Food and Nutrition Security
Mali Pathways Final Evaluation
CARE projet Pathways, connu au Mali comme projet Nyéléni, a été financé par la Fondation Bill et Melinda Gates (FBMG) depuis 2012. Il travaille principalement avec des femmes pauvres petits agriculteurs qui sont actuellement membres d'associations d'épargne et de crédit de village (VSLA), avec un objectif de 442 groupes et 15 000 participants dans 106 villages de Ségou et régions de Mopti. Au Mali, Pathways est mis en oeuvre grâce à une solide approche de programme, étroitement intégré avec d'autres interventions, dont les CARE a été élaborer avec soin des depuis plus de cinq ans, et ce fut précisément une approche destinée à Pathways à l'échelle mondiale. Le projet est mis en oeuvre par l'intermédiaire de partenaires, AMAPROS, ASAFE, GRET et YA-G-tu, et cela est en soi une initiative de renforcement des capacités positives. [114 pages] Read More...
Evaluation de Base “Dans Les Zones De Feed the Future” Nutrition et Hygiene
La présente étude restitue les résultats de l’évaluation de base dans les zones de Feed the Future nouvellement attribuées au projet USAID/Nutrition et Hygiène de CARE International au Mali dans les districts d’intervention de Mopti, Bandiagara, Bankass et Koro, région de Mopti. Un échantillonnage représentatif de 707 enfants de 0 à 59 mois, 480 femmes et 273 chefs de ménage, a été interviewé et mesuré sur les domaines suivants : l’agriculture, la santé, la nutrition et le WASH. Read More...
Pathways- Global Baseline Report
CARE’s Pathways program focuses on improving poor women farmers’ productivity by empowering them to more fully engage in equitable agriculture systems. The program is funded by the Bill and Melinda Gates Foundation and implemented in Bangladesh, Ghana, India, Malawi, Mali, and Tanzania. Aligned with other CARE initiatives, such as CARE Australia’s WE-RISE program, Pathways is designed to overcome the constraints to women’s productive and equitable engagement in agriculture. Utilizing a strong gender focus, the program’s Theory of Change posits that marginalized, poor women farmers will be more productive, and their families more food secure when:
women have increased capacity (skills, knowledge, resources), capabilities (confidence, bargaining power, collective voice), and support
local governance and institutions have/implement gender-sensitive policies and programming that are responsive to the rights and needs of poor women farmers
agricultural service, value chain, and market environments of relevance to women are more competitive, gender-inclusive, and environmentally sustainable. [104 pages] Read More...
women have increased capacity (skills, knowledge, resources), capabilities (confidence, bargaining power, collective voice), and support
local governance and institutions have/implement gender-sensitive policies and programming that are responsive to the rights and needs of poor women farmers
agricultural service, value chain, and market environments of relevance to women are more competitive, gender-inclusive, and environmentally sustainable. [104 pages] Read More...
Resilient Livelihood Project Final Evaluation Report
The purpose of final evaluation is to evaluate the impact of RLP to enhance resilience of households in rural communities of Afghanistan since the project began in January 2015. A secondary purpose is to generate lessons learned, and inform future programming. The evaluation also provides an opportunity to follow-up on recommendations provided in the mid-term review (January 2017) to ensure continuous project improvement and accountability. The evaluation will provide findings, recommendations and conclusions which can be used for future programming under a potential extension phase. [76 pages] Read More...
Resume Executif RAN AINA Etude de Base
Resume executive de l'etude de base de RAN AINA. Rapport complete disponible ici: http://careevaluations.org/evaluation/ran-aina-etude-de-base/
La présente étude consiste à identifier les indicateurs de base afin d’illustrer pour chaque observatoire la situation de malnutrition et de comportement des ménages de la zone du projet. Les données enregistrées constituent un outil de suivi et d’impact du projet RAN-AINA car elles permettront de mettre en place des observatoires offrant la possibilité de :
• Suivre un certain nombre d’indicateurs du comportement nutritionnel et sanitaire des ménages ruraux et de manière dynamique.
• enrichir l’interprétation des caractéristiques et des évolutions de changement de comportement des différents ménages, de chaque type de groupe par rapport aux thématiques véhiculées par le projet
• évaluer l’impact de leurs interventions, localisées dans des zones spatialement circonscrites et ;
• d’analyser les comportements, reflétant à la fois la forte hétérogénéité individuelle et la dimension temporelle. Read More...
La présente étude consiste à identifier les indicateurs de base afin d’illustrer pour chaque observatoire la situation de malnutrition et de comportement des ménages de la zone du projet. Les données enregistrées constituent un outil de suivi et d’impact du projet RAN-AINA car elles permettront de mettre en place des observatoires offrant la possibilité de :
• Suivre un certain nombre d’indicateurs du comportement nutritionnel et sanitaire des ménages ruraux et de manière dynamique.
• enrichir l’interprétation des caractéristiques et des évolutions de changement de comportement des différents ménages, de chaque type de groupe par rapport aux thématiques véhiculées par le projet
• évaluer l’impact de leurs interventions, localisées dans des zones spatialement circonscrites et ;
• d’analyser les comportements, reflétant à la fois la forte hétérogénéité individuelle et la dimension temporelle. Read More...
RAN AINA etude de base
La présente étude consiste à identifier les indicateurs de base afin d’illustrer pour chaque observatoire la situation de malnutrition et de comportement des ménages de la zone du projet. Les données enregistrées constituent un outil de suivi et d’impact du projet RAN-AINA car elles permettront de mettre en place des observatoires offrant la possibilité de :
• Suivre un certain nombre d’indicateurs du comportement nutritionnel et sanitaire des ménages ruraux et de manière dynamique.
• enrichir l’interprétation des caractéristiques et des évolutions de changement de comportement des différents ménages, de chaque type de groupe par rapport aux thématiques véhiculées par le projet
• évaluer l’impact de leurs interventions, localisées dans des zones spatialement circonscrites et ;
• d’analyser les comportements, reflétant à la fois la forte hétérogénéité individuelle et la dimension temporelle.
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• Suivre un certain nombre d’indicateurs du comportement nutritionnel et sanitaire des ménages ruraux et de manière dynamique.
• enrichir l’interprétation des caractéristiques et des évolutions de changement de comportement des différents ménages, de chaque type de groupe par rapport aux thématiques véhiculées par le projet
• évaluer l’impact de leurs interventions, localisées dans des zones spatialement circonscrites et ;
• d’analyser les comportements, reflétant à la fois la forte hétérogénéité individuelle et la dimension temporelle.
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ECHO Sud Baseline
Le projet CARE / Echo Sud est un projet de redressement et de renforcement de la capacité de résilience des communautés les plus vulnérables affectées par le choc climatique dans le District d’Ambovombe Androy. Ce district se trouve dans la région Sud de Madagascar qui a été, depuis 2014, terriblement touchée par les sécheresses. Ces sécheresses ont drainé un impact négatif sur les communautés locales en affectant leurs moyens de subsistance, leur sécurité alimentaire et leur santé.
Dans son intervention, le projet soutiendra les communautés les plus affectées et fournira des réponses à leurs besoins essentiels de nourriture et d’eau. Il vise 18.500 bénéficiaires directs dont 11.100 femmes et 7.400 hommes. En tout, ce projet atteindra environ 10,36 % de la population totale affectée dans la région d’Androy. Les femmes, et les femmes célibataires cheffes de familles seront potentiellement les principales cibles de cette action.
Ce projet est une approche intégrée basée sur l’assistance financière en espèces (Cash-forwork et transferts monétaires inconditionnels), la distribution de semences certifiées adaptées au changement climatique, des petits outils agricoles, de stockages de semences, ainsi que l’amélioration de l’accès à l’eau grâce à la construction d’infrastructures d’approvisionnement en eau. Il sera mis en oeuvre dans sept Communes les plus affectées dans le district d’Ambovombe, notamment les Communes rurales d’Ambazoa, d’Ambanisarika, d’Ambonaivo, d’Ambondro, d’Analamary, d’Erada, et de Tsimananada.
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Dans son intervention, le projet soutiendra les communautés les plus affectées et fournira des réponses à leurs besoins essentiels de nourriture et d’eau. Il vise 18.500 bénéficiaires directs dont 11.100 femmes et 7.400 hommes. En tout, ce projet atteindra environ 10,36 % de la population totale affectée dans la région d’Androy. Les femmes, et les femmes célibataires cheffes de familles seront potentiellement les principales cibles de cette action.
Ce projet est une approche intégrée basée sur l’assistance financière en espèces (Cash-forwork et transferts monétaires inconditionnels), la distribution de semences certifiées adaptées au changement climatique, des petits outils agricoles, de stockages de semences, ainsi que l’amélioration de l’accès à l’eau grâce à la construction d’infrastructures d’approvisionnement en eau. Il sera mis en oeuvre dans sept Communes les plus affectées dans le district d’Ambovombe, notamment les Communes rurales d’Ambazoa, d’Ambanisarika, d’Ambonaivo, d’Ambondro, d’Analamary, d’Erada, et de Tsimananada.
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Resume Executif RAN-AINA mi-parcours
Resume executive de l'evaluation a mi-parcours de RAN-AINA. Document complet disponible ici: http://careevaluations.org/evaluation/rapport-devaluation-a-mi-parcours-du-projet-ran-aina/
Le projet RAN-AINA arrive à mi- terme aussi il est nécessaire d’évaluer les progrès réalisés dans l’atteinte des résultats prévus et la manière dont les activités ont été réalisées, en vue d’en tirer des leçons pour améliorer les interventions au cours de la seconde moitié de la vie du Programme. L’évaluation apprécie la pertinence, l’efficacité, l’efficience, les effets des interventions, et surtout la durabilité des résultats au niveau des communautés. Read More...
Le projet RAN-AINA arrive à mi- terme aussi il est nécessaire d’évaluer les progrès réalisés dans l’atteinte des résultats prévus et la manière dont les activités ont été réalisées, en vue d’en tirer des leçons pour améliorer les interventions au cours de la seconde moitié de la vie du Programme. L’évaluation apprécie la pertinence, l’efficacité, l’efficience, les effets des interventions, et surtout la durabilité des résultats au niveau des communautés. Read More...
Resume Executif CAP 3 RAN AINA
Resume Executif du CAP 3 RAN-AINA (document complet disponible ici: http://careevaluations.org/evaluation/connaissances-attitudes-practiques-3-ran-aina/)
Globalement, 80% (contre 55,5% en juin 2016) des familles maitrisent la thématique comme quoi pour maintenir leur santé, les femmes enceintes ont besoin de prendre un repas supplémentaire par jour, notamment après le troisième mois de grossesse. Quant aux femmes allaitantes, pour éviter de perdre du poids et pour fortifier de nouveau leur corps, les mères allaitantes ont besoin de prendre deux repas supplémentaires par jour.
Les connaissances sur la thématique sont acceptable et suffisantes, mais l’adoption reste problématique car le pourcentage de femmes enceintes qui ont consommé plus que d’habitude n’a pas évolué et est resté à 11,3%. Quant aux femmes allaitantes, elles bénéficient d’un traitement de faveur sur le plan alimentaire uniquement pendant les deux premiers mois d’allaitement. Read More...
Globalement, 80% (contre 55,5% en juin 2016) des familles maitrisent la thématique comme quoi pour maintenir leur santé, les femmes enceintes ont besoin de prendre un repas supplémentaire par jour, notamment après le troisième mois de grossesse. Quant aux femmes allaitantes, pour éviter de perdre du poids et pour fortifier de nouveau leur corps, les mères allaitantes ont besoin de prendre deux repas supplémentaires par jour.
Les connaissances sur la thématique sont acceptable et suffisantes, mais l’adoption reste problématique car le pourcentage de femmes enceintes qui ont consommé plus que d’habitude n’a pas évolué et est resté à 11,3%. Quant aux femmes allaitantes, elles bénéficient d’un traitement de faveur sur le plan alimentaire uniquement pendant les deux premiers mois d’allaitement. Read More...
Connaissances, Attitudes, Practiques 3 RAN-AINA
Globalement, 80% (contre 55,5% en juin 2016) des m DéEnaSg FesE mMaMitrEisSe n t la thématique comme quoi pour maintenir leur santé, les femmes enceintes ont besoin de prendre un repas supplémentaire par jour, notamment après le troisième mois de grossesse. Quant aux femmes allaitantes, pour éviter de perdre du poids et pour fortifier de nouveau leur corps, les mères allaitantes ont besoin de prendre deux repas supplémentaires par jour.
Les connaissances sur la thématique sont acceptable et suffisantes, mais l’adoption reste problématique car le pourcentage de femmes enceintes qui ont consommé plus que d’habitude n’a pas évolué et est resté à 11,3%. Quant aux femmes allaitantes, elles bénéficient d’un traitement de faveur sur le plan alimentaire uniquement pendant les deux premiers mois d’allaitement.
Le pourcentage d’enfants presentant un faible poids à la naissance, c’est-à-dire moins de 2,5 kilogrammes reste inchangé (autour de 4%). Dans l’ensemble, on constate une légère amélioration car 77,3% des femmes (contre 78,5% en janvier 2017, 63,1% en juin 2016 et 93,8% en août 2015) ont un score de diversité alimentaire faible (≤ 3 groupes d’aliments).
Actuellement, 8,4% des mères (contre 23,9%, en août 2015) présentent une insuffisance pondérale. Actuellement, 65,4% disposent d’une corpulence normale (contre 52,9% au démarrage du projet) et 26,1% sont en surpoids (contre 23,2% en 2015). [71 pages]
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Les connaissances sur la thématique sont acceptable et suffisantes, mais l’adoption reste problématique car le pourcentage de femmes enceintes qui ont consommé plus que d’habitude n’a pas évolué et est resté à 11,3%. Quant aux femmes allaitantes, elles bénéficient d’un traitement de faveur sur le plan alimentaire uniquement pendant les deux premiers mois d’allaitement.
Le pourcentage d’enfants presentant un faible poids à la naissance, c’est-à-dire moins de 2,5 kilogrammes reste inchangé (autour de 4%). Dans l’ensemble, on constate une légère amélioration car 77,3% des femmes (contre 78,5% en janvier 2017, 63,1% en juin 2016 et 93,8% en août 2015) ont un score de diversité alimentaire faible (≤ 3 groupes d’aliments).
Actuellement, 8,4% des mères (contre 23,9%, en août 2015) présentent une insuffisance pondérale. Actuellement, 65,4% disposent d’une corpulence normale (contre 52,9% au démarrage du projet) et 26,1% sont en surpoids (contre 23,2% en 2015). [71 pages]
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