GBV
ETUDE SUR LE PLAIDOYER ET L’INCLUSION FINANCIERE DANS LES REGIONS DE SEGOU, DE MOPTI ET DE TOMBOUCTOU
L’une des composantes du PEF GS vise essentiellement à promouvoir l’autonomisation économique ou pouvoir économique des femmes et des filles dans les zones d’intervention du projet. Cependant force est de reconnaitre que cette vision tarde à atteindre la globalité des objectifs de la composante qui est âprement inscrite dans la théorie de changement du projet.
Même si les femmes ont atteint un niveau réel et tangible dans leurs progrès vers l’autonomisation économique, il faudrait noter que leurs activités ne pourraient être développées que lorsqu’elles aient un accès viable aux crédits à travers les instituts des microfinances et les banques de la place. Un vrai partenariat gagnant-gagnant permettra aux femmes d’atteindre leur vision en termes d’entreprenariat et objectifs économiques durables.
Les thématiques de formations ont été dispensées au profit des femmes et des filles pour renforcer leurs capacités d’intervention et d’influences des pratiques en faveur des changements positifs.
C’est fort de ces constats dans le but de mieux orienter l’intervention pour un changement positif que Care Mali a engagé UNIVERS MANAGEMENT pour conduire une étude approfondie d’analyse participative relative au rôle des femmes dans le plaidoyer et l’inclusion financière. L’étude sera menée à travers des séries d’analyse participative sur la vulnérabilité des femmes, les contraintes/obstacles, affectant la situation socio-économique et culturelle des Femmes/Filles. Cette analyse permettra aux équipes des Projets GEWEP avec ses partenaires stratégiques (services techniques, élus, femmes des groupements/réseaux MJT, IFM) de développer de façon participative des stratégies et produits adaptés aux besoins spécifiques des femmes et des filles. Read More...
Même si les femmes ont atteint un niveau réel et tangible dans leurs progrès vers l’autonomisation économique, il faudrait noter que leurs activités ne pourraient être développées que lorsqu’elles aient un accès viable aux crédits à travers les instituts des microfinances et les banques de la place. Un vrai partenariat gagnant-gagnant permettra aux femmes d’atteindre leur vision en termes d’entreprenariat et objectifs économiques durables.
Les thématiques de formations ont été dispensées au profit des femmes et des filles pour renforcer leurs capacités d’intervention et d’influences des pratiques en faveur des changements positifs.
C’est fort de ces constats dans le but de mieux orienter l’intervention pour un changement positif que Care Mali a engagé UNIVERS MANAGEMENT pour conduire une étude approfondie d’analyse participative relative au rôle des femmes dans le plaidoyer et l’inclusion financière. L’étude sera menée à travers des séries d’analyse participative sur la vulnérabilité des femmes, les contraintes/obstacles, affectant la situation socio-économique et culturelle des Femmes/Filles. Cette analyse permettra aux équipes des Projets GEWEP avec ses partenaires stratégiques (services techniques, élus, femmes des groupements/réseaux MJT, IFM) de développer de façon participative des stratégies et produits adaptés aux besoins spécifiques des femmes et des filles. Read More...
« ETUDE SUR LES DETERMINANTS DANS LES DROITS D’ACCCES DES FEMMES A LA TERRE DANS LES REGIONS DE SEGOU MOPTI ET TOMBOUCTOU »
Le Mali comme plusieurs pays de la sous-région ont entrepris des reformes, visant à assurer à tous les citoyens, y compris les femmes et les autres groupes marginalisés, un accès plus sécurisé à la terre et aux ressources naturelles. Malgré ces actions efforts, l’application sur le terrain des lois relatives au foncier connaît de sérieuses difficultés. C’est ainsi que depuis quelques années, les institutions internationales, les ONG dont Care, les groupes de pression et les associations de femmes réclament une meilleure prise en charge
par les autorités des véritables problèmes qui entravent l’accès équitable des femmes à la terre et aux autres ressources naturelles et qui constituent un obstacle à une meilleure productivité économique et au progrès social.
Pour Care les sociétés ne peuvent prospérer durablement quand la moitié de leur population voit ses droits bafoués. Il est donc nécessaire d’équilibrer les relations entre les femmes et les hommes. C’est dans cette perspective que CARE Mali a commandité une l’étude « Accès des femmes et des filles au foncier dans les zones d’intervention du projet PFE-GS », étude dont les résultats attendus sont les suivants :
o Les cause socio-culturelles et politiques qui déterminent les difficultés d’accès des femmes
et filles à la terre sont cernées ;
o Les causes/déterminants potentiels sont analysées et des leviers (axes d’intervention) sont
proposés au projet ;
o Les manifestations/conséquences de cette difficulté d’accès des femmes à la terre sur
leurs conditions de vie sont identifiées ;
o Les lacunes qui persistent dans ces stratégies/actions de plaidoyer sont identifiées et des
propositions de solutions pertinentes sont identifiées ;
o Les femmes ont donné leurs appréciations de cette situation ;
o Les actions de plaidoyer menées par les femmes sont identifiées ainsi que les effets de ces
actions ;
o Les solutions sont proposées pour améliorer leur situation. Read More...
par les autorités des véritables problèmes qui entravent l’accès équitable des femmes à la terre et aux autres ressources naturelles et qui constituent un obstacle à une meilleure productivité économique et au progrès social.
Pour Care les sociétés ne peuvent prospérer durablement quand la moitié de leur population voit ses droits bafoués. Il est donc nécessaire d’équilibrer les relations entre les femmes et les hommes. C’est dans cette perspective que CARE Mali a commandité une l’étude « Accès des femmes et des filles au foncier dans les zones d’intervention du projet PFE-GS », étude dont les résultats attendus sont les suivants :
o Les cause socio-culturelles et politiques qui déterminent les difficultés d’accès des femmes
et filles à la terre sont cernées ;
o Les causes/déterminants potentiels sont analysées et des leviers (axes d’intervention) sont
proposés au projet ;
o Les manifestations/conséquences de cette difficulté d’accès des femmes à la terre sur
leurs conditions de vie sont identifiées ;
o Les lacunes qui persistent dans ces stratégies/actions de plaidoyer sont identifiées et des
propositions de solutions pertinentes sont identifiées ;
o Les femmes ont donné leurs appréciations de cette situation ;
o Les actions de plaidoyer menées par les femmes sont identifiées ainsi que les effets de ces
actions ;
o Les solutions sont proposées pour améliorer leur situation. Read More...
ETUDE SUR LA VIOLENCE CHEZ LES JEUNES
La présente étude jeunesse & VBG vise à dresser un état des lieux de la violence chez les
jeunes dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou au Mali, et à comprendre les causes,
les conséquences/ manifestations et les préventions des violences chez les jeunes.
Pour ce faire, Care Mali et ses partenaires le consortium AMAPROS & ASSAFE à Ségou,YAG TU à Mopti et enfin le consortium ARDIL/CAID à Tombouctou, ont constitué une équipe de recherche afin de conduire une vaste étude de recherche qualitative auprès des MJT, des hommes engagés, les communautés dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou.
Une revue documentaire a permis de consulter plusieurs documents, mais, en dépit de cela, il est à noter que certaines données, notamment quantitatives, ne sont pas disponibles ou impossible de les obtenir auprès des services de l’état par manque d’existence d’une base de données.
La violence compromet le bien-être physique et psychologique des jeunes garçons et des filles. Cette situation peut avoir des effets psychologiques à long terme sur les enfants et provoquer des séquelles, des abandons scolaires et, ce faisant, compromettre la réalisation de l’Objectif du Développement Durable(ODD), de même que la participation pleine et entière des jeunes garçons et des filles à la marche de la société. La prévalence, la fréquence et l’intensité de la violence dans la société n’a pas encore fait l’objet d’une étude approfondie et systématique au Mali concernant uniquement la jeunesse comme cible Cependant, les études disponibles sur les violences révèlent qu’il conviendrait d’améliorer la situation dans la société, si l’on veut qu’elle devienne un environnement sûr et protecteur pour les jeunes. Read More...
jeunes dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou au Mali, et à comprendre les causes,
les conséquences/ manifestations et les préventions des violences chez les jeunes.
Pour ce faire, Care Mali et ses partenaires le consortium AMAPROS & ASSAFE à Ségou,YAG TU à Mopti et enfin le consortium ARDIL/CAID à Tombouctou, ont constitué une équipe de recherche afin de conduire une vaste étude de recherche qualitative auprès des MJT, des hommes engagés, les communautés dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou.
Une revue documentaire a permis de consulter plusieurs documents, mais, en dépit de cela, il est à noter que certaines données, notamment quantitatives, ne sont pas disponibles ou impossible de les obtenir auprès des services de l’état par manque d’existence d’une base de données.
La violence compromet le bien-être physique et psychologique des jeunes garçons et des filles. Cette situation peut avoir des effets psychologiques à long terme sur les enfants et provoquer des séquelles, des abandons scolaires et, ce faisant, compromettre la réalisation de l’Objectif du Développement Durable(ODD), de même que la participation pleine et entière des jeunes garçons et des filles à la marche de la société. La prévalence, la fréquence et l’intensité de la violence dans la société n’a pas encore fait l’objet d’une étude approfondie et systématique au Mali concernant uniquement la jeunesse comme cible Cependant, les études disponibles sur les violences révèlent qu’il conviendrait d’améliorer la situation dans la société, si l’on veut qu’elle devienne un environnement sûr et protecteur pour les jeunes. Read More...
Evaluation à mi-parcours du Projet « Partenariat Contre le Trafic, l’Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles aux Femmes (PACTE pour les Enfants et les Femmes) »
L’évaluation du Projet « Partenariat contre le Trafic, l’Exploitation et les Violences faites aux Filles et aux Femmes (PACTE pour les Enfants et les Femmes) » a fait ressortir les points suivants.
D’un point de vue pertinence, les objectifs du projet PACTE sont en phase avec ceux de la Politique Nationale de Protection de l’Enfance (PNPE) et répondent à des problèmes existants bel et bien dans les communautés :
Pour 90% des personnes enquêtées, les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes sont effectivement une réalité, et 47% estiment que cela existe bel et bien dans leurs localités ;
80% reconnaissent les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes comme des fléaux et trouvent qu’il faut s’en préoccuper.
Un an et demi après le début de la mise en oeuvre, l’évaluation révèle aussi que l’arsenal d'acteurs s’investit selon leurs domaines de compétence et parcelles de pouvoir à l’exercice d’éradication des phénomènes de trafic des enfants et des violences basées sur le genre identifiés dans les zones :
Les acteurs impliqués dans la mise en oeuvre sont bien emmaillés sur les espaces couverts.
Les groupements AVEC installés par les équipes des ONG et OSC partenaires de CARE Bénin/Togo dans les communes d’intervention du projet sont des creusets d’échanges qui facilitent la mise en oeuvre des activités du projet.
186 leaders ont une bonne connaissance du projet et 6% sont impliqués dans la dénonciation des cas de violence envers les enfants et les femmes dans leur communauté. Read More...
D’un point de vue pertinence, les objectifs du projet PACTE sont en phase avec ceux de la Politique Nationale de Protection de l’Enfance (PNPE) et répondent à des problèmes existants bel et bien dans les communautés :
Pour 90% des personnes enquêtées, les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes sont effectivement une réalité, et 47% estiment que cela existe bel et bien dans leurs localités ;
80% reconnaissent les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes comme des fléaux et trouvent qu’il faut s’en préoccuper.
Un an et demi après le début de la mise en oeuvre, l’évaluation révèle aussi que l’arsenal d'acteurs s’investit selon leurs domaines de compétence et parcelles de pouvoir à l’exercice d’éradication des phénomènes de trafic des enfants et des violences basées sur le genre identifiés dans les zones :
Les acteurs impliqués dans la mise en oeuvre sont bien emmaillés sur les espaces couverts.
Les groupements AVEC installés par les équipes des ONG et OSC partenaires de CARE Bénin/Togo dans les communes d’intervention du projet sont des creusets d’échanges qui facilitent la mise en oeuvre des activités du projet.
186 leaders ont une bonne connaissance du projet et 6% sont impliqués dans la dénonciation des cas de violence envers les enfants et les femmes dans leur communauté. Read More...
Etude de base du Projet PACTE
Suite à de nombreuses études au Bénin, il a été révélé qu’au moins 7882 enfants vivent en situation d’exploitation dans les marchés ; 7,2% sont victimes de rapts et séquestrations ; 1,4% sont violées et harcelées sexuellement et 89% font l’objet de traite.
CARE est une Organisation Non Gouvernementale qui intervient au Bénin depuis 1999. Grâce au financement de l’Union Européenne, CARE BENIN/TOGO met en oeuvre le projet « Partenariat Contre le Trafic, l'Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles et aux Femmes » (PACTE) qui vise à contribuer à l'éradication de l'exploitation et des violences envers les enfants et les femmes au Bénin.
Le projet PACTE intervient dans quatre (04) départements, à raison de deux communes par département : Karimama, Malanville, Kalalé, Nikki, Djougou, Ouaké, Kétou et Pobè.
Pour apprécier les changements induits par le Projet, CARE a initié l’étude pour (i) identifier la valeur de base des indicateurs et(ii) analyser les connaissance, attitudes et pratiques sur la question du trafic, l’exploitation des enfants et les violences faites aux femmes et aux enfants. Read More...
CARE est une Organisation Non Gouvernementale qui intervient au Bénin depuis 1999. Grâce au financement de l’Union Européenne, CARE BENIN/TOGO met en oeuvre le projet « Partenariat Contre le Trafic, l'Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles et aux Femmes » (PACTE) qui vise à contribuer à l'éradication de l'exploitation et des violences envers les enfants et les femmes au Bénin.
Le projet PACTE intervient dans quatre (04) départements, à raison de deux communes par département : Karimama, Malanville, Kalalé, Nikki, Djougou, Ouaké, Kétou et Pobè.
Pour apprécier les changements induits par le Projet, CARE a initié l’étude pour (i) identifier la valeur de base des indicateurs et(ii) analyser les connaissance, attitudes et pratiques sur la question du trafic, l’exploitation des enfants et les violences faites aux femmes et aux enfants. Read More...
BASELINE SURVEY AND GENDER ANALYSIS FOR “STAND UP, SPEAK OUT: BREAKING THE SILENCE AROUND GENDER BASED VIOLENCE AMONG ETHNIC MINORITY COMMUNITIES IN NORTHERN VIETNAM”
CARE Vietnam (CVN) in coordination with stakeholders is implementing the Project titled Stand Up, Speak Out: Breaking the silence around gender based violence among ethnic minority communities in Northern Vietnam, which is a part CARE’s Remote Ethnic Minority Women’s Program. In CVN’s programming, Gender based violence (GBV) is considered as one of the three focus thematic areas. Within the REMW Program, GBV will be addressed through three dimensions: a) Protection (legal protection, literacy, reform), b) Prevention and Response (engaging with initiatives of others, promoting access to services), and c) expanding the scope of the national agenda to focus on GBV. ”Stand Up, Speak Out” project (SUSO) aims to promote all of the three dimensions for addressing GBV: Protection (legal protection, literacy, reform), through Prevention and Response (engaging with initiatives of others, promoting access to services) and through expanding the scope of the national agenda to focus on GBV.
Proposed actions will challenge the harmful gender norms that accept and normalize GBV in ethnic minority communities, by taking a multi-level, multi-sectoral approach. The project will tackle the taboo nature of GBV by increasing the awareness and understanding about GBV among ethnic minority community members, authorities and service providers. It will work with service providers to improve the support services available for ethnic minority survivors of GBV. At the policy level the project will strengthen implementation of the National Action Plan on GBV through the development of tools and processes that align with the National Action Plan’s priorities and by undertaking advocacy in partnership with an alliance of Vietnamese civil society organisations (CSOs). The project will use a rights based approach to tackle intersectional discrimination by targeting ethnic minority groups in remote and rural areas and being sensitive to GBV survivors with disabilities.
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Proposed actions will challenge the harmful gender norms that accept and normalize GBV in ethnic minority communities, by taking a multi-level, multi-sectoral approach. The project will tackle the taboo nature of GBV by increasing the awareness and understanding about GBV among ethnic minority community members, authorities and service providers. It will work with service providers to improve the support services available for ethnic minority survivors of GBV. At the policy level the project will strengthen implementation of the National Action Plan on GBV through the development of tools and processes that align with the National Action Plan’s priorities and by undertaking advocacy in partnership with an alliance of Vietnamese civil society organisations (CSOs). The project will use a rights based approach to tackle intersectional discrimination by targeting ethnic minority groups in remote and rural areas and being sensitive to GBV survivors with disabilities.
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Mawe Tatu Rapport Etude de Base
Cette étude évalue un programme de développement néerlandaise nommé "Mawe Tatu" (M3), qui vise à l’amélioration de la gestion économique des ménages; à la réduction de la violence basée sur le genre à travers des relations plus égales entre femmes et hommes ; et à la réalisation de comportements de santé sexuelle et reproductive plus sains dans huit territoires dans les provinces du Sud et du Nord Kivu de la RDC. Le programme Mawe Tatu combine pour la première fois une approche de micro finance pour accroître la participation des femmes dans l'économie des ménage avec des interventions favorisant l'égalité entre les sexes à travers la
réduction de la violence basée sur le genre et l'amélioration des droits de santé sexuelle et reproductive des femmes. L’étude examinera les changements dans la participation économique des femmes, la prévalence de la violence basée sur le genre, et la prise de conscience des droits sexuels et reproductifs Read More...
réduction de la violence basée sur le genre et l'amélioration des droits de santé sexuelle et reproductive des femmes. L’étude examinera les changements dans la participation économique des femmes, la prévalence de la violence basée sur le genre, et la prise de conscience des droits sexuels et reproductifs Read More...
Mawe Tatu English Summary of Endline Evaluation
This summary presents key findings of the endline study contucted to evaluate the effectiveness of the "Mawe Tatu" (M3) program in North and South Kivu Provinces of the Democratic Republic of Congo. The M3 project was implemented to improve the household economy of vulnerable groups, to reduce gender-based violence through improving equity in gender relations; and to improve sexual and reproductive health among women, men, and youth.
Guiding questions included:
1. Did the household economy, and the socio-economic situation of women improve as a result of the introduction of VSLAs?
2. Did men get successfully engaged to support women’s economic autonomy, to reduce gender-based violence, and to support women in their decisions about their sexual and reproductive health?
3. Were young women and men empowered to take healthy decisions for their sexual and reproductive life?
Full evaluation (in French) here: http://www.careevaluations.org/evaluation/mawe-tatu-evaluation-finale-phase-i-et-etude-de-base-partielle-phase-ii/ Read More...
Guiding questions included:
1. Did the household economy, and the socio-economic situation of women improve as a result of the introduction of VSLAs?
2. Did men get successfully engaged to support women’s economic autonomy, to reduce gender-based violence, and to support women in their decisions about their sexual and reproductive health?
3. Were young women and men empowered to take healthy decisions for their sexual and reproductive life?
Full evaluation (in French) here: http://www.careevaluations.org/evaluation/mawe-tatu-evaluation-finale-phase-i-et-etude-de-base-partielle-phase-ii/ Read More...
Rwanda Influencing local government planning process to address GBV
strengthening demand- and supply side local governance processes to ensure that local decision-makers incorporate and implement measures for GBV prevention and response into the district level development planning process, which is known as imihigo in Rwanda. This programming experience has highlighted the importance of strengthening women’s and marginalized groups’ participation in the imihigo process and ensuring that district level performance contracts include budgetary allocations for GBV prevention and response activities.
Influencing the imihigo process must however be understood as a long-term advocacy objective. To date, CARE Rwanda’s programming interventions have contributed to changes in the attitudes of local leaders in terms of their understanding of GBV as a development issue and their responsibility for ensuring downwards accountability to their constituents.
The starting point for this influencing process was the implementation from 2010 to 2013 of the Great Lakes Advocacy Initiative across six districts in southern Rwanda. This project aimed to increase national and local leaders’ accountability for the implementation of national GBV policy, as well as building the capacity of women and men activists to receive cases of GBV and to provide referrals to appropriate services and to advocate for quality, affordable and available services in the community. GLAI and subsequent women’s empowerment programming interventions by CARE Rwanda (GEWEP and Umugore Arumvwa – ‘A Woman is Listened To’) which also focussed on GBV prevention and response, provided the foundation for CARE Rwanda to build an understanding of the socio-political context shaping the implementation of GBV legislation at the national and local level and to develop effective working relationships with key ministries such as MIGEPROF.
Implementation of GLAI also involved Read More...
Influencing the imihigo process must however be understood as a long-term advocacy objective. To date, CARE Rwanda’s programming interventions have contributed to changes in the attitudes of local leaders in terms of their understanding of GBV as a development issue and their responsibility for ensuring downwards accountability to their constituents.
The starting point for this influencing process was the implementation from 2010 to 2013 of the Great Lakes Advocacy Initiative across six districts in southern Rwanda. This project aimed to increase national and local leaders’ accountability for the implementation of national GBV policy, as well as building the capacity of women and men activists to receive cases of GBV and to provide referrals to appropriate services and to advocate for quality, affordable and available services in the community. GLAI and subsequent women’s empowerment programming interventions by CARE Rwanda (GEWEP and Umugore Arumvwa – ‘A Woman is Listened To’) which also focussed on GBV prevention and response, provided the foundation for CARE Rwanda to build an understanding of the socio-political context shaping the implementation of GBV legislation at the national and local level and to develop effective working relationships with key ministries such as MIGEPROF.
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