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Analyse Rapide Genre : Tremblement de terre du 14 août en Haïti

Haïti est enclin à des catastrophes naturelles de plusieurs sortes : cyclones, tempêtes tropicales, éboulements, inondations et tremblement de terre. En moins de douze ans, deux terribles tremblements de terre ont secoué le pays, entrainant des dommages énormes en vie humaine et en perte de toute sorte. Alors que le pays ne s’était pas encore remis des séquelles du premier séisme de magnitude 7.0 en 2010, un deuxième de magnitude 7.2 vient s’abattre le 14 août 2021 au sud du pays dont la plupart des sections communales affectées sont enclavées et difficiles d’accès. Selon le Gouvernement d’Haiti, on peut à date dénombrer 2 248 morts, 12 763 blessés et 329 personnes portées disparues.
Cette catastrophe vient augmenter le lot des préoccupations auxquelles est confrontée la société haïtienne en pleine crise politique, suite à la mort du président de la République en juillet 2021 et au cœur de toute sorte d’insécurité dont le kidnapping. Le pays continue à faire face à la COVID-19 qui a entrainé 588 morts sur un total de 21 124 cas, craignant jusqu’à présent des conséquences qui seraient dues aux éventuelles variantes. Ce désastre qui frappe sévèrement tous les secteurs d’activités de la vie nationale est également survenu en pleine saison cyclonique et à la veille de la rentrée scolaire. Il vient instaurer une situation humanitaire que les leçons tirées des crises antérieures permettront de mieux gérer.
C’est dans ce contexte particulièrement complexe qu’ONU Femmes et CARE, sous le leadership du Ministère à la Condition féminine et aux Droits des femmes (MCFDF) et en coordination avec la Direction Générale de la Protection Civile (DGPC), ont lancé l’Analyse Rapide Genre qui se veut une évaluation rapide de l’impact du tremblement de terre d’août 2021 sur les femmes, les hommes, les filles et les garçons, incluant les personnes en situation de vulnérabilité, afin d’éclairer la réponse humanitaire en cours en Haïti dans l’immédiat, ainsi que les efforts de redressement à moyen et à long terme. Cette étude est faite en partenariat avec l’Equipe spéciale genre de l’équipe humanitaire en Haiti et a obtenu le soutien financier, technique et logistique des partenaires suivantes : Fondation Toya, IDEJEN, UNFPA, OCHA, OMS/OPS, ONUSIDA, PAM, PNUD, et UNICEF.
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ÉVALUATION FINALE ET LA CAPITALISATION DU PROJET « RELÈVEMENT ET RENFORCEMENT FINANCIER DES POPULATIONS VULNÉRABLES AFFECTÉES PAR LA COVID-19 (COOPERER III) »

Pour contribuer à la lutte contre la pandémie Covid-19 initiée par le gouvernement camerounais, l’ONG de développement CARE International au Cameroun a mis en place le projet « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID-19 », en abrégé « ResCOV-19 » ; soit COOPERER III avec l’appui financier du Centre de crise et de Soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères. Le projet est exécuté dans les communes de Kaélé et Touloum du département de mayo kani et la Commune de Yagoua du département de Maayo Danay, et avait pour objectif de contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19, sur la période allant du 1er janvier 2021 au 31 Mars 2022 soit une durée globale de 15 mois.
Arrivé à son terme, une mission d’évaluation externe a été réalisée pour renseigner les critères usuels d’évaluation que sont la pertinence, la cohérence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et l’impact.
Cette mission a utilisé une approche mixte qui combine les techniques qualitatives et quantitative pour obtenir les données aussi bien primaires que secondaires. A la suite de la première phase de revue documentaire, une collecte des données primaires a été réalisée auprès des personnes ressources pour ce qui concerne les entretiens et focus-group et dans les ménages et auprès des membres des AVEC d’une part et l’inventaire des points d’eau d’autre part avec les outils d’enquête par questionnaires. Ces outils ont été déployés dans les 03 communes du projet Kaélé, Touloum et Yagoua. Une répartition de 70% et 30% respectivement pour les bénéficiaires, membres des AVEC et les ménages non bénéficiaires a été observée. Pour la constitution de l’échantillon des membres des AVEC, 70% des femmes et 30% des hommes ont été définis. La méthodologie mise en place a permis de réaliser 29 personnes (05 femmes et 24 hommes) lors des entretiens avec les personnes ressources, 18 focus group (07 Comités de gestion des points d’eau, 08 AVEC et 03 micro-assurances) avec 88 femmes et 87 hommes et d’administrer 576 questionnaires (Membres des AVEC, Ménages) soit 435 femmes et 141 hommes. Après la collecte par questionnaires grâce à l’application de collecte numérique (Kobocollect), s’en est suivi la phase d’apurement et traitement dans Excel.
Malgré le retard constaté dans la mise en oeuvre de certaines activités du fait du Covid – 19, 39 649 personnes dont 22 655 femmes (soit 57 %) (Sans double comptage) ont été sensibilisées directement dans les communautés, par porte à porte et séance en groupe de 15 à 30 personnes, sur les thématiques tels que la prévention de la COVID-19 et le respect des règles d’hygiène et de salubrité, le civisme, le genre, le planning familiale, etc. le projet a également couvert environ 150 000 habitants suite à la diffusion des messages radiophoniques de sensibilisation.
L’analyse des différentes questions d’évaluation montre que le projet COOPERER III est cohérent car il s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 et dans le plan riposte contre la Covid-19 du Cameroun. Le projet s’aligne également aux lois et aux directives nationales et sectorielles et à la mission de Care qui vise à sauver des vies, vaincre la pauvreté et parvenir à la justice sociale. Du point de vue de sa pertinence, le projet apporte une réponse aux besoins spécifiques des différentes catégories de cibles (femmes, hommes et jeunes hommes, jeunes femmes) et des populations et a mis en place des approches et mécanismes de suivi-évaluation des activités du projet adaptées pour la mesure des résultats.
Le projet dans sa globalité a contribué aux changements des comportements au sein des AVEC, au sein de leurs ménages et leur statut social au sein de leurs communautés ; à l’équipement des AVEC ; au renforcement des capacités des membres des associations. En terme de changement, il a été constaté que : (i) les membres de comités de gestion des points d’eau formés nettoient et entretiennent leur point d’eau, (ii) les membres des AVEC tiennent des AGR et organisent régulièrement des réunions et sont engagés à réaliser une activité propre à leur AVEC ; (iii) que les personnes sensibilisées sur les bonne pratiques d’hygiènes font plus attention dans la manipulation des denrées alimentaires ; etc. Outre ces changements, le respect des règles d’hygiène (lavage des mains, des toilettes et récipients d’eau, etc.) et des mesures anti Covid-19 (port des masques facials, distanciation sociale, etc.) par les bénéficiaires s’est accru grâce aux activités du projet. Le projet a également permis aux bénéficiaires directs et indirects d’améliorer leurs connaissances, attitudes et pratiques sur plusieurs aspects. Il s’agit notamment des mesures de prévention et de protection contre le COVID-19, l’hygiène autour des points d’eau, mais également les connaissances des membres des AVEC sur des thématiques telles que la comptabilité simplifiée pratique, l’entrepreneuriat, le marketing, les techniques d’animation et de sensibilisation des groupes, etc… Read More...

Gender-Sensitive Conflict Analysis in South and East Darfur States, Sudan, 2022

CARE International in Sudan is implementing the project “Enhancing resilience through improved food security, disaster risk reduction and peaceful co-existence in South and East Darfur states, Sudan” (1 September 2021 – 31 August 2025) through funding from the German Ministry of Economic Cooperation and Development (BMZ). The project addresses the specific needs, vulnerabilities, and capacities of women, youth, and persons with disabilities to strengthen their resilience to buffer, adapt, and respond to future shocks at an individual, family, and community levels. This gender sensitive conflict analysis in East and South Darfur – representing eight villages – is to understand the causes, power and gender dynamics, and actors of conflicts in the project area.

The conflict in Darfur is escalating rapidly, with eight times more people killed and displaced in 2021 than in 2020. Inflation rose by 359% in 2021. Climate change—marked by devastating floods and prolonged droughts—combined with food insecurity and a lack of services leaves people feeling violence is their only choice.
A profoundly unequal and harmful set of social norms that do not value women, and even refer to them as vessels of the devil, coupled with laws that do not protect women and their rights, are pushing many burdens of this crisis onto women. A common saying is, “Almara mamlouka ela malak Almout” or “A woman is owned to death.” As the situation gets more extreme and livelihoods and service get scarcer, women are more likely to be working outside the home to help meet family needs. Men have not increased their involvement in household chores and childcare to compensate for these shifts—leaving women with even higher burdens than before. The shifts in women having to work outside the home have not translated into corresponding improvements in women’s rights, engagement in politics, or access to public life.
This research draws from 20 focus groups and 20 Key Informant Interviews that represent the views of 193 people (45% of whom were women) in eight villages in July of 2022. It also looks at 44 secondary sources.
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PROJET WALLINDE « AIDER LES AUTRES » Evaluation Finale et Capitalisation

Le projet « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, a été mis en oeuvre par CARE Cameroun dans les départements du Mayo Tsanaga, Mayo Danaï et Mayo Kani. L’objectif poursuivi par le projet est de « renforcer l'accès aux services de base en matière d'eau, hygiène et assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun ». Le projet couvre une période allant du 1er avril 2021 au 31 avril 2023 soit une durée globale de 24 mois.
Trois (03) résultats spécifiques étaient attendus, à savoir : (i) La gouvernance communautaire et communale des infrastructures de base (points d'eau, latrines, hygiène) est améliorée afin de garantir un accès accru, équitable et sécurisé à l'eau potable autour des écoles des communes de Mokolo, Hina, Touloum et Kaélé ; (ii) les élèves (filles, garçons), les parents (hommes, femmes ) et le personnel des écoles ont amélioré leurs connaissances et adopté des bonnes pratiques en matières d’EHA ; (iii) les capacités d’épargne des femmes et des jeunes membres des AVEC sont renforcées
Rendu à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe du projet. La mission dont le présent document est le rapport visait à apprécier le résultat global du projet par rapport aux objectifs initiaux et de réfléchir avec les principaux intervenants en vue d’améliorer la mise en oeuvre ultérieure de projets similaires, mais aussi de générer des leçons apprises que CARE Cameroun puisse utiliser pour planifier et/ou adapter les composantes humanitaires des interventions futures. A la suite du processus de sélection, le Cabinet Multipolaire a été retenu pour accompagner CARE dans ce processus. Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 20 au 25 mars 2023. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection et sauvegarde des enfants. Au total, 1 609 personnes dont ont été consultées dont 699 hommes et 910 femmes.
Les données croisées de l’évaluation montrent que les résultats attendus du projet ont été largement atteints, poussés par certaines activités comme la réhabilitation de 25 forages sur 20 prévus. On a également noté une forte mobilisation des populations, notamment à travers les sensibilisations sur les thématiques EHA. Les points forts du projet Walindé sont nombreux, entre autres il s’agit d’un projet pertinent, accepté et fortement apprécié par les populations, menant de judicieuses activités de construction/réhabilitation des points d’eau et des latrines, de renforcement des capacités des CPGE et micro-assurances, en partenariat avec les communes cibles et les structures sectorielles déconcentrées, avec lesquelles un climat de bonne collaboration et d’interactions positives a été développé, pour le grand bien des populations bénéficiaires. Ceci est également un atout pour la durabilité sociale et institutionnelle du projet.
On peut conclure sans risque de se tromper que la couverture en eau potable a été améliorée par l’offre de forages fonctionnels aux écoles bénéficiaires. Toute la population des intervenants de l’école et des communautés environnantes profitent de ces points d’eau. Toutes les écoles bénéficiaires ont en outre un lieu désigné pour le lavage des mains où l'eau et le savon sont présents et les latrines propres. Les proportions de personnes qui, lorsqu’elles y sont invitées, font une démonstration satisfaisante de bonnes pratiques en matière d’EHA sont très satisfaisantes (supérieures à 90%) quel que soit le sexe et l’âge. Le projet a ainsi contribué au changement des comportements au sein des établissements scolaires, au sein des ménages et au sein des communautés. Le projet a également contribué à la formation et au l’autonomisation, soutenue par une implication marquée et positive des acteurs communautaires peut déclencher des dynamiques sociales et institutionnelles favorables à la motivation des communautés qui prennent conscience de ce que leur avenir dépend en majeure partie d’eux même, de leur désir commun de développement.
Les structures de micro assurance constituent une réponse idoine à la problématique de la maintenance durable des points d’eau. A condition :i) qu’elles aient des capacités de sensibilisation permettant d’attirer et affilier le maximum de CGPE au sein de leur commune ; ii) qu’elles soient capables de mutualiser leurs ressources au-delà de la commune et des départements, dans le cadre d’un réseau régional de micro assurance d’entretien des points d’eau. Un accompagnement à cet effet devrait être confié à un consultant ayant le profil adéquat, qui serait rétribué en fonction des résultats obtenus.
Finalement, l’évaluation recommande fortement une phase subséquente du projet, dans la perspective de consolider les acquis du projet, d’organiser plus sereinement le développement du mécanisme de micro-assurance des points d’eau et également les centres d’alphabétisation. Read More...

RAPID GENDER ANALYSIS TO INFORM THE 2021 HUMANITARIAN PROGRAMME CYCLE IN THE OCCUPIED PALESTINIAN TERRITORY

The impacts of humanitarian crises are not gender neutral. Global evidence shows that when disasters strike, and humanitarian crises unfold, they have differential impacts on women, girls, men, boys and persons of diverse gender identities. Humanitarian response informed by gender analysis means that humanitarian action incorporates recommendations drawn from that robust analysis, which identifies the shifting needs, capacities and priorities of women, girls, men and boys. A recent report1 from the OCHA Gender Unit identified that several Humanitarian Needs Overviews (HNOs) and Humanitarian Response Plans (HRPs) had made progress in utilising and integrating gender analysis into the humanitarian response planning process but that more progress could still be made, specifically by improving sector-specific gender analysis and the application of that analysis to specific sectoral interventions. The same report identified that the occupied Palestinian territory (oPt) Humanitarian Programme Cycle (HPC) documents had made considerable progress towards gender integration and gender sensitive programming, but that more sectoral and cross cutting work could still be done since, overwhelmingly, the majority of gender analysis continued to focus on traditional areas associated with “women’s issues” such as gender-based violence (GBV), sexual and reproductive health (SRH), and maternal health.
This synthesis report is produced by CARE in partnership with OCHA. It is part of efforts to ensure a more systematic gender analysis is accessible, and utilised, throughout the 2021 HPC process. Drawing on the 2020 oPt HNO and HRP, as well as the Gender Unit’s review of several 2020 HNOs, this document synthesizes recent2 CARE Palestine West Bank/Gaza and OCHA generated gender analysis reports with the aim of helping HPC actors better integrate gender analysis into the planning process. Read More...

Rapid Assessment on COVID-19 Vaccine Uptake by Urban Marginalised Population in Bangladesh

As of 31 March 2021, there have been 127,877,462 confirmed cases of COVID-19 worldwide, including 2,796,561 deaths in 223 countries as reported by WHO. Bangladesh had 6,11,295 confirmed cases of COVID-19 and 9,406 confirmed deaths till the end of March 2021. In response to this situation, the administration of the first dose of the COVID-19 vaccine officially started on 7 February 2021 in the national hospitals and health complexes all over Bangladesh. Despite acute demand for the vaccine, a great deal of misinformation and misconception is also apparent among general people. With the ongoing vaccine administration, it is very important to understand community acceptance of COVID-19 vaccinations.
People’s knowledge, attitudes and perceptions towards COVID-19 are of utmost importance for Government and policymakers to address all barriers to vaccine uptake and ensuring that everyone has access to vaccine. With these contexts, this survey aims to identify the overall COVID-19 vaccination perceptions among the urban marginalized population in Bangladesh based on three main objectives:
 Understanding the knowledge and practice related to COVID-19 prevention
 Assessing the knowledge and perspective regarding COVID-19 vaccination
program
 To know the status of vaccine uptake among marginalized population
The urban marginalized population were purposively selected, as they are more likely to be unaccounted for or have the least access to the COVID-19 vaccine administration process. In this survey, researchers captured only the population that are direct service recipient of the Urban Health Programme (garment workers and people who inject drug) and other groups who are available around the catchment areas of the service centres of the facilities. Read More...

Analyse Rapide Genre au sein des réfugiés de la RCA et les communautés hôtes à Timangolo, Lolo, Mbilé. Département de la Kadey- Est Cameroun

Depuis décembre 2013, environ 128550 réfugiés sont arrivés au Cameroun repartis entre la région de l’Est (95075), l’Adamaoua (23060), le Nord (3540) et Yaounde (3540). Dans le Département de la Kadey, à l’Est, la majorité de réfugiés vivent dans des villages d’accueil et les autres dans plusieurs sites dont ceux de Lolo, Mbilé et Timangolo qui accueillent 26124 réfugiés répartis dans 7403 ménages.

Ces nouveaux réfugiés M’bororos, viennent ajouter à des anciens refugiés centrafricains de la même ethnie accueillis et installés dans la zone depuis 2005.

En mai 2014 CARE a conduit des évaluations des besoins qui ont permis de développer une stratégie de réponseaxée dans le domaine de l’eau, l’hygiène et l’assainissement (EHA), la santé mentale et l’appui psychosocial (SMPS), la sécurité alimentaire avec comme cible principale les réfugiés et leurs populations hôtes le long de l’axe Bertoua-Kentzou and Batouri-Toktoyo.
Actuellement CARE met en œuvre des interventions sur l’EHA sur le site de Timangolo et la SMPS dans les sites de Lolo et Mbile.
Afin de mieux répondre aux besoins spécifiques des réfugiés, hommes, femmes, garçons et filles, CARE organise une analyse genre dont l’objectif est d’appréhender les besoins, les vulnérabilités et les capacités spécifiques aux hommes, aux femmes, aux garçons et aux filles ainsi que les relations, les normes et pratiques genre au sein des réfugiés dans les sites de Timangolo, Lolo, Mbile et leurs communautés hôtes. Read More...

At the last mile: Lessons from Vaccine Distributions in DR Congo

The Democratic Republic of the Congo (DRC) has one of the lowest COVID-19 vaccination rates in the world, with just 0.87% of people in DRC having received even one dose. While the country has received 8.2 million doses of COVID-19 vaccine, it has managed to administer 528,000 of them—just under 11% of vaccines available. In April of 2021, DRC became one of the first countries to return 1.3 million COVID-19 doses to COVAX because they could not deliver them to people before the vaccines expired.

The challenges that risked more than a million doses expiring are still in play for most of the country. In both January and February 2022, 114,705 vaccines expired in country because there was not enough investment in systems and health workers to deliver vaccines. To reach 70% of the population—62.7 million people—DRC will need to drastically scale up and accelerate COVID-19 vaccination.

CARE is working with 4 vaccination sites—2 in Butembo and 2 in Goma—to support with community mobilization in partnership with local leaders, health center operations, and training. With joint action and communication plans developed with chiefs, religious leaders, and local authorities, and additional equipment to protect health workers, those sites had vaccinated 1,132 people. In those 4 sites, we have also conducted several rounds of research and problem-solving using community dialogues between health workers and clients using the Community Scorecard, as well as the Social Analysis and Action tools, which provides the insights for this case study. The team has also supported local vaccination teams with IT infrastructure, personnel costs, and creating locally adapted COVID-19 communications plans.

Version Francaise
La République démocratique du Congo (RDC) possède un des taux de vaccination les plus bas dans le monde avec la lutte contre COVID-19. Seulement 0,87% des personnes en RDC ont reçu même une seule dose du vaccin. Alors que le pays a reçu 8,2 millions de doses de vaccin contre la COVID-19, il n’a réussi qu’à en administrer 881,204, soit un peu moins de 11% des vaccins disponibles administrés. En avril 2021, la RDC est devenue l’un des premiers pays à restituer 1,3 million de doses de COVID-19 à COVAX parce qu’elle ne pouvait pas les administrer aux personnes avant l’expiration des vaccins.

Les défis qui risquaient d’expirer plus d’un million de doses sont toujours en jeu pour la majeure partie du pays. En janvier et février, 114,705 doses ont expiré dans le pays parce qu’il n’y avait pas assez d’investissements dans les systèmes et les agents de santé pour livrer des vaccins. Pour atteindre 70 % de la population, soit 62,7 millions de personnes, la RDC devra considérablement intensifier et accélérer la vaccination contre la COVID-19.

CARE travaille avec 4 sites de vaccination – 2 à Butembo et 2 à Goma – pour soutenir la mobilisation communautaire en partenariat avec les leaders et structures locaux, les opérations des centres de santé et la formation. Ces sites avaient vacciné 1 132 personnes. Dans ces 4 sites, nous avons également mené plusieurs séries de recherches et de résolution de problèmes à travers des dialogues communautaires entre les prestataires des services et les clients avec la Carte Communautaire et l’analyse et l’action sociale, à l’aide de la carte de pointage communautaire, qui fournit les informations nécessaires à cette étude de cas. On a aussi appuyé les missions de supervisions avec l’infrastructure pour la connexion internet, la motivation des prestataires, et l’élaboration des plans de communication adaptes aux contextes.
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Tackling Vaccine Hesistancy and Expanding Vaccine Access in Tanzania with Community Health Workers in the Lead

Since September 2021, CARE Tanzania has worked as a partner to the Government of Tanzania to improve vaccine access across the country. CARE’s logistical support has helped the government to cover large, underserved geographical areas. To increase vaccine uptake, CARE staff has also engaged local Community Health Workers (CHWs) to address vaccination misconceptions and developed improved health communication and data management tools. An initial training took place in November 2021 and trained 217 CHWs in the Tabora region. With these new resources, these health workers on the front lines have put in place two new strategies. First, COVID-19 vaccination is now integrated with other basic health services at local facilities. CARE supported COVID-19 vaccine distribution in 268 health facilities in Tabora Region. These facilities distributed 20,287 COVID vaccines in areas supported by CARE. Second, the CHWs are now conducting targeted outreach informed by local concerns to address vaccine hesitancy in women and children. Now, not only are vaccinations being provided, CHWs have confirmed that women have increased their acceptance of vaccination shots. Read More...

Rapid Gender Analysis Sofala – Beira

On the 23rd of January 2021 Tropical Cyclone Eloise made its landfall, in central Mozambique.. Over 441,686 people were affected, with 43,327 persons being displaced (the Instituto Nacional de Gestão Reduçãodo Risco de Desastres (INGD).) The storm also destroyed farmland, infrastructure and thousands of homes. Most of the areas hit by Cyclone Eloise were the same areas affected by Cyclone Idai less than two years ago and hit by tropical storm Chalane on 30 December 2020. CARE conducted a Rapid Gender Analysis from the 12th to the 18th of February in three of the affected districts in Sofala Province, Beira (with the focus on Inhamizua, IFAPA accommodation center, and Chipangara) Nhamatanda (with focus on Tica, and Jhon Segredo Accommodation center), and Buzi (with focus on Guara-Guara), at the transit centers, resettlement sites, and catchment areas. About 56 364 houses were totally or partially destroyed, others flooded, forcing some families to shelter with host families. Others families had been evacuated from flooded areas and were staying in crowded temporary accommodation. Those that were staying in accommodation centers had lost most of their resources, and were dependent on government for daily provision. Read More...

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