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ETUDE SUR LE PLAIDOYER ET L’INCLUSION FINANCIERE DANS LES REGIONS DE SEGOU, DE MOPTI ET DE TOMBOUCTOU

L’une des composantes du PEF GS vise essentiellement à promouvoir l’autonomisation économique ou pouvoir économique des femmes et des filles dans les zones d’intervention du projet. Cependant force est de reconnaitre que cette vision tarde à atteindre la globalité des objectifs de la composante qui est âprement inscrite dans la théorie de changement du projet.
Même si les femmes ont atteint un niveau réel et tangible dans leurs progrès vers l’autonomisation économique, il faudrait noter que leurs activités ne pourraient être développées que lorsqu’elles aient un accès viable aux crédits à travers les instituts des microfinances et les banques de la place. Un vrai partenariat gagnant-gagnant permettra aux femmes d’atteindre leur vision en termes d’entreprenariat et objectifs économiques durables.
Les thématiques de formations ont été dispensées au profit des femmes et des filles pour renforcer leurs capacités d’intervention et d’influences des pratiques en faveur des changements positifs.
C’est fort de ces constats dans le but de mieux orienter l’intervention pour un changement positif que Care Mali a engagé UNIVERS MANAGEMENT pour conduire une étude approfondie d’analyse participative relative au rôle des femmes dans le plaidoyer et l’inclusion financière. L’étude sera menée à travers des séries d’analyse participative sur la vulnérabilité des femmes, les contraintes/obstacles, affectant la situation socio-économique et culturelle des Femmes/Filles. Cette analyse permettra aux équipes des Projets GEWEP avec ses partenaires stratégiques (services techniques, élus, femmes des groupements/réseaux MJT, IFM) de développer de façon participative des stratégies et produits adaptés aux besoins spécifiques des femmes et des filles. Read More...

COOPERER III Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID 19 RAPPORT DE L’ÉTUDE DE BASE

CARE International au Cameroun a obtenu à travers CARE France un soutien financier du Centre de Crise et de Soutien (CDCS) du Ministère français de l'Europe et des Affaires Etrangères, pour implémenter le projet : « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la Covid-19 », en abrégé « COOPERER III » ou encore « ResCOV-19 », sur le corridor Kaélé-Touloum-Yagoua dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, sur la période du 1er Avril 2021 au 31 Mars 2022. S’inscrivant dans la continuité de ses actions entrepris à travers les projets COOPERER I et COOPERER II dans ces localités (Kaélé, Touloum et Yagoua), CARE se propose de poursuivre le soutien de la résilience économique et de protéger les moyens de subsistance des femmes et des jeunes touchés directement ou indirectement par la Covid-19, en valorisant les acquis des précédents projets.
L’action de CARE Cameroun dans ces Communes est de : « Contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’accès à l’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19 dans la Région de l’Extrême-Nord du Cameroun, Axe Kaélé-Touloum-Yagoua ». De manière spécifique il sera question de : (1) Renforcer et sensibiliser le personnel des communes et les communautés sur la protection Covid et la gouvernance autour des infrastructures sociales de base (point d’eau, hygiène), dans les communes de Kaélé, Touloum et de Yagoua, (2) Améliorer l’accès des femmes et les jeunes dans les zones Kaélé, Touloum et Yagoua, aux opportunités économiques via une approche de sensibilisation et développement économique.
Les principales recommandations issues de cette étude vont dans le sens de :
▪ Poursuivre la sensibilisation des CGPE sur l’importance de leur adhésion à la micro-assurance ;
▪ Organiser un recyclage/formation des membres des CGPE et de la micro-assurance sur leurs rôles et responsabilités ;
▪ Accompagner les bureaux de micro-assurance à l’élaboration des statuts et règlements intérieurs (pour celles qui n’en disposent pas) ;
▪ Définir clairement les responsabilités des communes vis-à-vis de la micro-assurances des forages ;
▪ Faire un plaidoyer auprès de l’exécutif municipal pour qu’ils apportent un appui au fonctionnement de la micro-assurance notamment en ce qui concerne l’acquisition d’un bureau ;
▪ Renforcer la dynamique associative à travers la redynamisation/création des réseaux d’AVEC fortes et interconnectées ;
▪ Poursuivre le processus d’autonomisation des femmes via le renforcement des capacités en matière de leadership, d’entrepreneuriat y compris le pouvoir de négociation. Read More...

Post Distribution Monitoring/Evaluation finale du projet « COVID-19 : Prévention, protection et relèvement économique »

Les premiers cas de COVID-19 ont été enregistrés au Cameroun en début mars 2020. Au 18 avril 2020 le Cameroun est le 2e pays le plus touché en Afrique subsaharienne et le premier pays de la CEMAC avec 7860 cas confirmés au 08 juin 20201. Afin de limiter la propagation du virus COVID19, le gouvernement a mis en place des mesures de prévention strictes, dont la suspension des
vols commerciaux, la fermeture des frontières, la fermeture des écoles, la fermeture dès 18h des bars, restaurants et lieux de loisirs, l’interdiction de rassemblements de plus de 50 personnes, ou encore l’obligation du port du masque en public à partir du 13 avril 2020.
Pour apporter sa contribution à cet effort de solidarité, CARE International au Cameroun, a mis en œuvre le « Projet COVID-19 : Prévention, protection et relèvement économique » dans le District de santé de Biyem-Assi (Yaoundé) de juin à septembre 2020 en ciblant spécifiquement 150 femmes et filles IDPs et TS. Mis en œuvre en collaboration avec Horizons Femmes, ce projet a fait l’objet d’une évaluation finale interne afin de mesurer et apprécier les changements (éventuels) dus à l’intervention du projet sur les bénéficiaires par rapport à la période concernée.
En ce qui concerne la qualité de l’intervention, l’évaluation établit : (i) la pertinence du projet qui est aligné sur les besoins prioritaires des cibles, les objectifs de développement durable et les politiques nationales, y compris les stratégies de réponse face au COVID-19 ; (ii) une efficacité et une efficience satisfaisantes, les activités réalisées ayant permis d’atteindre les objectifs visés à des coûts et des délais raisonnables ; (iii) une pérennité envisagée, malgré la courte durée du projet, notamment par la continuité de certaines activités dans le cadre du projet CHAMP ; une prise en compte du genre acceptable, ce qui a permis d’adresser les besoins différenciés à chaque groupe ciblé par le projet.
Les recommandations formulées vont dans le sens de : (i) élargir l’intervention dans d’autres zones accueillant la même cible ; (ii) clarifier au lancement du projet les différents niveaux de diffusion de l’information ainsi que le type d’information à communiquer ; (iii) déployer le transfert monétaire inconditionnel dans davantage de projets du programme de redressement et relèvement post-crise ; (iv) accompagner les bénéficiaires ayant développé/redynamisé des AGR à la maturation de leurs activités ; (v) penser à une composante qui permettent aux IDPs qui le souhaitent de retourner vers leurs localités d’origine dans la mesure ou la situation sécuritaire évoluerait dans le sens de l’apaisement ; (vi) revoir la stratégie de sensibilisation sur la Hotline en insistant sur la signification du terme « Hotline » ou trouvant une appellation plus accrocheuse ; (vii) conserver la dynamique du code unique et l’implication des bénéficiaires dans les différentes étapes du projet pour une meilleure redevabilité. Read More...

Enquête communautaire sur la contraception et les soins après avortement

CARE, en collaboration avec RAISE, avait commencé à appuyer le ministère de la Santé Publique (MSP) de la République Démocratique du Congo (RDC) pour fournir des services contraceptifs au sein de la zone de santé de Kasongo dans la province du Maniema en 2009. Le programme SAFPAC, L'appui facilitant l’accès à la planification familiale et soins post avortement en situations d’urgence, appuie 19 structures sanitaires dans les zones de santé de Kayna, Lubero, Butembo et Kasongo (Provinces du Nord Kivu et du Maniema) couvrant une population d’à-peu-près 320.000 personnes entre 2011 et 2015. Actuellement, le programme couvre 48 structures sanitaires au sein des zones de santé de Lubero, Kayna et Butembo en province du Nord Kivu, servant une population de 915.538 personnes.

Pour promouvoir la capacité des femmes et adolescentes de prendre conscience de leurs droits d'accès aux services de santé de la reproduction de haute qualité dans cet environnement complexe, la stratégie de CARE porte sur quatre grands domaines d'intervention: 1) formation clinique basée sur les compétences complétée par des suivis et coaching des prestataires ; 2) pourvoie et appui à la chaine d’approvisionnement en contraceptifs et consommables médicaux ; 3) supervision basée sur les données en partenariat avec les autorités sanitaires locales ; 4) engagement des communautés à appuyer l’accès des femmes aux services de santé de la reproduction. Le programme CARE met l’accent sur une gouvernance par la communauté et se focalise sur les adolescents. Ces importantes approches transversales sont reflétées dans ce travail de santé de la reproduction par le biais d’une intensification de la mobilisation sociale visant les adultes et les adolescents pour faciliter l’accès à la contraception des adolescents, une représentation des communautés dans la gouvernance de la santé au niveau des structures sanitaires et des zones de santé, et les apports au niveau des parlements de jeunes focalisés vers les activités des adolescents là où c’est faisable et approprié comme par exemple parmi les déplacés aux environs de Goma dans le Nord Kivu.

En 2016 RAISE et CARE ont conduit une enquête communautaire pour évaluer le niveau des connaissances, les attitudes et comportements de femmes en ce qui concerne la contraception et les soins après avortement dans les zones de rayonnements des structures sanitaires appuyés par CARE au sein des zones de santé Lubero et Kayna dans le Nord Kivu. Read More...

Analyse Rapide Genre au sein des réfugiés de la RCA et les communautés hôtes à Timangolo, Lolo, Mbilé. Département de la Kadey- Est Cameroun

Depuis décembre 2013, environ 128550 réfugiés sont arrivés au Cameroun repartis entre la région de l’Est (95075), l’Adamaoua (23060), le Nord (3540) et Yaounde (3540). Dans le Département de la Kadey, à l’Est, la majorité de réfugiés vivent dans des villages d’accueil et les autres dans plusieurs sites dont ceux de Lolo, Mbilé et Timangolo qui accueillent 26124 réfugiés répartis dans 7403 ménages.

Ces nouveaux réfugiés M’bororos, viennent ajouter à des anciens refugiés centrafricains de la même ethnie accueillis et installés dans la zone depuis 2005.

En mai 2014 CARE a conduit des évaluations des besoins qui ont permis de développer une stratégie de réponseaxée dans le domaine de l’eau, l’hygiène et l’assainissement (EHA), la santé mentale et l’appui psychosocial (SMPS), la sécurité alimentaire avec comme cible principale les réfugiés et leurs populations hôtes le long de l’axe Bertoua-Kentzou and Batouri-Toktoyo.
Actuellement CARE met en œuvre des interventions sur l’EHA sur le site de Timangolo et la SMPS dans les sites de Lolo et Mbile.
Afin de mieux répondre aux besoins spécifiques des réfugiés, hommes, femmes, garçons et filles, CARE organise une analyse genre dont l’objectif est d’appréhender les besoins, les vulnérabilités et les capacités spécifiques aux hommes, aux femmes, aux garçons et aux filles ainsi que les relations, les normes et pratiques genre au sein des réfugiés dans les sites de Timangolo, Lolo, Mbile et leurs communautés hôtes. Read More...

Évaluation Multisectorielle Conjointe Des Besoins Des Populations Hotes, Deplacees Et Retournees Dans La Region Du LAC

La région du Lac, l’une des plus vulnérables du Tchad, fait face depuis le début de l’année 2015 à un déplacement massif des populations réfugiées, retournées et déplacées internes. En fin d’août 2015, les chiffres croisés de OCHA1 et HCR donnent à 84 898 le nombre des hommes et femmes déplacées dans la région. A ce chiffre s’ajoutent quelques 14 000 personnes déplacées internes installées en septembre autour de Ngouboua. Le caractère dynamique des déplacements et le problème d’accès à certaines zones rend difficile la maitrise du nombre des déplacés qui selon la CNARR atteindrait 127 000 personnes.

Les personnes déplacées ont fui les enlèvements, les assassinats odieux, les abus sexuels et autres pratiques esclavagistes perpétrées par les membres de la secte Boko Haram sur les hommes, les femmes, les filles et les garçons dans le Nord Nigeria et les villages tchadiens qui leurs sont frontaliers.

Les réfugiés sont accueillis au niveau du camp de Dar Es Salam alors que les retournés et les déplacés internes sont répartis dans quelques 19 sites d’accueil et communautés hôtes dans les zones de Bol et Bagasola. Cette dernière accueille presque 40% de son effectif sans aucune préparation ni mesures d’accompagnement, ce qui entraine une pression importante sur les ressources et services déjà insuffisants de la zone.

Les acteurs humanitaires dont les agences membres du système des Nations Unies, quelques ONG internationales et des ONG locales apportent l’assistance aux hommes et femmes déplacés mais leur capacité reste limitée en raison de problème d’accessibilité lié à la sécurité et de l’afflux régulier des populations déplacées depuis juillet 2015.
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Evaluation à mi-parcours du Projet « Partenariat Contre le Trafic, l’Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles aux Femmes (PACTE pour les Enfants et les Femmes) »

L’évaluation du Projet « Partenariat contre le Trafic, l’Exploitation et les Violences faites aux Filles et aux Femmes (PACTE pour les Enfants et les Femmes) » a fait ressortir les points suivants.
D’un point de vue pertinence, les objectifs du projet PACTE sont en phase avec ceux de la Politique Nationale de Protection de l’Enfance (PNPE) et répondent à des problèmes existants bel et bien dans les communautés :
 Pour 90% des personnes enquêtées, les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes sont effectivement une réalité, et 47% estiment que cela existe bel et bien dans leurs localités ;
 80% reconnaissent les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes comme des fléaux et trouvent qu’il faut s’en préoccuper.
Un an et demi après le début de la mise en oeuvre, l’évaluation révèle aussi que l’arsenal d'acteurs s’investit selon leurs domaines de compétence et parcelles de pouvoir à l’exercice d’éradication des phénomènes de trafic des enfants et des violences basées sur le genre identifiés dans les zones :
 Les acteurs impliqués dans la mise en oeuvre sont bien emmaillés sur les espaces couverts.
 Les groupements AVEC installés par les équipes des ONG et OSC partenaires de CARE Bénin/Togo dans les communes d’intervention du projet sont des creusets d’échanges qui facilitent la mise en oeuvre des activités du projet.
 186 leaders ont une bonne connaissance du projet et 6% sont impliqués dans la dénonciation des cas de violence envers les enfants et les femmes dans leur communauté. Read More...

EVALUATION FINALE: Projet d’accès à des services de protection pour les populations déplacées par le conflit du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO)

Le Projet d’Accès à des Services de Protection pour les populations déplacées par le conflit du nord-ouest et du sud-ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO) a été mis en oeuvre par un partenariat noué entre CARE Cameroun, récipiendaire principal et Horizons Femmes, pour une période de15 mois qui s’étend du 15/10/2022 au 30/03/2024 dans les départements de la Mifi et de la Menoua. L’objectif général de ce projet était d’améliorer l’accès à des services essentiels de protection pour les populations les plus vulnérables affectées (populations déplacées et hôtes) par les conflits des régions du Nord-ouest et Sud-ouest au Cameroun, dans les zones avoisinantes (Ouest), grâce à une réponse humanitaire coordonnée.
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...

Utilisation de Transferts Monétaires dans le Cadre des Services de Gestion de Cas de Violences Basées sur le Genre pour Soutenir les Populations Touchées par des Crises en Équateur: Synthèse

Avec le soutien du ministère des Affaires étrangères suédois, la Commission des femmes pour les réfugiés et CARE se sont associées pour faire progresser la Feuille de route de l’appel à l’action en renforçant les capacités de prise en charge des VBG et des transferts monétaires des prestataires de services en Équateur, de façon à optimiser les transferts monétaires dans le cadre des services de gestion des cas en vue d’assurer la prévention et la lutte contre les violences basées sur le genre au sein des populations touchées par la crise.

Ce projet s’est déroulé de septembre à décembre 2019. Il permet de démontrer, de manière exhaustive, la prise en charge des violences basées sur le genre dans un contexte présentant des taux élevés de VBG. Il permet également d’influencer la manière dont les acteurs humanitaires et les professionnels des secteurs du développement luttent contre les VBG en Équateur. Les transferts monétaires n’ont pas encore été systématiquement mis à profit pour répondre aux besoins des survivants de VBG et des personnes exposées aux risques de VBG (les bénéficiaires des services liés à la VBG). Par le passé, les projets de CARE se sont focalisés sur la prévention et l’atténuation des risques de VBG. L’association a donc apporté son soutien aux autorités locales, aux organisations de défense des droits des femmes et à la société civile en renforçant les politiques locales et les réglementations. Ces efforts seront renforcés au travers de l’accent mis par ce projet sur la lutte contre la VBG.

Cette synthèse a été rendue possible grâce au soutien financier du ministère des Affaires étrangères du Gouvernement suédois. Read More...

Programme d’Aménagement du Delta Intérieur du Niger et du Sourou PADIN II

De nombreux projets de gestion des ressources naturelles, financés par différents Partenaires Techniques et Financiers (PTF), ont été exécutés dans le Delta Intérieur, avec pour ambition d’améliorer la base productive du Delta Intérieur en réponse aux différentes sécheresses et à leurs effets.

Avec l’appui technique et financier de l’Ambassade d Royaume des Pays-Bas, une évaluation de ces différentes interventions en août 2007 a montré que malgré les résultats et les produits fournis, le caractère isolé et ponctuel de ces interventions, ne s’inscrivant pas dans un ensemble de gestion, limite leur impact, et qu’il faudra un engagement à long terme. Suite à cela, les principaux acteurs intervenant dans le Delta Intérieur ont convenu en mars 2008 de développer une approche sectorielle dans la préparation d’un programme pluriannuel de développement durable du Delta Intérieur.

C’est ainsi qu’est né en 2010 le Programme de Développement Durable du DIN (PDD-DIN) étalé sur 10 ans, avec un sous-programme initial d’Investissement sur les premiers 5 ans appelé Programme d’Aménagement du Delta Intérieur du Niger (PADIN).
Le projet PADIN dans sa phase pilote est mis en œuvre dans les cercles de Mopti, Tenenkou et Djenné. Ensuite, pour sa deuxième phase allant de Septembre 2013 à décembre 2018 d’autres villages les plus vulnérables à l’insécurité alimentaire ont été choisis parmi l’initiative 166 communes et également sur la base d’analyse poussée et en concertation avec les parties prenantes de la zone. Read More...

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