitable et sa valeur ajoutée en matière de promotion de la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Ce faisant, l’étude conclut que la structure de gouvernance MAnU.2.0, composée de différentes entités couvrant le niveau local jusqu’au niveau régional (cf. infra), offre aux groupes cibles la possibilité de participer et d’influencer la prise des décisions au niveau local jusqu’au niveau régional, à travers en particulier, leur participation dans les réunions des Equipes de Coordination Locale aux niveaux des axes ( Nord Kivu, Sud Kivu et Burundi) et que leurs points de vue peuvent être ramenés au niveau du CRG à travers les points focaux des axes qui participent aux assises du CRG. Read More...

RAPPORT D’ANALYSE SITUATIONNELLE, CARTOGRAPHIE SOCIALE ET ANALYSE DU POVOIR SUR COVID-19 DANS LA ZONE DE SANTE DE KATWA

Une de composante de ce projet de prévention contre la propagation de la pandémie COVID-19 dans la zone de santé de Katwa, consiste à conduire une analyse situationnelle plus approfondie dans les aires de santé ciblées par le projet dans le but de pouvoir déterminer les connaissances, les perceptions, les attitudes et les pratiques des membres de la communauté y compris des partenaires étatiques vis de la pandémie elle-même et de ses mesures de prévention. Par conséquent, l’exercice consiste à ouvrir des débats sur la Covid-19 et d’autres épidémies, à faire prendre conscience du problème et à amorcer le dialogue entre les principales parties intéressées à différents niveaux pour des stratégies de lutte plus appropriées.
La réalisation de cet exercice a comporté quatre (4) moments clés à savoir :
1. Atelier d’analyse situationnelle, cartographie sociale et analyse du pouvoir avec les acteurs clés
2. Enrichissement et collecte des données de l’atelier à travers des Focus groups dans les 9 Aires de santé
3. La phase d’analyse, compilation et rédaction du rapport (première version) des données
4. Restitution, capitalisation des amendements et des résultats de l’analyse.
Ce rapport relate le cheminement méthodologique et les résultats synthèse des travaux réalisés, ils seront ensuite complétés lors de l’atelier de restitution par les résultats complets des focus groups réalisés au sein de la communauté bénéficiaire dans la ZS de Katwa. Read More...

At the last mile: Lessons from Vaccine Distributions in DR Congo

The Democratic Republic of the Congo (DRC) has one of the lowest COVID-19 vaccination rates in the world, with just 0.87% of people in DRC having received even one dose. While the country has received 8.2 million doses of COVID-19 vaccine, it has managed to administer 528,000 of them—just under 11% of vaccines available. In April of 2021, DRC became one of the first countries to return 1.3 million COVID-19 doses to COVAX because they could not deliver them to people before the vaccines expired.

The challenges that risked more than a million doses expiring are still in play for most of the country. In both January and February 2022, 114,705 vaccines expired in country because there was not enough investment in systems and health workers to deliver vaccines. To reach 70% of the population—62.7 million people—DRC will need to drastically scale up and accelerate COVID-19 vaccination.

CARE is working with 4 vaccination sites—2 in Butembo and 2 in Goma—to support with community mobilization in partnership with local leaders, health center operations, and training. With joint action and communication plans developed with chiefs, religious leaders, and local authorities, and additional equipment to protect health workers, those sites had vaccinated 1,132 people. In those 4 sites, we have also conducted several rounds of research and problem-solving using community dialogues between health workers and clients using the Community Scorecard, as well as the Social Analysis and Action tools, which provides the insights for this case study. The team has also supported local vaccination teams with IT infrastructure, personnel costs, and creating locally adapted COVID-19 communications plans.

Version Francaise
La République démocratique du Congo (RDC) possède un des taux de vaccination les plus bas dans le monde avec la lutte contre COVID-19. Seulement 0,87% des personnes en RDC ont reçu même une seule dose du vaccin. Alors que le pays a reçu 8,2 millions de doses de vaccin contre la COVID-19, il n’a réussi qu’à en administrer 881,204, soit un peu moins de 11% des vaccins disponibles administrés. En avril 2021, la RDC est devenue l’un des premiers pays à restituer 1,3 million de doses de COVID-19 à COVAX parce qu’elle ne pouvait pas les administrer aux personnes avant l’expiration des vaccins.

Les défis qui risquaient d’expirer plus d’un million de doses sont toujours en jeu pour la majeure partie du pays. En janvier et février, 114,705 doses ont expiré dans le pays parce qu’il n’y avait pas assez d’investissements dans les systèmes et les agents de santé pour livrer des vaccins. Pour atteindre 70 % de la population, soit 62,7 millions de personnes, la RDC devra considérablement intensifier et accélérer la vaccination contre la COVID-19.

CARE travaille avec 4 sites de vaccination – 2 à Butembo et 2 à Goma – pour soutenir la mobilisation communautaire en partenariat avec les leaders et structures locaux, les opérations des centres de santé et la formation. Ces sites avaient vacciné 1 132 personnes. Dans ces 4 sites, nous avons également mené plusieurs séries de recherches et de résolution de problèmes à travers des dialogues communautaires entre les prestataires des services et les clients avec la Carte Communautaire et l’analyse et l’action sociale, à l’aide de la carte de pointage communautaire, qui fournit les informations nécessaires à cette étude de cas. On a aussi appuyé les missions de supervisions avec l’infrastructure pour la connexion internet, la motivation des prestataires, et l’élaboration des plans de communication adaptes aux contextes.
Read More...

Post Distribution Monitoring/Evaluation finale du projet « COVID-19 : Prévention, protection et relèvement économique »

Les premiers cas de COVID-19 ont été enregistrés au Cameroun en début mars 2020. Au 18 avril 2020 le Cameroun est le 2e pays le plus touché en Afrique subsaharienne et le premier pays de la CEMAC avec 7860 cas confirmés au 08 juin 20201. Afin de limiter la propagation du virus COVID19, le gouvernement a mis en place des mesures de prévention strictes, dont la suspension des
vols commerciaux, la fermeture des frontières, la fermeture des écoles, la fermeture dès 18h des bars, restaurants et lieux de loisirs, l’interdiction de rassemblements de plus de 50 personnes, ou encore l’obligation du port du masque en public à partir du 13 avril 2020.
Pour apporter sa contribution à cet effort de solidarité, CARE International au Cameroun, a mis en œuvre le « Projet COVID-19 : Prévention, protection et relèvement économique » dans le District de santé de Biyem-Assi (Yaoundé) de juin à septembre 2020 en ciblant spécifiquement 150 femmes et filles IDPs et TS. Mis en œuvre en collaboration avec Horizons Femmes, ce projet a fait l’objet d’une évaluation finale interne afin de mesurer et apprécier les changements (éventuels) dus à l’intervention du projet sur les bénéficiaires par rapport à la période concernée.
En ce qui concerne la qualité de l’intervention, l’évaluation établit : (i) la pertinence du projet qui est aligné sur les besoins prioritaires des cibles, les objectifs de développement durable et les politiques nationales, y compris les stratégies de réponse face au COVID-19 ; (ii) une efficacité et une efficience satisfaisantes, les activités réalisées ayant permis d’atteindre les objectifs visés à des coûts et des délais raisonnables ; (iii) une pérennité envisagée, malgré la courte durée du projet, notamment par la continuité de certaines activités dans le cadre du projet CHAMP ; une prise en compte du genre acceptable, ce qui a permis d’adresser les besoins différenciés à chaque groupe ciblé par le projet.
Les recommandations formulées vont dans le sens de : (i) élargir l’intervention dans d’autres zones accueillant la même cible ; (ii) clarifier au lancement du projet les différents niveaux de diffusion de l’information ainsi que le type d’information à communiquer ; (iii) déployer le transfert monétaire inconditionnel dans davantage de projets du programme de redressement et relèvement post-crise ; (iv) accompagner les bénéficiaires ayant développé/redynamisé des AGR à la maturation de leurs activités ; (v) penser à une composante qui permettent aux IDPs qui le souhaitent de retourner vers leurs localités d’origine dans la mesure ou la situation sécuritaire évoluerait dans le sens de l’apaisement ; (vi) revoir la stratégie de sensibilisation sur la Hotline en insistant sur la signification du terme « Hotline » ou trouvant une appellation plus accrocheuse ; (vii) conserver la dynamique du code unique et l’implication des bénéficiaires dans les différentes étapes du projet pour une meilleure redevabilité. Read More...

Filter Evaluations