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At the last mile: Lessons from Vaccine Distributions in DR Congo

The Democratic Republic of the Congo (DRC) has one of the lowest COVID-19 vaccination rates in the world, with just 0.87% of people in DRC having received even one dose. While the country has received 8.2 million doses of COVID-19 vaccine, it has managed to administer 528,000 of them—just under 11% of vaccines available. In April of 2021, DRC became one of the first countries to return 1.3 million COVID-19 doses to COVAX because they could not deliver them to people before the vaccines expired.

The challenges that risked more than a million doses expiring are still in play for most of the country. In both January and February 2022, 114,705 vaccines expired in country because there was not enough investment in systems and health workers to deliver vaccines. To reach 70% of the population—62.7 million people—DRC will need to drastically scale up and accelerate COVID-19 vaccination.

CARE is working with 4 vaccination sites—2 in Butembo and 2 in Goma—to support with community mobilization in partnership with local leaders, health center operations, and training. With joint action and communication plans developed with chiefs, religious leaders, and local authorities, and additional equipment to protect health workers, those sites had vaccinated 1,132 people. In those 4 sites, we have also conducted several rounds of research and problem-solving using community dialogues between health workers and clients using the Community Scorecard, as well as the Social Analysis and Action tools, which provides the insights for this case study. The team has also supported local vaccination teams with IT infrastructure, personnel costs, and creating locally adapted COVID-19 communications plans.

Version Francaise
La République démocratique du Congo (RDC) possède un des taux de vaccination les plus bas dans le monde avec la lutte contre COVID-19. Seulement 0,87% des personnes en RDC ont reçu même une seule dose du vaccin. Alors que le pays a reçu 8,2 millions de doses de vaccin contre la COVID-19, il n’a réussi qu’à en administrer 881,204, soit un peu moins de 11% des vaccins disponibles administrés. En avril 2021, la RDC est devenue l’un des premiers pays à restituer 1,3 million de doses de COVID-19 à COVAX parce qu’elle ne pouvait pas les administrer aux personnes avant l’expiration des vaccins.

Les défis qui risquaient d’expirer plus d’un million de doses sont toujours en jeu pour la majeure partie du pays. En janvier et février, 114,705 doses ont expiré dans le pays parce qu’il n’y avait pas assez d’investissements dans les systèmes et les agents de santé pour livrer des vaccins. Pour atteindre 70 % de la population, soit 62,7 millions de personnes, la RDC devra considérablement intensifier et accélérer la vaccination contre la COVID-19.

CARE travaille avec 4 sites de vaccination – 2 à Butembo et 2 à Goma – pour soutenir la mobilisation communautaire en partenariat avec les leaders et structures locaux, les opérations des centres de santé et la formation. Ces sites avaient vacciné 1 132 personnes. Dans ces 4 sites, nous avons également mené plusieurs séries de recherches et de résolution de problèmes à travers des dialogues communautaires entre les prestataires des services et les clients avec la Carte Communautaire et l’analyse et l’action sociale, à l’aide de la carte de pointage communautaire, qui fournit les informations nécessaires à cette étude de cas. On a aussi appuyé les missions de supervisions avec l’infrastructure pour la connexion internet, la motivation des prestataires, et l’élaboration des plans de communication adaptes aux contextes.
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EVALUATION FINALE DU PROJET « RENFORCEMENT DE LA RESILIENCE DES PASTEURS ET AGRO-PASTEURS POUR UNE SECURITE ALIMENTAIRE NUTRITIONNELLE DURABLE FACE AUX EFFETS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE DANS LA PROVINCE DE BILTINE DANS WADI FIRA».

Le Tchad, de par sa situation géographique est devenu un lieu de refuge pour des milliers de réfugiés des Etats frontaliers (RCA, Libye Nigeria et Soudanais). De plus, en raison des conditions climatiques difficiles, de nombreuses régions du Tchad, parmi lesquelles celle de Wadi Fira, se retrouve confrontéé à des défis sociodémographiques et économiques. Il en résulte de cette situation des crises alimentaires récurrentes, une pression démographique, un accès très limité aux besoins de première nécessité de tous les groupes de populations, un manque de circulation de devise, une pression énorme sur les ressources naturelles, un accès limité aux surfaces arables cultivables, une réduction du niveau de production et d’auto-approvisionnement des populations, un espace de pâturage limité, etc. Face à cette problématique d’actualité, les impacts du changement climatique se font sentir dans l’agriculture, l’élevage, la santé, l’habitat et d’autres domaines quotidiennement. Les terres sont souvent sujettes à des effets ou impacts néfastes des changements climatiques comme la sécheresse, l’’inondation, l’érosion, les grands vents, la pauvreté, la chaleur atroce, la rareté des pluies, les pluies parfois abondantes, les conflits auxquels s’ajoutent l’insécurité.
C’est pourquoi, CARE International, à travers ses trois piliers programmatiques, a à son portefeuille plusieurs projets parmi lesquels le projet « Renforcement de la résilience des pasteurs et agro-pasteurs pour une sécurité alimentaire et nutritionnelle durable face aux effets du changement climatique dans la province de Biltine dans Wadi Fira ». En effet, il convient de noter que ce projet vise à contribuer à une amélioration durable des conditions de vie vulnérables de cette partie de la population en besoin d’assistance dans cette partie du Tchad. Il importe de préciser que ce projet a pris en compte la sécurité alimentaire, la nutrition, la santé, le genre, la consolidation de la paix et le WASH grâce à l’appui financier du Gouvernement Allemand.
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COOPERER III Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID 19 RAPPORT DE L’ÉTUDE DE BASE

CARE International au Cameroun a obtenu à travers CARE France un soutien financier du Centre de Crise et de Soutien (CDCS) du Ministère français de l'Europe et des Affaires Etrangères, pour implémenter le projet : « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la Covid-19 », en abrégé « COOPERER III » ou encore « ResCOV-19 », sur le corridor Kaélé-Touloum-Yagoua dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, sur la période du 1er Avril 2021 au 31 Mars 2022. S’inscrivant dans la continuité de ses actions entrepris à travers les projets COOPERER I et COOPERER II dans ces localités (Kaélé, Touloum et Yagoua), CARE se propose de poursuivre le soutien de la résilience économique et de protéger les moyens de subsistance des femmes et des jeunes touchés directement ou indirectement par la Covid-19, en valorisant les acquis des précédents projets.
L’action de CARE Cameroun dans ces Communes est de : « Contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’accès à l’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19 dans la Région de l’Extrême-Nord du Cameroun, Axe Kaélé-Touloum-Yagoua ». De manière spécifique il sera question de : (1) Renforcer et sensibiliser le personnel des communes et les communautés sur la protection Covid et la gouvernance autour des infrastructures sociales de base (point d’eau, hygiène), dans les communes de Kaélé, Touloum et de Yagoua, (2) Améliorer l’accès des femmes et les jeunes dans les zones Kaélé, Touloum et Yagoua, aux opportunités économiques via une approche de sensibilisation et développement économique.
Le présent document est le résultat et les analyses des données de la collecte des données e l’étude menées du 07 au 14 Avril 2021 dans les Communes de Kaélé, Touloum et Yagoua auprès de 407 personnes dont 64% de femmes :
▪ 02 membres de l’exécutif municipale ;
▪ 04 Responsables des districts de santé et formation sanitaires ;
▪ 323 (dont 248 femmes), anciens membres d’AVEC issus des projets COOPERER I et COOPERER II ;
▪ 39 (dont 04 femmes) membres des Comités de gestions des forages ;
▪ 05 leaders traditionnels et d’opinion dans les localités cibles des projets COOPERER I et II ;
▪ 32 membres Micro-assurance communal des forages,
▪ 02 Représentantes des réseaux des associations féminines
Cette étude a été conduite pour établir un référentiel des indicateurs du projet COOPERER III et pour servir de base de calcul, en vue d’apprécier toute évolution ou variante pour chaque indicateur à la fin du projet.
Les principales recommandations issues de cette étude vont dans le sens de :
▪ Poursuivre la sensibilisation des CGPE sur l’importance de leur adhésion à la micro-assurance ;
▪ Organiser un recyclage/formation des membres des CGPE et de la micro-assurance sur leurs rôles et responsabilités ;
▪ Accompagner les bureaux de micro-assurance à l’élaboration des statuts et règlements intérieurs (pour celles qui n’en disposent pas) ;
▪ Définir clairement les responsabilités des communes vis-à-vis de la micro-assurances des forages ;
▪ Faire un plaidoyer auprès de l’exécutif municipal pour qu’ils apportent un appui au fonctionnement de la micro-assurance notamment en ce qui concerne l’acquisition d’un bureau ;
▪ Renforcer la dynamique associative à travers la redynamisation/création des réseaux d’AVEC fortes et interconnectées ;
▪ Poursuivre le processus d’autonomisation des femmes via le renforcement des capacités en matière de leadership, d’entrepreneuriat y compris le pouvoir de négociation.
Ce document s’articule autour des points suivants : La partie introductive, la méthodologie de l’étude, les résultats de l’étude par indicateurs, la conclusion et les recommandations issue de l’étude. Read More...

POST-PROJECT LEAD IMPACT ASSESSMENT “INTEGRATING SOCIAL ACCOUNTABILITY INTO DEVELOPMENT EDUCATION

The project "Integrating Social Accountability in Education for Development" (LEAD) is a social accountability project understood as the continuous process of improving collaborative relationships, compliance with commitments made, and accountability between institutional actors and citizens in
order to contribute to participatory governance in the education system. The LEAD project ran from October 1, 2014 to September 30, 2018. It was funded by the World Bank's Global Partnership for Social Accountability (GPSA). It aimed to improve the performance of the education system not only within schools but also at the provincial (DPMEN1) and regional (AREF2) levels. During this period, the project was piloted in 50 schools between the region of Marrakech- Safi (Province of Al Haouz) and Casablanca- Settat (Prefecture of Sidi Bernoussi). Read More...

POST-PROJECT LEAD IMPACT ASSESSMENT “INTEGRATING SOCIAL ACCOUNTABILITY INTO DEVELOPMENT EDUCATION

The project "Integrating Social Accountability in Education for Development" (LEAD) is a social accountability project understood as the continuous process of improving collaborative relationships, compliance with commitments made, and accountability between institutional actors and citizens in order to contribute to participatory governance in the education system. The LEAD project ran from October 1, 2014 to September 30, 2018. It was funded by the World Bank's Global Partnership for Social Accountability (GPSA). It aimed to improve the performance of the education system not only within schools but also at the provincial (DPMEN1) and regional (AREF2) levels. During this period, the project was piloted in 50 schools between the region of Marrakech- Safi (Province of Al Haouz) and Casablanca- Settat (Prefecture of Sidi Bernoussi). Read More...

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