Women's Economic Empowerment
The Effectiveness of Cash Assistance Integrated into Gender-Based Violence Case Management for Forced Migrants, Refugees, and Host Nationals in Norte de Santander, Colombia: A Quasi-Experimental Mixed-Methods Evaluation
As a complement to core aspects of GBV case management, preliminary evidence finds that cash and voucher assistance (CVA) may strengthen survivors’ capacities to recover from GBV and enable access to services. For example, CVA can help a GBV survivor to pay the costs associated with fleeing an abusive relationship, such as temporary accommodation and transportation, and to access legal assistance. There may also be indirect pathways in which CVA could be used by survivors and individuals at risk to reduce their exposure to GBV, such as decreasing their financial dependence on abusive partners or family members and shifting power dynamics in intimate relationships. Read More...
Strengthening the Economic Resilience of Female Garment Workers during COVID-19 – Phase 2
This is the End of Project Evaluation Report for the Strengthening the Economic Resilience of Female Garment Workers during COVID19 – Phase 2 (SER) Project which was implemented in Phnom Penh, Kandal and Kampong Speu provinces. The Project commenced in July 2021 and concluded in February 2022. The goal of the project was to strengthen the economic resilience of female garment workers who are socially and economically marginalized in Cambodia to cope with the negative impacts of COVID-19. In order to conduct the evaluation, data was collected through a comprehensive literature review and fieldwork. The literature review was conducted reviewing reports and documents from the SER Project and also other relevant external publications. The evaluation interviewed 400 people and was conducted in January 2022. Read More...
Study on Labour and Market Analysis Strengthening the Economic Resilience of Female Garment Workers during COVID19
CARE is implementing the “Strengthening the Economic Resilience of Female Garment Workers during COVID-19--Phase2” project funded by the German Agency for International Cooperation (GIZ). The project aims to strengthen the economic resilience of female garment workers in Cambodia and Vietnam to cope with the negative impacts of COVID-19. As part of this project, a labor market assessment for female factory workers was carried out with the following objectives:
1. To identify short-medium term market trends and opportunities, as this is the most critical information for supporting workers to make informed decisions about their livelihoods in 2021 and onwards.
2. To identify market opportunities for small business development in the communities for workers who live in Phnom Penh, Kandal, and Kampong Speu provinces. Read More...
1. To identify short-medium term market trends and opportunities, as this is the most critical information for supporting workers to make informed decisions about their livelihoods in 2021 and onwards.
2. To identify market opportunities for small business development in the communities for workers who live in Phnom Penh, Kandal, and Kampong Speu provinces. Read More...
ASSESSMENT OF CURRENT EMPLOYMENT STATUS AND NEEDS FOR IMPROVING PROFESSIONAL COMPETENCY OF FEMALE GARMENT WORKERS
This study aimed to identify difficulties that female garment workers were facing during the COVID-19 pandemic, as well as their need to improve professional knowledge and skills, to further understand their work and their job-changing desires. This information will lay the basis for the implementation of training programs and job matching platforms targeting female garment workers in the southern cities/provinces such as Dong Nai, Hau Giang provinces, and HCMC. Read More...
Informe Final “MUJERES, DIGNIDAD Y TRABAJO” Programa Igual Valor, Iguales Derechos, CARE América Latina y El Caribe”
Este proyecto tiene como meta contribuir al mejoramiento de la situación de las Trabajadoras Remuneradas del Hogar en América Latina por medio de estrategias de formación, incidencia, comunicación y desarrollo económico. Y a la vez a su autonomía y empoderamiento para que incidan en políticas públicas, a favor del cumplimiento de sus derechos humanos y laborales en Ecuador, Colombia y Brasil.
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ETUDE DE BASE : Projet Walindé
L’Extrême Nord du Cameroun est confronté depuis plusieurs années à des problématiques structurelles. La vulnérabilité des ménages à l’insécurité alimentaire, au réchauffement climatique ou encore aux épidémies, a été exacerbée par la crise sécuritaire autour du Lac Tchad, ayant causé un déplacement important de population.
Elle est la région la plus pauvre du Cameroun, avec 74% de la population vivant sous le seuil de pauvreté (mois d’1,125€/jour) contre 37,5% au niveau national (INS : 2014). De plus, l’incidence de la pauvreté est plus élevée en milieu rural (66%) qu’en milieu urbain (7%).
L’Extrême Nord dispose d’une faible couverture en services de base, notamment en matière d’eau et d’assainissement. D’après l’UNICEF, le taux d’accès à l’eau potable dans le Nord du Cameroun est de 53% contre 73% dans le Centre du pays (UNICEF : 2017). En 2017, seuls 16% des écoles dans le Mayo Tsanga et 24% dans le Mayo Kani – les deux départements d’intervention – disposent d’un accès à l’eau. Le ratio latrine par élève est compris entre 249 pour le Mayo Kani et 352 pour le Mayo Tsanga, soit 5 à 6 fois plus que les standards fixés par l’UNICEF. Le nombre restreint d’infrastructures adaptées, telles que les latrines sexospécifiques, constitue un frein à la scolarisation des enfants notamment des jeunes filles.1 L’absence d’intimité pour changer ou nettoyer les protections menstruelles, de matériel hygiénique, ainsi que les tabous autour des menstruations poussent de nombreuses filles à quitter l’école lors de leurs règles.
Dans les zones rurales, la présence de dispositifs de lavage de mains (DLM) fonctionnels au sein des écoles reste rare, ce qui limite fortement le lavage des mains des élèves et des enseignants ainsi que la mise en pratique des mesures de prévention contre la COVID-19. Faute de moyens, d’infrastructures et de formations, les enseignements relatifs à l’eau, l’hygiène et l’assainissement ne se traduisent pas systématiquement par le changement des comportements.
Pour répondre à cette situation, le projet de CARE Cameroun envisage de mettre en oeuvre le projet intitulé « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, dont l’objectif global est de renforcer l'accès aux services de bases en matière d'eau, d'hygiène et d'assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun. De manière spécifique, cet objectif se traduit à travers l’amélioration la couverture en eau potable et l’accès aux services d'épargne et de crédit pour les femmes et les jeunes dans les communes de Mokolo, Hina, Yagoua, Kaélé.
CARE est intervenu dans les communes de Mokolo et Hina (Mayo Tsanga), Yagoua et Kaélé (Mayo Danay), respectivement dans le cadre des projets RESILIANT (2017-2020), COOPERER I et II (2016-2017 / 2019-2020). La continuité de ces programmes est actuellement assurée par les projets PEREN (Mokolo et Hina) et COOPERER III (Yagoua et Kaélé), qui visent respectivement (1) au renforcement de la résilience des populations vulnérables face aux crises alimentaires, (2) à l’amélioration de l’accès aux services sociaux de bases et aux opportunités économiques. Read More...
Elle est la région la plus pauvre du Cameroun, avec 74% de la population vivant sous le seuil de pauvreté (mois d’1,125€/jour) contre 37,5% au niveau national (INS : 2014). De plus, l’incidence de la pauvreté est plus élevée en milieu rural (66%) qu’en milieu urbain (7%).
L’Extrême Nord dispose d’une faible couverture en services de base, notamment en matière d’eau et d’assainissement. D’après l’UNICEF, le taux d’accès à l’eau potable dans le Nord du Cameroun est de 53% contre 73% dans le Centre du pays (UNICEF : 2017). En 2017, seuls 16% des écoles dans le Mayo Tsanga et 24% dans le Mayo Kani – les deux départements d’intervention – disposent d’un accès à l’eau. Le ratio latrine par élève est compris entre 249 pour le Mayo Kani et 352 pour le Mayo Tsanga, soit 5 à 6 fois plus que les standards fixés par l’UNICEF. Le nombre restreint d’infrastructures adaptées, telles que les latrines sexospécifiques, constitue un frein à la scolarisation des enfants notamment des jeunes filles.1 L’absence d’intimité pour changer ou nettoyer les protections menstruelles, de matériel hygiénique, ainsi que les tabous autour des menstruations poussent de nombreuses filles à quitter l’école lors de leurs règles.
Dans les zones rurales, la présence de dispositifs de lavage de mains (DLM) fonctionnels au sein des écoles reste rare, ce qui limite fortement le lavage des mains des élèves et des enseignants ainsi que la mise en pratique des mesures de prévention contre la COVID-19. Faute de moyens, d’infrastructures et de formations, les enseignements relatifs à l’eau, l’hygiène et l’assainissement ne se traduisent pas systématiquement par le changement des comportements.
Pour répondre à cette situation, le projet de CARE Cameroun envisage de mettre en oeuvre le projet intitulé « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, dont l’objectif global est de renforcer l'accès aux services de bases en matière d'eau, d'hygiène et d'assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun. De manière spécifique, cet objectif se traduit à travers l’amélioration la couverture en eau potable et l’accès aux services d'épargne et de crédit pour les femmes et les jeunes dans les communes de Mokolo, Hina, Yagoua, Kaélé.
CARE est intervenu dans les communes de Mokolo et Hina (Mayo Tsanga), Yagoua et Kaélé (Mayo Danay), respectivement dans le cadre des projets RESILIANT (2017-2020), COOPERER I et II (2016-2017 / 2019-2020). La continuité de ces programmes est actuellement assurée par les projets PEREN (Mokolo et Hina) et COOPERER III (Yagoua et Kaélé), qui visent respectivement (1) au renforcement de la résilience des populations vulnérables face aux crises alimentaires, (2) à l’amélioration de l’accès aux services sociaux de bases et aux opportunités économiques. Read More...
Building sustainable and scalable peer-based programming: promising approaches from TESFA in Ethiopia
This research was written by Pari Chowdhary, Feven Tassaw Mekuria, Dagmawit Tewahido, Hanna Gulema, Ryan Derni, and Jefrey Edmeades.
In Ethiopia's Amara region, girls encounter child marriage at a high rate. They are also less able to negotiate sex or use family planning. With the purpose of improving their lives, CARE's TESFA program delivered reproductive health and financial savings curriculum to married girls through peer-based solidarity groups to 5,000 adolescent girls. This was divided into 3 interventions: sexual and reproductive health, economic empowerment, and a combination of both. Participants reported improvement in both areas. Four years after TESFA, 88% of groups communicated meeting without continued CARE's assistance, and some of the girl participants created new groups following the TESFA model. Also, some girls that did not participate in TESFA, replicated the model to create their own groups. Despite this, there is still in question who contributed to this sustainment and scale-up of groups.
Original article: https://reproductive-health-journal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12978-021-01304-7
Originally published by Biomedcentral and is republished under the creative commons 4.0 license (https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ - https://creativecommons.org/publicdomain/zero/1.0/). Read More...
In Ethiopia's Amara region, girls encounter child marriage at a high rate. They are also less able to negotiate sex or use family planning. With the purpose of improving their lives, CARE's TESFA program delivered reproductive health and financial savings curriculum to married girls through peer-based solidarity groups to 5,000 adolescent girls. This was divided into 3 interventions: sexual and reproductive health, economic empowerment, and a combination of both. Participants reported improvement in both areas. Four years after TESFA, 88% of groups communicated meeting without continued CARE's assistance, and some of the girl participants created new groups following the TESFA model. Also, some girls that did not participate in TESFA, replicated the model to create their own groups. Despite this, there is still in question who contributed to this sustainment and scale-up of groups.
Original article: https://reproductive-health-journal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12978-021-01304-7
Originally published by Biomedcentral and is republished under the creative commons 4.0 license (https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ - https://creativecommons.org/publicdomain/zero/1.0/). Read More...
ÉVALUATION FINALE ET LA CAPITALISATION DU PROJET « RELÈVEMENT ET RENFORCEMENT FINANCIER DES POPULATIONS VULNÉRABLES AFFECTÉES PAR LA COVID-19 (COOPERER III) »
Pour contribuer à la lutte contre la pandémie Covid-19 initiée par le gouvernement camerounais, l’ONG de développement CARE International au Cameroun a mis en place le projet « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID-19 », en abrégé « ResCOV-19 » ; soit COOPERER III avec l’appui financier du Centre de crise et de Soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères. Le projet est exécuté dans les communes de Kaélé et Touloum du département de mayo kani et la Commune de Yagoua du département de Maayo Danay, et avait pour objectif de contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19, sur la période allant du 1er janvier 2021 au 31 Mars 2022 soit une durée globale de 15 mois.
Arrivé à son terme, une mission d’évaluation externe a été réalisée pour renseigner les critères usuels d’évaluation que sont la pertinence, la cohérence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et l’impact.
Cette mission a utilisé une approche mixte qui combine les techniques qualitatives et quantitative pour obtenir les données aussi bien primaires que secondaires. A la suite de la première phase de revue documentaire, une collecte des données primaires a été réalisée auprès des personnes ressources pour ce qui concerne les entretiens et focus-group et dans les ménages et auprès des membres des AVEC d’une part et l’inventaire des points d’eau d’autre part avec les outils d’enquête par questionnaires. Ces outils ont été déployés dans les 03 communes du projet Kaélé, Touloum et Yagoua. Une répartition de 70% et 30% respectivement pour les bénéficiaires, membres des AVEC et les ménages non bénéficiaires a été observée. Pour la constitution de l’échantillon des membres des AVEC, 70% des femmes et 30% des hommes ont été définis. La méthodologie mise en place a permis de réaliser 29 personnes (05 femmes et 24 hommes) lors des entretiens avec les personnes ressources, 18 focus group (07 Comités de gestion des points d’eau, 08 AVEC et 03 micro-assurances) avec 88 femmes et 87 hommes et d’administrer 576 questionnaires (Membres des AVEC, Ménages) soit 435 femmes et 141 hommes. Après la collecte par questionnaires grâce à l’application de collecte numérique (Kobocollect), s’en est suivi la phase d’apurement et traitement dans Excel.
Malgré le retard constaté dans la mise en oeuvre de certaines activités du fait du Covid – 19, 39 649 personnes dont 22 655 femmes (soit 57 %) (Sans double comptage) ont été sensibilisées directement dans les communautés, par porte à porte et séance en groupe de 15 à 30 personnes, sur les thématiques tels que la prévention de la COVID-19 et le respect des règles d’hygiène et de salubrité, le civisme, le genre, le planning familiale, etc. le projet a également couvert environ 150 000 habitants suite à la diffusion des messages radiophoniques de sensibilisation.
L’analyse des différentes questions d’évaluation montre que le projet COOPERER III est cohérent car il s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 et dans le plan riposte contre la Covid-19 du Cameroun. Le projet s’aligne également aux lois et aux directives nationales et sectorielles et à la mission de Care qui vise à sauver des vies, vaincre la pauvreté et parvenir à la justice sociale. Du point de vue de sa pertinence, le projet apporte une réponse aux besoins spécifiques des différentes catégories de cibles (femmes, hommes et jeunes hommes, jeunes femmes) et des populations et a mis en place des approches et mécanismes de suivi-évaluation des activités du projet adaptées pour la mesure des résultats.
Le projet dans sa globalité a contribué aux changements des comportements au sein des AVEC, au sein de leurs ménages et leur statut social au sein de leurs communautés ; à l’équipement des AVEC ; au renforcement des capacités des membres des associations. En terme de changement, il a été constaté que : (i) les membres de comités de gestion des points d’eau formés nettoient et entretiennent leur point d’eau, (ii) les membres des AVEC tiennent des AGR et organisent régulièrement des réunions et sont engagés à réaliser une activité propre à leur AVEC ; (iii) que les personnes sensibilisées sur les bonne pratiques d’hygiènes font plus attention dans la manipulation des denrées alimentaires ; etc. Outre ces changements, le respect des règles d’hygiène (lavage des mains, des toilettes et récipients d’eau, etc.) et des mesures anti Covid-19 (port des masques facials, distanciation sociale, etc.) par les bénéficiaires s’est accru grâce aux activités du projet. Le projet a également permis aux bénéficiaires directs et indirects d’améliorer leurs connaissances, attitudes et pratiques sur plusieurs aspects. Il s’agit notamment des mesures de prévention et de protection contre le COVID-19, l’hygiène autour des points d’eau, mais également les connaissances des membres des AVEC sur des thématiques telles que la comptabilité simplifiée pratique, l’entrepreneuriat, le marketing, les techniques d’animation et de sensibilisation des groupes, etc… Read More...
Arrivé à son terme, une mission d’évaluation externe a été réalisée pour renseigner les critères usuels d’évaluation que sont la pertinence, la cohérence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et l’impact.
Cette mission a utilisé une approche mixte qui combine les techniques qualitatives et quantitative pour obtenir les données aussi bien primaires que secondaires. A la suite de la première phase de revue documentaire, une collecte des données primaires a été réalisée auprès des personnes ressources pour ce qui concerne les entretiens et focus-group et dans les ménages et auprès des membres des AVEC d’une part et l’inventaire des points d’eau d’autre part avec les outils d’enquête par questionnaires. Ces outils ont été déployés dans les 03 communes du projet Kaélé, Touloum et Yagoua. Une répartition de 70% et 30% respectivement pour les bénéficiaires, membres des AVEC et les ménages non bénéficiaires a été observée. Pour la constitution de l’échantillon des membres des AVEC, 70% des femmes et 30% des hommes ont été définis. La méthodologie mise en place a permis de réaliser 29 personnes (05 femmes et 24 hommes) lors des entretiens avec les personnes ressources, 18 focus group (07 Comités de gestion des points d’eau, 08 AVEC et 03 micro-assurances) avec 88 femmes et 87 hommes et d’administrer 576 questionnaires (Membres des AVEC, Ménages) soit 435 femmes et 141 hommes. Après la collecte par questionnaires grâce à l’application de collecte numérique (Kobocollect), s’en est suivi la phase d’apurement et traitement dans Excel.
Malgré le retard constaté dans la mise en oeuvre de certaines activités du fait du Covid – 19, 39 649 personnes dont 22 655 femmes (soit 57 %) (Sans double comptage) ont été sensibilisées directement dans les communautés, par porte à porte et séance en groupe de 15 à 30 personnes, sur les thématiques tels que la prévention de la COVID-19 et le respect des règles d’hygiène et de salubrité, le civisme, le genre, le planning familiale, etc. le projet a également couvert environ 150 000 habitants suite à la diffusion des messages radiophoniques de sensibilisation.
L’analyse des différentes questions d’évaluation montre que le projet COOPERER III est cohérent car il s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 et dans le plan riposte contre la Covid-19 du Cameroun. Le projet s’aligne également aux lois et aux directives nationales et sectorielles et à la mission de Care qui vise à sauver des vies, vaincre la pauvreté et parvenir à la justice sociale. Du point de vue de sa pertinence, le projet apporte une réponse aux besoins spécifiques des différentes catégories de cibles (femmes, hommes et jeunes hommes, jeunes femmes) et des populations et a mis en place des approches et mécanismes de suivi-évaluation des activités du projet adaptées pour la mesure des résultats.
Le projet dans sa globalité a contribué aux changements des comportements au sein des AVEC, au sein de leurs ménages et leur statut social au sein de leurs communautés ; à l’équipement des AVEC ; au renforcement des capacités des membres des associations. En terme de changement, il a été constaté que : (i) les membres de comités de gestion des points d’eau formés nettoient et entretiennent leur point d’eau, (ii) les membres des AVEC tiennent des AGR et organisent régulièrement des réunions et sont engagés à réaliser une activité propre à leur AVEC ; (iii) que les personnes sensibilisées sur les bonne pratiques d’hygiènes font plus attention dans la manipulation des denrées alimentaires ; etc. Outre ces changements, le respect des règles d’hygiène (lavage des mains, des toilettes et récipients d’eau, etc.) et des mesures anti Covid-19 (port des masques facials, distanciation sociale, etc.) par les bénéficiaires s’est accru grâce aux activités du projet. Le projet a également permis aux bénéficiaires directs et indirects d’améliorer leurs connaissances, attitudes et pratiques sur plusieurs aspects. Il s’agit notamment des mesures de prévention et de protection contre le COVID-19, l’hygiène autour des points d’eau, mais également les connaissances des membres des AVEC sur des thématiques telles que la comptabilité simplifiée pratique, l’entrepreneuriat, le marketing, les techniques d’animation et de sensibilisation des groupes, etc… Read More...
My Forest, My Livelihood, My Family program (FUTURES) Baseline report
The FUTURES—My Forest, My Livelihood, My Family program (FUTURES) serves communities in the Yayu Coffee Forest Biosphere Reserve (YCFBR) located in Southwestern Ethiopia, in Oromia Regional State. The YCFBR encompasses the Hurumu, Yayo, Bilo Nopa, Alge-Sachi, and Doreni woredas of Illu-Abba Bora zone and Chora woreda of Buno Bedele zone and includes protected forest area as well as designated areas for economic activities like coffee and spice production, commercial forest plantations and eco-tourism, and areas where many traditional and modern agricultural practices take place.
Households in the area depend on a combination of small-scale agricultural and forest management systems dominated by traditional agronomic practices and characterized by a lack of crop diversity and low productivity. Deforestation, degradation, and increased loss of biodiversity are major concerns for sustainable agricultural and livelihood practice in the region. Social, gender, and cultural barriers have historically limited women’s and youth’s engagement in agricultural and economic sectors. High rates of early and forced marriage, and limited availability of reproductive health and family planning services, especially youth-friendly services, may further limit women and youth from participating meaningfully in agricultural practice and livelihood generation. Government services and local civil society organizations in the area operate at a limited capacity, and their offices are male-dominated and do not meaningfully incorporate a gendered approach to their work (Gebrehanna and Seyoum, 2020).
The three-year FUTURES project was launched in April 2021 to address many of the health, environment, and livelihood concerns of the YCFBR region. The project is implemented by CARE Ethiopia and its three local partners, Oromia Development Association (ODA), Environment and Coffee Forest Forum (ECFF), and Kulich Youth Reproductive Health and Development Organization (KYRHDO). The FUTURES project evaluation, funded by USAID, and led by Data for Impact (D4I), aims to understand the impact of the FUTURES project on key health, agricultural, and livelihood and conservation behavioral outcomes, and to contribute to knowledge about the implementation of cross-sectoral programs, including monitoring, evaluations, and learning (MEL) of such programs. Read More...
Households in the area depend on a combination of small-scale agricultural and forest management systems dominated by traditional agronomic practices and characterized by a lack of crop diversity and low productivity. Deforestation, degradation, and increased loss of biodiversity are major concerns for sustainable agricultural and livelihood practice in the region. Social, gender, and cultural barriers have historically limited women’s and youth’s engagement in agricultural and economic sectors. High rates of early and forced marriage, and limited availability of reproductive health and family planning services, especially youth-friendly services, may further limit women and youth from participating meaningfully in agricultural practice and livelihood generation. Government services and local civil society organizations in the area operate at a limited capacity, and their offices are male-dominated and do not meaningfully incorporate a gendered approach to their work (Gebrehanna and Seyoum, 2020).
The three-year FUTURES project was launched in April 2021 to address many of the health, environment, and livelihood concerns of the YCFBR region. The project is implemented by CARE Ethiopia and its three local partners, Oromia Development Association (ODA), Environment and Coffee Forest Forum (ECFF), and Kulich Youth Reproductive Health and Development Organization (KYRHDO). The FUTURES project evaluation, funded by USAID, and led by Data for Impact (D4I), aims to understand the impact of the FUTURES project on key health, agricultural, and livelihood and conservation behavioral outcomes, and to contribute to knowledge about the implementation of cross-sectoral programs, including monitoring, evaluations, and learning (MEL) of such programs. Read More...
EVALUATION FINALE DU PROJET COOPERER II – APPROCHE INTERCOMMUNALE POUR UNE STABILISATION TERRITORIALE A L’EXTREME-NORD CAMEROUN : AXE KAELE – TOULOUM – YAGOUA RAPPORT FINALE
Malgré son potentiel économique et naturel indéniable, le Cameroun affiche un taux de pauvreté élevé qui décroit très faiblement (40,2% en 2001 ; 39,9% en 2007 et 37,5% en 2014). Dans le souci d’apporter sa contribution à la stabilité de la région de l’Extrême-Nord meurtrie par des crises multiformes, CARE International à travers son programme Résilience et inclusion des jeunes et des femmes, a développé l’initiative « Communes et Organisation de la société Civile Performantes pour des populations Engagées et Résilientes - COOPERER II », mise en œuvre dans les communes de Touloum, Yagoua et Kaélé de la région de l’Extrême-Nord. Le projet a couvert la période s’étendant d’avril 2019 à juin 2020, avec comme objectif global de contribuer à l’accès durable des femmes et des jeunes touchés par les effets de la crise sécuritaire à des opportunités agro-pastorales, sociales et économiques stables afin
de renforcer leur résilience face aux aléas environnementaux et climatiques Read More...
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