Here in CARE International’s Evaluation e-Library we make all of CARE’s external evaluation reports available for public access in accordance with our Accountability Policy.

With these accumulated project evaluations CARE International hopes to share our collective knowledge not only internally but with a wider audience.

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Understanding the Policy Environment for Scaling Farmers’ Field Business School in Nepal: A Gender Focused Context Analysis with a Focus on Local and Sectoral Governance

The objectives of the Rupantaran project are to enhance dignity and self-esteem with livelihood promotion of Farmer Field Business School (FFBS) groups especially landless, women and Dalits, and other marginalized communities. The project is transforming the knowledge and skills of Small Holder Women Farmers (SHWFs) through the ‘Krishak Pathshala’ (Farmer Field Business School) model based on the ‘Learning by Doing’ approaches at the community level, and beneficiaries are taking the project positively and participating in FFBS model in their respective community.

The study is implemented by National Farmer Group Federation (NFGF) in partnership with CARE Nepal. The primary purpose of the study is to carry out a gender-focused context analysis to understand the policy environment and governance context with a focus on the local governance and sectoral governance of associated sectors with the FFBS scale-up, specifically agriculture, food security, climate change adaptation, nutrition, and markets. The study is focused on structure, institutional and governance arrangement, and the main change actors/stakeholders to enable the promotion of the FFBS model and identify the formal and informal institutions and opportunities that support upscaling of the FFBS model. It is found through the study that the structural barriers for women and Dalits are caste, class, gender, education, land size, ownership, and the traditional patriarchal mindset. Additionally, the study area's socially harmful practices include untouchability, child marriage, Gender Based Violence (GBV), dowry systems, and domestic violence from their intimate partner. Moreover, the care economy does not recognize women’s contribution to household chores.


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Mid-Term Evaluation of the Hamzari Resilience Food Security Activity in Niger- Volume I

The report evaluates the "Hamzari" Resilience and Food Security Activity (RFSA) in Niger, funded by the U.S. Agency for International Development (USAID). Launched in 2018, this project aims to enhance food and nutrition security for vulnerable groups in the Maradi Region, directly impacting 96,000 participants across 325 villages. The report outlines four key purposes, focusing on reducing extreme vulnerability among marginalized groups, improving health and nutritional status, ensuring equitable access to water, sanitation, and hygiene (WASH) services, and promoting sustainable livelihoods. Despite challenges such as COVID-19, the project has made notable progress, although the diversity of interventions has sometimes hindered overall quality and sustainability.

Page No: 82
Donor: U.S. Agency for International Development (USAID)
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Mid-Term Evaluation of the Hamzari Resilience Food Security Activity in Niger – Volume II

The Mid-Term Evaluation (MTE) of the Hamzari Resilience Food Security Activity represents a crucial assessment of the program's effectiveness and impact in addressing food insecurity and malnutrition among vulnerable populations in Niger. This evaluation, funded by the United States Agency for International Development (USAID) Bureau for Humanitarian Assistance (BHA), aims to comprehensively analyze the implementation strategies, outcomes, and overall quality of the Hamzari program, which operates within a multi-faceted framework designed to improve food security and nutrition for marginalized groups, including women, youth, and persons with disabilities.

The MTE serves as a critical tool for identifying the strengths and weaknesses of the program's interventions, exploring areas of success while also pinpointing challenges that may hinder progress. By focusing on qualitative and quantitative indicators, the evaluation aims to provide evidence-based recommendations for enhancing program design and delivery in the remaining years of implementation. Key objectives include assessing service delivery quality, identifying intended and unintended changes in target communities, and evaluating the efficiency of cross-sectoral strategies, particularly those addressing gender and youth engagement.

Page No: 120
Donor: U.S. Agency for International Development (USAID) Read More...

PROJET WALLINDE « AIDER LES AUTRES » Evaluation Finale et Capitalisation

Le projet « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, a été mis en oeuvre par CARE Cameroun dans les départements du Mayo Tsanaga, Mayo Danaï et Mayo Kani. L’objectif poursuivi par le projet est de « renforcer l'accès aux services de base en matière d'eau, hygiène et assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun ». Le projet couvre une période allant du 1er avril 2021 au 31 avril 2023 soit une durée globale de 24 mois.
Trois (03) résultats spécifiques étaient attendus, à savoir : (i) La gouvernance communautaire et communale des infrastructures de base (points d'eau, latrines, hygiène) est améliorée afin de garantir un accès accru, équitable et sécurisé à l'eau potable autour des écoles des communes de Mokolo, Hina, Touloum et Kaélé ; (ii) les élèves (filles, garçons), les parents (hommes, femmes ) et le personnel des écoles ont amélioré leurs connaissances et adopté des bonnes pratiques en matières d’EHA ; (iii) les capacités d’épargne des femmes et des jeunes membres des AVEC sont renforcées
Rendu à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe du projet. La mission dont le présent document est le rapport visait à apprécier le résultat global du projet par rapport aux objectifs initiaux et de réfléchir avec les principaux intervenants en vue d’améliorer la mise en oeuvre ultérieure de projets similaires, mais aussi de générer des leçons apprises que CARE Cameroun puisse utiliser pour planifier et/ou adapter les composantes humanitaires des interventions futures. A la suite du processus de sélection, le Cabinet Multipolaire a été retenu pour accompagner CARE dans ce processus. Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 20 au 25 mars 2023. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection et sauvegarde des enfants. Au total, 1 609 personnes dont ont été consultées dont 699 hommes et 910 femmes.
Les données croisées de l’évaluation montrent que les résultats attendus du projet ont été largement atteints, poussés par certaines activités comme la réhabilitation de 25 forages sur 20 prévus. On a également noté une forte mobilisation des populations, notamment à travers les sensibilisations sur les thématiques EHA. Les points forts du projet Walindé sont nombreux, entre autres il s’agit d’un projet pertinent, accepté et fortement apprécié par les populations, menant de judicieuses activités de construction/réhabilitation des points d’eau et des latrines, de renforcement des capacités des CPGE et micro-assurances, en partenariat avec les communes cibles et les structures sectorielles déconcentrées, avec lesquelles un climat de bonne collaboration et d’interactions positives a été développé, pour le grand bien des populations bénéficiaires. Ceci est également un atout pour la durabilité sociale et institutionnelle du projet.
On peut conclure sans risque de se tromper que la couverture en eau potable a été améliorée par l’offre de forages fonctionnels aux écoles bénéficiaires. Toute la population des intervenants de l’école et des communautés environnantes profitent de ces points d’eau. Toutes les écoles bénéficiaires ont en outre un lieu désigné pour le lavage des mains où l'eau et le savon sont présents et les latrines propres. Les proportions de personnes qui, lorsqu’elles y sont invitées, font une démonstration satisfaisante de bonnes pratiques en matière d’EHA sont très satisfaisantes (supérieures à 90%) quel que soit le sexe et l’âge. Le projet a ainsi contribué au changement des comportements au sein des établissements scolaires, au sein des ménages et au sein des communautés. Le projet a également contribué à la formation et au l’autonomisation, soutenue par une implication marquée et positive des acteurs communautaires peut déclencher des dynamiques sociales et institutionnelles favorables à la motivation des communautés qui prennent conscience de ce que leur avenir dépend en majeure partie d’eux même, de leur désir commun de développement.
Les structures de micro assurance constituent une réponse idoine à la problématique de la maintenance durable des points d’eau. A condition :i) qu’elles aient des capacités de sensibilisation permettant d’attirer et affilier le maximum de CGPE au sein de leur commune ; ii) qu’elles soient capables de mutualiser leurs ressources au-delà de la commune et des départements, dans le cadre d’un réseau régional de micro assurance d’entretien des points d’eau. Un accompagnement à cet effet devrait être confié à un consultant ayant le profil adéquat, qui serait rétribué en fonction des résultats obtenus.
Finalement, l’évaluation recommande fortement une phase subséquente du projet, dans la perspective de consolider les acquis du projet, d’organiser plus sereinement le développement du mécanisme de micro-assurance des points d’eau et également les centres d’alphabétisation. Read More...

RAPPORT ETUDE DE BASE ET ANALYSE GENRE PROJET PASEPRO

La stratégie pluriannuelle 2022-2027 de CARE Cameroun vise à toucher 250 000 personnes affectés par les crises, à travers une réponse humanitaire sensible au genre. La prévention et la réponse à la violence, en particulier aux violences basées sur le genre (VBG), est un axe central de cette stratégie. Au vu des nombreux besoins humanitaires non couverts dans la région de l’Ouest Cameroun, CARE souhaite étendre son action humanitaire dans cette région. C’est ainsi qu’avec l’appui du Centre de Crise et de Soutien (CDCS), CARE Cameroun en partenariat avec Horizons Femmes mettent en oeuvre le projet dénommé PASEPRO dans les districts de santé de la Midi et de Santchou sur une période de 15 mois. Ce projet vise spécifiquement à prévenir et répondre aux risques de violence, abus et exploitation encourus par les personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d’accueil à travers des mécanismes communautaires et une meilleure coordination des acteurs. Dans une logique d’intégration transversale du genre, l’étude de base de ce projet a été couplé à l’analyse genre. Cette étude s’est appuyée sur des statistiques descriptives secondaires et des données d’enquête primaires(quantitatives) combinées à des examens structurés de documents, des groupes de discussion et des entrevues semi-structurées (qualitatives). Les résultats de cette étude mettent en exergue que le déplacement des personnes à la suite des conflits vers les deux départements a fortement influencé la division du travail d’après 54,39% personnes enquêtées. Les décès enregistrés au sein des ménages tout comme les occupations liées à la recherche des moyens de subsistance ont conduit certaines femmes à faire établir des actes de naissances. Une diminution dans l’accès aux ressources est constatée exception faite de l’accès à l’information. Ce déclin dans l’accès aux ressources tant pour les hôtes que pour les déplacés interne entraine l’émergence du travail journalier. Il convient cependant de préciser qu’avant la crise, les principaux moyens de subsistance étaient : l’agriculture (31,34%), le petit commerce (21,35%) et les travaux journaliers (6,12%) contre respectivement (27,94%) agriculture ; (25,27%) le petit commerce et (16,33%) les travaux journaliers. Une spécificité est tout de même observée pour les personnes en situation de handicap qui ont recours à la mendicité bien que l’on observe une tendance au désir d’autonomisation pour les personnes de sexe féminin en situation de handicap. Davantage de femmes (55,87%) que d’hommes (32,65%) estiment pouvoir prendre la décision dans l’achat ou la vente des actifs de manière unilatérale. Cette tendance ne s’observe pas pour ce qui concerne la santé où les hommes sont ceux qui prennent la décision dans la majorité des cas. La situation est davantage difficile pour ceux qui en plus de ces identités liées au sexe porte l’identité du handicap. Ces derniers sont perçus par la communauté comme des personnes ne pouvant pas exercer le leadership communautaire. S’agissant de l’accès aux services, 12,72% des personnes enquêtées ne disposent d’aucun document d’état civil. Seulement 37% des personnes consultées dans le district de Santchou ont accès aux soins de santé. Il convient également de préciser que bien que 78,96% des personnes consultées au cours de cette étude possèdent des comptes Mobile Money seulement 25,43% d’entre elles affirment disposer les comptes Mobile Money enregistrés à leurs noms. Read More...

Adolescent Girls’ Education in Somalia (AGES) Midline evaluation

Original Baseline Cohorts
Learning outcomes among the original baseline cohorts are mixed. The FE and ABE cohorts showed substantial learning gains at ML1 and continue to perform above their baseline levels, but have experienced significant backsliding in both literacy and numeracy since ML1. This learning loss is concerning, and is coupled with a failure, even at ML1, to meet the learning benchmarks established at baseline.1 C1 NFE girls, on the other hand, have shown no learning improvements since baseline on either literacy or numeracy, in either the ML1 or ML2 rounds.
Learning gains among FE girls include an increase in literacy of 20.5 points since baseline, compared to an expected (benchmarked) achievement of 29.7 points. This cohort came closer to meeting the numeracy targets, gaining 15.3 points since baseline, compared to an expected improvement of 18.5 points. ABE girls have also failed to meet their benchmarks, but by larger margins, falling short of the literacy and numeracy benchmarks by 15.4 points and 11.5 points, respectively.
An important caveat when assessing learning outcomes concerns differential exposure to schooling among the cohorts. Girls who remained enrolled in FE consistently improved considerably, but the cohort’s overall scores are reduced by the number of girls who dropped out over time; the same is true of ABE and NFE girls.2 While even consistent attenders generally failed to meet improvement benchmarks, these differential gains underscore the importance of continuous enrolment to achieving the programme’s learning goals.
C4 NFE Cohort
Improving learning outcomes—numeracy and Somali literacy—are at the centre of the AGES programme’s goals. C4 NFE girls were enrolled before ML1 and completed the 10-month NFE programme. At the ML2 evaluation point, in the aggregate, we find that both numeracy and literacy scores improved significantly from a low base set of scores at ML1. The C4 NFE girls improved their average numeracy scores from 21.1 points to 49.6 points, and average literacy scores increased by 18.3 points to 34.9 points.
Examining changes in learning outcomes by region, C4 NFE girls in Banadir, Lower Shabelle, and Middle Shabelle improved their numeracy scores from 24.6 to 28.2 points on average while in Bay C4 NFE girls only improved by 2.3 points on average. With regard to literacy scores, C4 NFE girls in Banadir and Lower Shabelle improved their literacy scores 23.2 and 24.9 points, respectively, while scores in Bay stagnated with only a 1.8 point increase. Girls from Bay scored significantly higher than girls from all other regions at ML1, but by ML2 the numeracy and literacy gains were minimal and not statistically significant. Read More...

Gender Analysis in Sudan: Exploring Gender Dimensions of Humanitarian Action and Women’s Voice and Leadership in East Darfur, Gadarif, Kassala, South Darfur, and South Kordofan

CARE Sudan is working to ensure that gender dynamics in Sudan are well understood, and that gender is fully integrated into all programmes and operations. This gender analysis covers each of the sectors to which CARE Sudan responds, highlighting key similarities and differences within the five operational states in which CARE Sudan operates. In all sectors, the analysis assesses differences in barriers and opportunities for different populations, especially women and girls.
Study Findings
Livelihoods. Unlike most of the other sectors of focus in this analysis, livelihoods present the most diverse experiences of women across states, localities, and villages. Generally, however, women the Darfur states experience similar challenges and opportunities, whereas the women in the other three states each have different types of experiences based on the context and norms in these regions. Core challenges experienced by women include the lack of available job opportunities, women’s responsibility over the household which doubles their burdens, lack of ownership and
control over productive assets, and exposure to gender-based violence. These issues are driven by some harmful and unequal official and customary laws, paternalistic gender norms, insecurity and conflict, illiteracy and poor education, and limited education.
Governance and Peacebuilding. Governance systems have been in turmoil since the 2019 Revolution. Despite this period of well-documented crisis at the national level, few issues were described by study respondents at the local level. This indicates a severe separation between national and local issues on the ground. However, women are consistently excluded in all governance and peacebuilding spaces across all states. The most common issues raised included hierarchical traditional mechanisms and powerholders, domination of men over decision-making, deliberate exclusionary practices, and the artificial fulfilment of women’s quota. These issues persist due to women’s illiteracy and poor education, social norms and traditional practices, harmful beliefs about women, low access to information for women, withdrawal of civil society, heavily centralized governance systems, and gaps in gender equality laws.
Gender-Based Violence. The types of GBV identified in Sudan include domestic / family violence (e.g., hard beating, psychological abuse), community social violence (e.g., exclusion, humiliation), harmful traditions and customs (e.g., early marriage, FGM/C), and violence during war (e.g., rape, killing). Women experience several challenges related to GBV – beyond the act of violence itself – such as stigmatization of reporting and the normalization of domestic violence. GBV is so prevalent due to unequal laws the enable it, patriarchal gender norms, economic hardship, insecurity and conflict, and the absence of law enforcement. It is driven internally by the family by the deep need
to protect family honor.
Water, Sanitation, and Hygiene (WASH). Issues around water are well-understood and agreed upon by community members, with little differences in opinions be gender. The core issues relate to water include unreliable water accessibility, unequal responsibilities for water fetching and management that fall almost exclusively to women and girls and cause harmful health impacts, and the contamination of water sources. Similarly, related to sanitation, there is inadequate availability of latrines and poor cleanliness and waste accumulation in available latrines. Women specifically face the core hygiene issue of unavailability of dignity kits and no soap for washing. Such issues are primarily caused by poor governance and insufficient budgets alongside decentralized and male dominated water decision-making that does not account for women’s needs and discriminatory social norms and practices.
Health. The main health challenges identified in the states related to pregnancy and reproductive health, with little attention given to infectious or chronic diseases. Core to all health issues is the deficit of available and/or adequate reproductive and general health care centres. Health care may be the only sector in which men and women feel there is more equitable treatment between the genders; in fact, pregnant women tend to get preferential treatment in health centers when they are seen. However, significant issues remain for women including a lack of trained (female) medical staff and unaffordable medications and services. Like other sectors, poor governance and insufficient budget are primary drivers of weak health systems despite the INGO community playing a major role in building and delivering care at health centers. A significant emerging issue in the sector is the increasing mental health needs for women, particularly refugees.
Food Security and Nutrition. Families in all states report insufficient food availability driven by the rapidly collapsing economic situation and price hikes due to inflation. Food scarcity challenges are compounded by the deterioration of the agricultural season as a result of climate change in as most families are constrained to eat just what they can grow or procure very easily and cheaply locally. Even when food is available, it is very limited in variety causing low nutritional intake.
Women experience malnutrition because social norms dictate that they eat last and least even though overcoming food shortages is primarily the burden of women. Read More...

CARE Rapid Gender Analysis Democratic Republic of Congo (DRC) – Mudja, Munigi and Kanyaruchinya IDP camps in North Kivu province

In the Democratic Republic of Congo (DRC), the province of North Kivu, has recently been affected by insecurity resulting from conflict between armed combatants (militia) and the government forces (FARDC). This has had a negative impact on the territories of Rutshuru, Nyiragongo and Masisi. The fighting which began in Rutshuru and Nyiragongo, spread to the eastern part of Masisi territory, depriving the rest of the adjacent area, including Goma, of a supply route. The National Road 2 connecting Goma to Rutshuru, is controlled by the combatants since the October-November 2022 offensives. By December 2022, at least 530,190 persons have been displaced since the fighting began, including at least 318,114 women and girls. More than 88% of internally displaced persons (IDPs) live in collective centres (churches, schools, stadiums) and makeshift sites (camps), while the rest are hosted by host families. More than 137,000 IDPs were forced to return to their places of origin in Rutshuru and Rwanguba health zones when fighting intensified in October 2022. Population movements remain dynamic and evolve according to the security context. To have a response that considers the different needs, capacities and coping strategies of women, girls, boys, and men affected by displacement, CARE International in DRC conducted a Rapid Gender Analysis (RGA) in the displacement camps of Nyiragongo Health Zone, Kanyaruchinya, Munigi and Mudja camps from December 2022 to January 2023. Focus group discussions, Individual and Key Informant Interviews were held with the affected population. Read More...

Adolescent Mothers Against All Odds Learning Report

Adolescent Mothers against All Odds (AMAL) Initiative was designed to meet the immediate needs of pregnant adolescents and first-time mothers in crisis-affected settings, while simultaneously addressing community consciousness and engagement around gender, power, and social norms. Using Syria’s context as a frame, this program was developed through an iterative process of adapting global approaches for humanitarian crisis-affected settings. Read More...

Impacto del cambio climático en la Inseguridad Alimentaria Áreas afectadas por ETA, IOTA y Julia

La depresión tropical Julia impactó en Guatemala, entre el 7 y 10 de octubre de 2022. Los estragos causados por esta tormenta se logran entender en el marco de un año con lluvias estacionales intensas, que mantenían al país con un alto porcentaje de humedad en los suelos. Los departamentos más afectados fueron: Izabal, Alta Verapaz, Huehuetenango, Quiché, Petén, Zacapa, Chiquimula y Suchitepéquez. Estos departamentos, coinciden con la mayoría de los que fueron afectados por Eta e Iota en el año 2020, por lo cual, el impacto de Julia fue enorme. A esto se sumaban los efectos de la pandemia por COVID-19, que aún presenta rebrotes con bajas tasas de vacunación de la población. Este contexto humanitario complejo y multifactorial, que se tenía al momento del ingreso de la depresión tropical Julia, explica en gran parte, la difícil situación enfrentada por la población afectada.
En octubre de 2022, en el Informe, CONRED reportó que las lluvias asociadas a depresión tropical Julia provocaron 1995 incidentes, con deslizamientos de tierra, derrumbes, hundimientos, inundaciones, entre otros. Fueron afectadas 1,358,158 personas, se evacuaron 58,634 y 19,372 fueron damnificadas, de las cuales 10,319 fueron llevadas a albergues. El perfil de las familias más afectadas muestra que el mayor impacto lo tuvieron hogares rurales y pertenecientes a los pueblos indígenas Q’eqchi’, K’iche’, Mam, Kaqchikel, Garífuna y Chorti´, y con ingresos menores a 3 mil quetzales, que se dedican principalmente a la agricultura de subsistencia, servicios, ventas y trabajos informales. La Evaluación de Daños y Análisis de Necesidades –EDAN-, desarrollada por CONRED, reportó que las viviendas afectadas fueron 2,303 en riesgo, 2,946, con daño leve, 15,430 con daño moderado y 996 con daño severo. Las infraestructuras públicas dañadas fueron 450 carreteras afectadas, 7 carreteras destruidas; 199 escuelas afectadas; 124 puentes dañados, 14 puentes destruidos, 14 puentes hamaca dañados y 1 destruido. (Gobierno de Guatemala, 2022)1
La depresión tropical Julia, ha impactado directamente en la calidad de vida de las personas afectadas, dejando pérdidas que profundizan su pobreza y precariedad:
• El 62% de las familias entrevistadas, ya habían sido afectadas por Eta e Iota en 2020. Es decir que son poblaciones con una situación constante de amenaza y precarización por la pérdida continua de sus medios de vida. Las pérdidas principales fueron debido a inundaciones, deslaves y derrumbes; afectando tierras, siembras, cosechas, semillas, árboles y animales de patio, y en menor medida, ganado, equipo y
herramientas y vehículos.
• De las 107 personas entrevistadas, un 35% tuvo daños en su vivienda. De estas, solo tres familias han recibido apoyo para reparar daños o reconstruir su vivienda. Muchas de estas familias ya habían tenido daños con las tormentas Eta e Iota en 2020.
• En el acceso al agua, el 4% de las familias tuvo daños severos en sus sistemas de agua y 5% perdieron el acceso al agua, debido a la destrucción de tuberías, pozos y contaminación de fuentes de agua.
• En lo relacionado con el acceso a servicios de salud, las comunidades que no tienen puesto de salud no tuvieron acceso a atención con personal de salud o a medicamentos durante la emergencia. Al igual que en otros RGA realizados anteriormente, se constata que el sistema de salud tiene limitadas capacidades para atender a la población, así como, para responder a emergencias y atender a la población afectada.
• El RGA reporta que las personas entrevistadas, en su mayoría, tienen ingresos inferiores al salario mínimo y al precio de la Canasta Básica Ampliada – CBA-. El 62% de las familias tienen ingresos menores a tres mil quetzales, y de estos, el 31% son inferiores a 1,500 quetzales. Estos ingresos no les permite generar condiciones para enfrentar este tipo de emergencias.
• En su mayoría, las familias dependen de los pocos medios de vida que poseen, y que se vieron afectados por las lluvias, inundaciones y deslaves. Read More...

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