Endline Report
Hunga Tonga- Hunga Ha’apai Disaster Response Program End of Program Evaluation Evaluation Report
This Evaluation Report presents the end of program evaluation (the evaluation) of the Hunga Tonga-Hunga Ha’apai Disaster Response Program (the program), implemented in partnership by CARE Australia, MORDI TT and Talitha Project (the partnership). The evaluation was conducted between July- November 2023 by Iris Low and Leaine Robinson (Collaborate Consulting Pte. Ltd (CoLAB)); Katrina Fatiaki (Tapuaki Mei Langi Consultancy) and Dr. Rev. 'Ungatea Kata and Ofa Pakalani (Tupou Tertiary Institute). The evaluation focused on evaluating the merit and worth of the program implemented by the partners by identifying the achievements of the program, strengths of the partnership modality to build on, and lessons to inform and improve future humanitarian programming.
Based on what stakeholders define as high quality humanitarian response, the evaluation finds that majority of communities, staff, and stakeholders interviewed stated that the assistance provided by CARE, MORDI TT and Talitha Project represents a high-quality humanitarian response as it met affected communities immediate needs (water, agriculture, hygiene kits), reached those in the community who needed assistance the most, was led by local organisations who coordinated and worked with existing national processes and systems in Tonga and who will continue to remain engaged in communities post-disaster to support communities to recover.
Impact: What difference did the program make?
The program has made an impact and positive difference to affected communities in helping to address their immediate needs and quality of living and recovery in the aftermath of the volcano and tsunami disaster. The targeted assistance has contributed to communities improved access to clean drinking water and their knowledge and skills on how to maintain Water, Sanitation and Hygiene (WASH) infrastructure; enhanced food security in communities through more options for healthy eating from the community gardens, helping communities to recover quickly, and increased livelihoods for women who sell the surplus produce; motivated communities to work together so that they are better prepared for future disasters and supported different groups (women, young people, adolescent girls, elderly and persons with disabilities) in the community. The program reached 20,182 people (5,593 women; 4,524 girls; 5,149 men and 4,916 boys) across the affected areas of Tongatapu, ‘Eua and Ha’apai, with material and technical support to restore community rainwater collection systems, a significant impact in the aftermath of the disaster which left communities without access to clean drinking water. Read More...
Based on what stakeholders define as high quality humanitarian response, the evaluation finds that majority of communities, staff, and stakeholders interviewed stated that the assistance provided by CARE, MORDI TT and Talitha Project represents a high-quality humanitarian response as it met affected communities immediate needs (water, agriculture, hygiene kits), reached those in the community who needed assistance the most, was led by local organisations who coordinated and worked with existing national processes and systems in Tonga and who will continue to remain engaged in communities post-disaster to support communities to recover.
Impact: What difference did the program make?
The program has made an impact and positive difference to affected communities in helping to address their immediate needs and quality of living and recovery in the aftermath of the volcano and tsunami disaster. The targeted assistance has contributed to communities improved access to clean drinking water and their knowledge and skills on how to maintain Water, Sanitation and Hygiene (WASH) infrastructure; enhanced food security in communities through more options for healthy eating from the community gardens, helping communities to recover quickly, and increased livelihoods for women who sell the surplus produce; motivated communities to work together so that they are better prepared for future disasters and supported different groups (women, young people, adolescent girls, elderly and persons with disabilities) in the community. The program reached 20,182 people (5,593 women; 4,524 girls; 5,149 men and 4,916 boys) across the affected areas of Tongatapu, ‘Eua and Ha’apai, with material and technical support to restore community rainwater collection systems, a significant impact in the aftermath of the disaster which left communities without access to clean drinking water. Read More...
EVALUATION FINALE: Projet d’accès à des services de protection pour les populations déplacées par le conflit du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO)
Le Projet d’Accès à des Services de Protection pour les populations déplacées par le conflit du nord-ouest et du sud-ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO) a été mis en oeuvre par un partenariat noué entre CARE Cameroun, récipiendaire principal et Horizons Femmes, pour une période de15 mois qui s’étend du 15/10/2022 au 30/03/2024 dans les départements de la Mifi et de la Menoua. L’objectif général de ce projet était d’améliorer l’accès à des services essentiels de protection pour les populations les plus vulnérables affectées (populations déplacées et hôtes) par les conflits des régions du Nord-ouest et Sud-ouest au Cameroun, dans les zones avoisinantes (Ouest), grâce à une réponse humanitaire coordonnée.
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...
SHOUHARDO III Performance and Impact evaluation
This report evaluates the performance of the SHOUHARDO III project, which targets poor households in the char and haor (wetland) areas of Bangladesh and aims to address food and income insecurity, maternal and child health and nutrition, women’s and youth empowerment, as well as improve access to public services while building resilience capacities. This evaluation employs three methodologies: qualitative inquiry, pre-post comparison, and impact evaluation. The impact evaluation matches communities treated by SHOUHARDO III with untreated communities ex-post, using baseline stunting rates from the 2014 DHS dataset. The evaluation finds that the SHOUHARDO III project engaged more than 40% of households surveyed within target villages and successfully targeted poor and female-headed households. The analysis of baseline and endline statuses (pre-post analysis) of households in the SHOUHARDO III-targeted areas demonstrates that households from these areas improved across several indicators, including poverty levels, the nutritional status of women and children, women’s empowerment, and gender equity. From a qualitative standpoint, participants from areas where SHOUHARDO III appeared well-implemented offers insights into the potential of the interventions. The qualitative evaluation found mechanisms of change in several areas that can be built upon and enhanced. Qualitative findings show that the program succeeded in promoting multi-sectoral change at household and community levels. They also show that SHOUHARDO III effectively targeted services to the most food-insecure, Poor and Extremely Poor members of communities, and its multi-generational and gender-inclusive approach to its interventions facilitated community acceptance. From the impact evaluation, it is likely that we can credit SHOUHARDO III with improvements in women’s dietary diversity, women and children’s minimum acceptable diet, antenatal care access, and the increase in participation across several sectors. In addition, households in SHOUHARDO III villages experienced statistically significant differences in one resilience indicator, and households in program villages that experienced major shocks were better able to maintain their food consumption than similar households in comparison villages. However, the impact evaluation does not find meaningful differences between households in targeted communities and households in non-targeted communities in terms of women’s mobility and decision-making, children’s nutritional status (including child stunting and underweight status), children’s diarrhea, exclusive breastfeeding, household hunger, and improved use of health and nutrition services overall. Improvements in mostmeasured conditions in the SHOUHARDO III program areas appear to have been matched by similar improvements in non-program areas, suggesting broader forces may account for them. Ultimately understanding differences between program areas and non-program areas can help inform decisions about future chapters of the SHOUHARDO III program and other development food security programs to ensure the most effective programs for vulnerable populations. Understanding the dynamics and mechanisms of change and responses of participants to interventions can also inform future work. Salient findings are also important to highlight for action. The research team concludes this report with recommendations. Read More...
LIVELIHOODS FOR RESILIENCE ACTIVITY ENDLINE INTERMEDIATE RESULTS (IR) ASSESSMENT
The Feed the Future Ethiopia-Livelihoods for Resilience Activity (L4R) is a 6.5-year USAID project led by CARE, with the goal of improving food security for 97,900 chronically foodinsecure households in multiple Ethiopian regions. It aims to achieve resilient livelihoods through four main objectives. Zerihun Associates was contracted to and conduct an Endline Assessment using mixed methods, and managed data collection of the endline, ensuring quality through rigorous processes. Despite challenges, Zerihun Associates successfully gathered data from 1802 out of 1849 sampled households. However, the study faced limitations due to external factors, seasonal variations, and methodological inconsistencies, potentially impacting findings' comparability. Using both cross-sectional and panel data, the study reveals a mix of success and challenges.
Income
Devaluation of the birr during the project period, combined with rising inflation and cost of inputs, negatively impacted household’s net inflation-adjust income over time. While in unadjusted terms net incomes increased 154%, when adjusted for inflation, net incomes experienced a 19% decline among cross-sectional households from baseline to endline. At endline, there was an increase in the proportion of households earning income from crop and livestock production and transfers and other sources, but a decline in households earning income from off-farm and wage employment, compared to baseline. There was a slight increase in the average number of income sources per
household between baseline and endline (1.5 and 1.7 sources respectively).
Household Assets
The longitudinal analysis of household assets among both cross-sectional and panel data reveals a generally upward trend in overall household asset values and, particularly, in livestock assets over the period from the baseline to the endline. When adjusted for inflation, the overall asset value showed a 43% increase in the cross-sectional data and a 25% increase in the panel data. Livestock assets consistently played a pivotal role in this growth. This rise is particularly notable given the challenging economic conditions, including conflicts.
On-Farm livelihoods
The cross-sectional analysis on household livelihood activities, specifically focusing on Value Chain (VC) engagement, reveals a complex pattern of participation over time. Initially, there was a promising uptick in households engaged in at least one prioritized VC, increasing from 49.5% at baseline to 71.0% in Year 3. This was followed by a decline, reaching 45.9% by the endline. However, there was a slight increase in households engaged in two or more prioritized value chains between baseline and endline, increasing from 38% to 40%. Read More...
Income
Devaluation of the birr during the project period, combined with rising inflation and cost of inputs, negatively impacted household’s net inflation-adjust income over time. While in unadjusted terms net incomes increased 154%, when adjusted for inflation, net incomes experienced a 19% decline among cross-sectional households from baseline to endline. At endline, there was an increase in the proportion of households earning income from crop and livestock production and transfers and other sources, but a decline in households earning income from off-farm and wage employment, compared to baseline. There was a slight increase in the average number of income sources per
household between baseline and endline (1.5 and 1.7 sources respectively).
Household Assets
The longitudinal analysis of household assets among both cross-sectional and panel data reveals a generally upward trend in overall household asset values and, particularly, in livestock assets over the period from the baseline to the endline. When adjusted for inflation, the overall asset value showed a 43% increase in the cross-sectional data and a 25% increase in the panel data. Livestock assets consistently played a pivotal role in this growth. This rise is particularly notable given the challenging economic conditions, including conflicts.
On-Farm livelihoods
The cross-sectional analysis on household livelihood activities, specifically focusing on Value Chain (VC) engagement, reveals a complex pattern of participation over time. Initially, there was a promising uptick in households engaged in at least one prioritized VC, increasing from 49.5% at baseline to 71.0% in Year 3. This was followed by a decline, reaching 45.9% by the endline. However, there was a slight increase in households engaged in two or more prioritized value chains between baseline and endline, increasing from 38% to 40%. Read More...
Promoción del desarrollo económico rural en mujeres y jóvenes de la region Lempa (PROLEMPA)
El proyecto evaluado “Promoción del Desarrollo Económico Rural de la Mujer y la Juventud de la Región Lempa de Honduras – PROLEMPA, fue financiado por Asuntos Mundiales de Canadá – AMC; e implementado por un consorcio conformado por CARE Internacional (líder), CESO-SACO, SAJE Montreal Center, SOCODEVI y TechnoServe. Tuvo una duración de 5.5 años, de julio de 2017 a abril de 2023. El presupuesto asignado para la intervención fue $13.019.834; y se llevó a cabo en el Corredor Seco de Honduras, de manera específica en los departamentos de Intibucá, La Paz y Lempira, con cobertura de 25 municipios en total.
La evaluación final de PROLEMPA se realizó con base en los criterios de evaluación relevancia, eficiencia, efectividad, impacto y sostenibilidad; el análisis de los enfoques de género y empoderamiento de mujeres, y sostenibilidad ambiental; y la identificación de aprendizajes y buenas prácticas, dando respuesta a las preguntas de evaluación que guiaron el análisis, interpretación y emisión de juicios de valor. Se utilizó una metodología mixta (cualitativa y cuantitativa) con un abordaje participativo que ubicó a las personas en el centro del análisis y la reflexión sobre la gestión y agencia de su desarrollo. Se utilizaron fuentes primarias (productores y productoras de café, liderazgo de las organizaciones de productores, representantes de empresas exportadoras de café, Redes Municipales De Mujeres, Red Regional De Mujeres Lencas, representantes de Oficinas Municipales De La Mujer, Oficinas Municipales De Juventud, emprendedores y emprendedoras, empresas y actores del sector turismo, equipos técnicos de las organizaciones socias del consorcio y socias locales, entre otras. Read More...
La evaluación final de PROLEMPA se realizó con base en los criterios de evaluación relevancia, eficiencia, efectividad, impacto y sostenibilidad; el análisis de los enfoques de género y empoderamiento de mujeres, y sostenibilidad ambiental; y la identificación de aprendizajes y buenas prácticas, dando respuesta a las preguntas de evaluación que guiaron el análisis, interpretación y emisión de juicios de valor. Se utilizó una metodología mixta (cualitativa y cuantitativa) con un abordaje participativo que ubicó a las personas en el centro del análisis y la reflexión sobre la gestión y agencia de su desarrollo. Se utilizaron fuentes primarias (productores y productoras de café, liderazgo de las organizaciones de productores, representantes de empresas exportadoras de café, Redes Municipales De Mujeres, Red Regional De Mujeres Lencas, representantes de Oficinas Municipales De La Mujer, Oficinas Municipales De Juventud, emprendedores y emprendedoras, empresas y actores del sector turismo, equipos técnicos de las organizaciones socias del consorcio y socias locales, entre otras. Read More...
HATUTAN Endline Evaluation
In this report, we present findings from the endline evaluation of the HATUTAN (Hahán ne’ebé Atu fó Tulun ho Nutrisaun no Edukasaun or Food to Support Nutrition and Education) program. Running between 2018 and 2023, the program worked in partnership with the Government of Timor-Leste and development stakeholders to address two strategic objectives: improved literacy of school-aged children and increased use of health, nutrition, and dietary practices. The program operated in 443 schools and communities within four of Timor-Leste’s most deprived municipalities, Ainaro, Ermera, Liquica, and Manatuto, supporting an estimated 105,967 target beneficiaries including school-aged children, teacher, school administrators, and community members. Key activities included support for the government-run School Feeding Program (SFP) and trainings targeting teachers, school administrators, and community members. Read More...
Learning outcomes, transition, & retention Stories of change from AGES project in Somalia
The Adolescent Girls’ Education in Somalia (AGES) project aims to improve learning outcomes and positive transitions
for 82,975 extremely vulnerable girls and female youth in South Somalia. In 2019-2022, AGES enrolled a total of 62,288
girls in formal primary education (including regular and special needs schools), accelerated basic education (ABE), and non-formal education classes (NFE). Each learning pathway is adapted to girls’ age range and needs, including flexible delivery and content. The project works with Ministries of Education (MOEs) to coach teachers on delivering subject content, adopting inclusive and gender-responsive practices, and providing remedial education where applicable. AGES also trains teachers and Community Education Committees (CECs) to routinely follow up on cases of absenteeism and dropout. Through AGES, girls who are frequently absent or facing temporary school closures due to attacks and natural disasters are provided with remote learning materials and remedial support. As of November 2022, 49% of the students reported receiving remedial support from teachers. Read More...
for 82,975 extremely vulnerable girls and female youth in South Somalia. In 2019-2022, AGES enrolled a total of 62,288
girls in formal primary education (including regular and special needs schools), accelerated basic education (ABE), and non-formal education classes (NFE). Each learning pathway is adapted to girls’ age range and needs, including flexible delivery and content. The project works with Ministries of Education (MOEs) to coach teachers on delivering subject content, adopting inclusive and gender-responsive practices, and providing remedial education where applicable. AGES also trains teachers and Community Education Committees (CECs) to routinely follow up on cases of absenteeism and dropout. Through AGES, girls who are frequently absent or facing temporary school closures due to attacks and natural disasters are provided with remote learning materials and remedial support. As of November 2022, 49% of the students reported receiving remedial support from teachers. Read More...
Building Opportunities for Resilience in the Horn of Africa (BORESHA) III Final Evaluation Report
Building Opportunities for Resilience in the Horn of Africa (BORESHA) III was the third phase of a five-year project funded by the European Union Trust Fund for Africa (EUTF). It was implemented between January and December 2022 with a three-month no-cost extension (NCE) to March 2023 at the time of evaluation. BORESHA's overall objective remained the same throughout the various phases: to promote economic development and greater resilience, particularly among vulnerable groups. The project activities, carried out in the Mandera Triangle (the area where Ethiopia, Kenya, and Somalia meet), are primarily a continuation and scaling of what was accomplished in BORESHA I and II, and take a community-driven approach to address the shared nature of the risks and opportunities facing vulnerable people and communities. Read More...
Development Initiative for Northern Uganda (DINU) End of Project Report
The Development Initiative for Northern Uganda (DINU) was a 38-month project implemented between January 2020 and February 2023, with an aim to improve food security, maternal and child nutrition, and household incomes for smallholder farmers in 11 districts of Kitgum, Katakwi, Kaabong, Karenga, Kotido, Moroto, Napak, Nabilatuk, Nakapiriprit, Amudat, and Abim. The project was implemented by a consortium led by CARE Denmark, alongside partners such as Catholic Relief Services (CRS), Gulu Agricultural Development Company (GADC), Dynamic Agro-Pastoral Development Organization (DADO), and Soroti Rural Development Agency (SORUDA). The project had three major outcomes: increased production of diversified food by both men and women smallholder farmers, enhanced market accessibility for these farmers, and improved nutrition and Family Planning services through gender-responsive community-based approaches.
The Project employed an Inclusive Market Development-Based approach, emphasizing economic gender equality, women empowerment, youth engagement, and community-based nutrition, while also focusing on the value chain. This strategy involved multi-stakeholder engagement and synergizing with existing government and development partner initiatives like DADO, CRS, and SORUDA. By implementing this approach, the project provided smallholder farmers with opportunities to enhance their incomes through the cultivation of high-value crops, such as sesame, cotton, soybean, and iron-rich beans. Additionally, measures were taken to ensure sustainability, including integrating activities into the government's PDM approach, building capacity among extension staff, and linking VSLA/SILC/YSLA/PMGs groups to financial institutions and agro input service providers.
A crucial aspect of the project was empowering women and youth, often marginalized in agriculture and rural development. Women were trained in Climate-Smart Agriculture and offered access to markets and finance through VSLA/SILC groups. Furthermore, Role Model Men were involved in raising awareness on gender-responsive actions, family planning, and women empowerment within smallholder farmers' households, fostering attitudinal changes towards gender equality and encouraging women to play an active role in agricultural production.
To achieve success, the project effectively engaged both public and private extension workers, disseminating information on Climate-Smart Agriculture practices to smallholder farmers and boosting production and income. Additionally, collaboration with Tillage Service Providers promoted entrepreneurship among youth and reduced manual labor burdens for smallholder farmers.
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The Project employed an Inclusive Market Development-Based approach, emphasizing economic gender equality, women empowerment, youth engagement, and community-based nutrition, while also focusing on the value chain. This strategy involved multi-stakeholder engagement and synergizing with existing government and development partner initiatives like DADO, CRS, and SORUDA. By implementing this approach, the project provided smallholder farmers with opportunities to enhance their incomes through the cultivation of high-value crops, such as sesame, cotton, soybean, and iron-rich beans. Additionally, measures were taken to ensure sustainability, including integrating activities into the government's PDM approach, building capacity among extension staff, and linking VSLA/SILC/YSLA/PMGs groups to financial institutions and agro input service providers.
A crucial aspect of the project was empowering women and youth, often marginalized in agriculture and rural development. Women were trained in Climate-Smart Agriculture and offered access to markets and finance through VSLA/SILC groups. Furthermore, Role Model Men were involved in raising awareness on gender-responsive actions, family planning, and women empowerment within smallholder farmers' households, fostering attitudinal changes towards gender equality and encouraging women to play an active role in agricultural production.
To achieve success, the project effectively engaged both public and private extension workers, disseminating information on Climate-Smart Agriculture practices to smallholder farmers and boosting production and income. Additionally, collaboration with Tillage Service Providers promoted entrepreneurship among youth and reduced manual labor burdens for smallholder farmers.
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PROJET WALLINDE « AIDER LES AUTRES » Evaluation Finale et Capitalisation
Le projet « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, a été mis en oeuvre par CARE Cameroun dans les départements du Mayo Tsanaga, Mayo Danaï et Mayo Kani. L’objectif poursuivi par le projet est de « renforcer l'accès aux services de base en matière d'eau, hygiène et assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun ». Le projet couvre une période allant du 1er avril 2021 au 31 avril 2023 soit une durée globale de 24 mois.
Trois (03) résultats spécifiques étaient attendus, à savoir : (i) La gouvernance communautaire et communale des infrastructures de base (points d'eau, latrines, hygiène) est améliorée afin de garantir un accès accru, équitable et sécurisé à l'eau potable autour des écoles des communes de Mokolo, Hina, Touloum et Kaélé ; (ii) les élèves (filles, garçons), les parents (hommes, femmes ) et le personnel des écoles ont amélioré leurs connaissances et adopté des bonnes pratiques en matières d’EHA ; (iii) les capacités d’épargne des femmes et des jeunes membres des AVEC sont renforcées
Rendu à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe du projet. La mission dont le présent document est le rapport visait à apprécier le résultat global du projet par rapport aux objectifs initiaux et de réfléchir avec les principaux intervenants en vue d’améliorer la mise en oeuvre ultérieure de projets similaires, mais aussi de générer des leçons apprises que CARE Cameroun puisse utiliser pour planifier et/ou adapter les composantes humanitaires des interventions futures. A la suite du processus de sélection, le Cabinet Multipolaire a été retenu pour accompagner CARE dans ce processus. Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 20 au 25 mars 2023. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection et sauvegarde des enfants. Au total, 1 609 personnes dont ont été consultées dont 699 hommes et 910 femmes.
Les données croisées de l’évaluation montrent que les résultats attendus du projet ont été largement atteints, poussés par certaines activités comme la réhabilitation de 25 forages sur 20 prévus. On a également noté une forte mobilisation des populations, notamment à travers les sensibilisations sur les thématiques EHA. Les points forts du projet Walindé sont nombreux, entre autres il s’agit d’un projet pertinent, accepté et fortement apprécié par les populations, menant de judicieuses activités de construction/réhabilitation des points d’eau et des latrines, de renforcement des capacités des CPGE et micro-assurances, en partenariat avec les communes cibles et les structures sectorielles déconcentrées, avec lesquelles un climat de bonne collaboration et d’interactions positives a été développé, pour le grand bien des populations bénéficiaires. Ceci est également un atout pour la durabilité sociale et institutionnelle du projet.
On peut conclure sans risque de se tromper que la couverture en eau potable a été améliorée par l’offre de forages fonctionnels aux écoles bénéficiaires. Toute la population des intervenants de l’école et des communautés environnantes profitent de ces points d’eau. Toutes les écoles bénéficiaires ont en outre un lieu désigné pour le lavage des mains où l'eau et le savon sont présents et les latrines propres. Les proportions de personnes qui, lorsqu’elles y sont invitées, font une démonstration satisfaisante de bonnes pratiques en matière d’EHA sont très satisfaisantes (supérieures à 90%) quel que soit le sexe et l’âge. Le projet a ainsi contribué au changement des comportements au sein des établissements scolaires, au sein des ménages et au sein des communautés. Le projet a également contribué à la formation et au l’autonomisation, soutenue par une implication marquée et positive des acteurs communautaires peut déclencher des dynamiques sociales et institutionnelles favorables à la motivation des communautés qui prennent conscience de ce que leur avenir dépend en majeure partie d’eux même, de leur désir commun de développement.
Les structures de micro assurance constituent une réponse idoine à la problématique de la maintenance durable des points d’eau. A condition :i) qu’elles aient des capacités de sensibilisation permettant d’attirer et affilier le maximum de CGPE au sein de leur commune ; ii) qu’elles soient capables de mutualiser leurs ressources au-delà de la commune et des départements, dans le cadre d’un réseau régional de micro assurance d’entretien des points d’eau. Un accompagnement à cet effet devrait être confié à un consultant ayant le profil adéquat, qui serait rétribué en fonction des résultats obtenus.
Finalement, l’évaluation recommande fortement une phase subséquente du projet, dans la perspective de consolider les acquis du projet, d’organiser plus sereinement le développement du mécanisme de micro-assurance des points d’eau et également les centres d’alphabétisation. Read More...
Trois (03) résultats spécifiques étaient attendus, à savoir : (i) La gouvernance communautaire et communale des infrastructures de base (points d'eau, latrines, hygiène) est améliorée afin de garantir un accès accru, équitable et sécurisé à l'eau potable autour des écoles des communes de Mokolo, Hina, Touloum et Kaélé ; (ii) les élèves (filles, garçons), les parents (hommes, femmes ) et le personnel des écoles ont amélioré leurs connaissances et adopté des bonnes pratiques en matières d’EHA ; (iii) les capacités d’épargne des femmes et des jeunes membres des AVEC sont renforcées
Rendu à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe du projet. La mission dont le présent document est le rapport visait à apprécier le résultat global du projet par rapport aux objectifs initiaux et de réfléchir avec les principaux intervenants en vue d’améliorer la mise en oeuvre ultérieure de projets similaires, mais aussi de générer des leçons apprises que CARE Cameroun puisse utiliser pour planifier et/ou adapter les composantes humanitaires des interventions futures. A la suite du processus de sélection, le Cabinet Multipolaire a été retenu pour accompagner CARE dans ce processus. Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 20 au 25 mars 2023. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection et sauvegarde des enfants. Au total, 1 609 personnes dont ont été consultées dont 699 hommes et 910 femmes.
Les données croisées de l’évaluation montrent que les résultats attendus du projet ont été largement atteints, poussés par certaines activités comme la réhabilitation de 25 forages sur 20 prévus. On a également noté une forte mobilisation des populations, notamment à travers les sensibilisations sur les thématiques EHA. Les points forts du projet Walindé sont nombreux, entre autres il s’agit d’un projet pertinent, accepté et fortement apprécié par les populations, menant de judicieuses activités de construction/réhabilitation des points d’eau et des latrines, de renforcement des capacités des CPGE et micro-assurances, en partenariat avec les communes cibles et les structures sectorielles déconcentrées, avec lesquelles un climat de bonne collaboration et d’interactions positives a été développé, pour le grand bien des populations bénéficiaires. Ceci est également un atout pour la durabilité sociale et institutionnelle du projet.
On peut conclure sans risque de se tromper que la couverture en eau potable a été améliorée par l’offre de forages fonctionnels aux écoles bénéficiaires. Toute la population des intervenants de l’école et des communautés environnantes profitent de ces points d’eau. Toutes les écoles bénéficiaires ont en outre un lieu désigné pour le lavage des mains où l'eau et le savon sont présents et les latrines propres. Les proportions de personnes qui, lorsqu’elles y sont invitées, font une démonstration satisfaisante de bonnes pratiques en matière d’EHA sont très satisfaisantes (supérieures à 90%) quel que soit le sexe et l’âge. Le projet a ainsi contribué au changement des comportements au sein des établissements scolaires, au sein des ménages et au sein des communautés. Le projet a également contribué à la formation et au l’autonomisation, soutenue par une implication marquée et positive des acteurs communautaires peut déclencher des dynamiques sociales et institutionnelles favorables à la motivation des communautés qui prennent conscience de ce que leur avenir dépend en majeure partie d’eux même, de leur désir commun de développement.
Les structures de micro assurance constituent une réponse idoine à la problématique de la maintenance durable des points d’eau. A condition :i) qu’elles aient des capacités de sensibilisation permettant d’attirer et affilier le maximum de CGPE au sein de leur commune ; ii) qu’elles soient capables de mutualiser leurs ressources au-delà de la commune et des départements, dans le cadre d’un réseau régional de micro assurance d’entretien des points d’eau. Un accompagnement à cet effet devrait être confié à un consultant ayant le profil adéquat, qui serait rétribué en fonction des résultats obtenus.
Finalement, l’évaluation recommande fortement une phase subséquente du projet, dans la perspective de consolider les acquis du projet, d’organiser plus sereinement le développement du mécanisme de micro-assurance des points d’eau et également les centres d’alphabétisation. Read More...