Gender Assessment
Gender Equity and Women’s Empowerment: The Journey So far; The Experience of the ENSURE Program
The ENSURE Food Security Program is a USAID-funded, five-year intervention designed to profoundly and sustainably impact 215,000 vulnerable and food- insecure Zimbabweans in Manicaland and Masvingo Provinces. The program is a shared commitment by four partners and one service provider—World Vision, CARE, SNV, SAFIRE and ICRISAT—who work together to mainstream gender equity and natural resource management in the three key areas of maternal and child nutrition and health, agricultural production and marketing, and community resilience.
The success of ENSURE can be portrayed through the accounts of thousands of women and men whose lives have been changed through its various programme interventions. Tangible gender transformative changes can be noticed on several dimensions: joint household decision making; reduced violence against women; increased women’s leadership in community leadership; men assisting women with household chores and childcare; women’s ownership of high value productive assets; and increased access and control over income.
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The success of ENSURE can be portrayed through the accounts of thousands of women and men whose lives have been changed through its various programme interventions. Tangible gender transformative changes can be noticed on several dimensions: joint household decision making; reduced violence against women; increased women’s leadership in community leadership; men assisting women with household chores and childcare; women’s ownership of high value productive assets; and increased access and control over income.
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ETUDE SUR LE PLAIDOYER ET L’INCLUSION FINANCIERE DANS LES REGIONS DE SEGOU, DE MOPTI ET DE TOMBOUCTOU
L’une des composantes du PEF GS vise essentiellement à promouvoir l’autonomisation économique ou pouvoir économique des femmes et des filles dans les zones d’intervention du projet. Cependant force est de reconnaitre que cette vision tarde à atteindre la globalité des objectifs de la composante qui est âprement inscrite dans la théorie de changement du projet.
Même si les femmes ont atteint un niveau réel et tangible dans leurs progrès vers l’autonomisation économique, il faudrait noter que leurs activités ne pourraient être développées que lorsqu’elles aient un accès viable aux crédits à travers les instituts des microfinances et les banques de la place. Un vrai partenariat gagnant-gagnant permettra aux femmes d’atteindre leur vision en termes d’entreprenariat et objectifs économiques durables.
Les thématiques de formations ont été dispensées au profit des femmes et des filles pour renforcer leurs capacités d’intervention et d’influences des pratiques en faveur des changements positifs.
C’est fort de ces constats dans le but de mieux orienter l’intervention pour un changement positif que Care Mali a engagé UNIVERS MANAGEMENT pour conduire une étude approfondie d’analyse participative relative au rôle des femmes dans le plaidoyer et l’inclusion financière. L’étude sera menée à travers des séries d’analyse participative sur la vulnérabilité des femmes, les contraintes/obstacles, affectant la situation socio-économique et culturelle des Femmes/Filles. Cette analyse permettra aux équipes des Projets GEWEP avec ses partenaires stratégiques (services techniques, élus, femmes des groupements/réseaux MJT, IFM) de développer de façon participative des stratégies et produits adaptés aux besoins spécifiques des femmes et des filles. Read More...
Même si les femmes ont atteint un niveau réel et tangible dans leurs progrès vers l’autonomisation économique, il faudrait noter que leurs activités ne pourraient être développées que lorsqu’elles aient un accès viable aux crédits à travers les instituts des microfinances et les banques de la place. Un vrai partenariat gagnant-gagnant permettra aux femmes d’atteindre leur vision en termes d’entreprenariat et objectifs économiques durables.
Les thématiques de formations ont été dispensées au profit des femmes et des filles pour renforcer leurs capacités d’intervention et d’influences des pratiques en faveur des changements positifs.
C’est fort de ces constats dans le but de mieux orienter l’intervention pour un changement positif que Care Mali a engagé UNIVERS MANAGEMENT pour conduire une étude approfondie d’analyse participative relative au rôle des femmes dans le plaidoyer et l’inclusion financière. L’étude sera menée à travers des séries d’analyse participative sur la vulnérabilité des femmes, les contraintes/obstacles, affectant la situation socio-économique et culturelle des Femmes/Filles. Cette analyse permettra aux équipes des Projets GEWEP avec ses partenaires stratégiques (services techniques, élus, femmes des groupements/réseaux MJT, IFM) de développer de façon participative des stratégies et produits adaptés aux besoins spécifiques des femmes et des filles. Read More...
« ETUDE SUR LES DETERMINANTS DANS LES DROITS D’ACCCES DES FEMMES A LA TERRE DANS LES REGIONS DE SEGOU MOPTI ET TOMBOUCTOU »
Le Mali comme plusieurs pays de la sous-région ont entrepris des reformes, visant à assurer à tous les citoyens, y compris les femmes et les autres groupes marginalisés, un accès plus sécurisé à la terre et aux ressources naturelles. Malgré ces actions efforts, l’application sur le terrain des lois relatives au foncier connaît de sérieuses difficultés. C’est ainsi que depuis quelques années, les institutions internationales, les ONG dont Care, les groupes de pression et les associations de femmes réclament une meilleure prise en charge
par les autorités des véritables problèmes qui entravent l’accès équitable des femmes à la terre et aux autres ressources naturelles et qui constituent un obstacle à une meilleure productivité économique et au progrès social.
Pour Care les sociétés ne peuvent prospérer durablement quand la moitié de leur population voit ses droits bafoués. Il est donc nécessaire d’équilibrer les relations entre les femmes et les hommes. C’est dans cette perspective que CARE Mali a commandité une l’étude « Accès des femmes et des filles au foncier dans les zones d’intervention du projet PFE-GS », étude dont les résultats attendus sont les suivants :
o Les cause socio-culturelles et politiques qui déterminent les difficultés d’accès des femmes
et filles à la terre sont cernées ;
o Les causes/déterminants potentiels sont analysées et des leviers (axes d’intervention) sont
proposés au projet ;
o Les manifestations/conséquences de cette difficulté d’accès des femmes à la terre sur
leurs conditions de vie sont identifiées ;
o Les lacunes qui persistent dans ces stratégies/actions de plaidoyer sont identifiées et des
propositions de solutions pertinentes sont identifiées ;
o Les femmes ont donné leurs appréciations de cette situation ;
o Les actions de plaidoyer menées par les femmes sont identifiées ainsi que les effets de ces
actions ;
o Les solutions sont proposées pour améliorer leur situation. Read More...
par les autorités des véritables problèmes qui entravent l’accès équitable des femmes à la terre et aux autres ressources naturelles et qui constituent un obstacle à une meilleure productivité économique et au progrès social.
Pour Care les sociétés ne peuvent prospérer durablement quand la moitié de leur population voit ses droits bafoués. Il est donc nécessaire d’équilibrer les relations entre les femmes et les hommes. C’est dans cette perspective que CARE Mali a commandité une l’étude « Accès des femmes et des filles au foncier dans les zones d’intervention du projet PFE-GS », étude dont les résultats attendus sont les suivants :
o Les cause socio-culturelles et politiques qui déterminent les difficultés d’accès des femmes
et filles à la terre sont cernées ;
o Les causes/déterminants potentiels sont analysées et des leviers (axes d’intervention) sont
proposés au projet ;
o Les manifestations/conséquences de cette difficulté d’accès des femmes à la terre sur
leurs conditions de vie sont identifiées ;
o Les lacunes qui persistent dans ces stratégies/actions de plaidoyer sont identifiées et des
propositions de solutions pertinentes sont identifiées ;
o Les femmes ont donné leurs appréciations de cette situation ;
o Les actions de plaidoyer menées par les femmes sont identifiées ainsi que les effets de ces
actions ;
o Les solutions sont proposées pour améliorer leur situation. Read More...
ETUDE SUR LA VIOLENCE CHEZ LES JEUNES
La présente étude jeunesse & VBG vise à dresser un état des lieux de la violence chez les
jeunes dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou au Mali, et à comprendre les causes,
les conséquences/ manifestations et les préventions des violences chez les jeunes.
Pour ce faire, Care Mali et ses partenaires le consortium AMAPROS & ASSAFE à Ségou,YAG TU à Mopti et enfin le consortium ARDIL/CAID à Tombouctou, ont constitué une équipe de recherche afin de conduire une vaste étude de recherche qualitative auprès des MJT, des hommes engagés, les communautés dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou.
Une revue documentaire a permis de consulter plusieurs documents, mais, en dépit de cela, il est à noter que certaines données, notamment quantitatives, ne sont pas disponibles ou impossible de les obtenir auprès des services de l’état par manque d’existence d’une base de données.
La violence compromet le bien-être physique et psychologique des jeunes garçons et des filles. Cette situation peut avoir des effets psychologiques à long terme sur les enfants et provoquer des séquelles, des abandons scolaires et, ce faisant, compromettre la réalisation de l’Objectif du Développement Durable(ODD), de même que la participation pleine et entière des jeunes garçons et des filles à la marche de la société. La prévalence, la fréquence et l’intensité de la violence dans la société n’a pas encore fait l’objet d’une étude approfondie et systématique au Mali concernant uniquement la jeunesse comme cible Cependant, les études disponibles sur les violences révèlent qu’il conviendrait d’améliorer la situation dans la société, si l’on veut qu’elle devienne un environnement sûr et protecteur pour les jeunes. Read More...
jeunes dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou au Mali, et à comprendre les causes,
les conséquences/ manifestations et les préventions des violences chez les jeunes.
Pour ce faire, Care Mali et ses partenaires le consortium AMAPROS & ASSAFE à Ségou,YAG TU à Mopti et enfin le consortium ARDIL/CAID à Tombouctou, ont constitué une équipe de recherche afin de conduire une vaste étude de recherche qualitative auprès des MJT, des hommes engagés, les communautés dans les régions de Ségou, Mopti et Tombouctou.
Une revue documentaire a permis de consulter plusieurs documents, mais, en dépit de cela, il est à noter que certaines données, notamment quantitatives, ne sont pas disponibles ou impossible de les obtenir auprès des services de l’état par manque d’existence d’une base de données.
La violence compromet le bien-être physique et psychologique des jeunes garçons et des filles. Cette situation peut avoir des effets psychologiques à long terme sur les enfants et provoquer des séquelles, des abandons scolaires et, ce faisant, compromettre la réalisation de l’Objectif du Développement Durable(ODD), de même que la participation pleine et entière des jeunes garçons et des filles à la marche de la société. La prévalence, la fréquence et l’intensité de la violence dans la société n’a pas encore fait l’objet d’une étude approfondie et systématique au Mali concernant uniquement la jeunesse comme cible Cependant, les études disponibles sur les violences révèlent qu’il conviendrait d’améliorer la situation dans la société, si l’on veut qu’elle devienne un environnement sûr et protecteur pour les jeunes. Read More...
BASELINE SURVEY AND GENDER ANALYSIS FOR “STAND UP, SPEAK OUT: BREAKING THE SILENCE AROUND GENDER BASED VIOLENCE AMONG ETHNIC MINORITY COMMUNITIES IN NORTHERN VIETNAM”
CARE Vietnam (CVN) in coordination with stakeholders is implementing the Project titled Stand Up, Speak Out: Breaking the silence around gender based violence among ethnic minority communities in Northern Vietnam, which is a part CARE’s Remote Ethnic Minority Women’s Program. In CVN’s programming, Gender based violence (GBV) is considered as one of the three focus thematic areas. Within the REMW Program, GBV will be addressed through three dimensions: a) Protection (legal protection, literacy, reform), b) Prevention and Response (engaging with initiatives of others, promoting access to services), and c) expanding the scope of the national agenda to focus on GBV. ”Stand Up, Speak Out” project (SUSO) aims to promote all of the three dimensions for addressing GBV: Protection (legal protection, literacy, reform), through Prevention and Response (engaging with initiatives of others, promoting access to services) and through expanding the scope of the national agenda to focus on GBV.
Proposed actions will challenge the harmful gender norms that accept and normalize GBV in ethnic minority communities, by taking a multi-level, multi-sectoral approach. The project will tackle the taboo nature of GBV by increasing the awareness and understanding about GBV among ethnic minority community members, authorities and service providers. It will work with service providers to improve the support services available for ethnic minority survivors of GBV. At the policy level the project will strengthen implementation of the National Action Plan on GBV through the development of tools and processes that align with the National Action Plan’s priorities and by undertaking advocacy in partnership with an alliance of Vietnamese civil society organisations (CSOs). The project will use a rights based approach to tackle intersectional discrimination by targeting ethnic minority groups in remote and rural areas and being sensitive to GBV survivors with disabilities.
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Proposed actions will challenge the harmful gender norms that accept and normalize GBV in ethnic minority communities, by taking a multi-level, multi-sectoral approach. The project will tackle the taboo nature of GBV by increasing the awareness and understanding about GBV among ethnic minority community members, authorities and service providers. It will work with service providers to improve the support services available for ethnic minority survivors of GBV. At the policy level the project will strengthen implementation of the National Action Plan on GBV through the development of tools and processes that align with the National Action Plan’s priorities and by undertaking advocacy in partnership with an alliance of Vietnamese civil society organisations (CSOs). The project will use a rights based approach to tackle intersectional discrimination by targeting ethnic minority groups in remote and rural areas and being sensitive to GBV survivors with disabilities.
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Rapid Gender and Protection Analysis Cyclone Kenneth Response Cabo Delgado Province, Mozambique
On 25 April 2019, as Mozambique was responding to the devastation caused by Cyclone Idai five weeks previously, Tropical Cyclone Kenneth hit the northern part of the country causing widespread devastation, flooding and displacement.
In a part of Mozambique experiencing significant poverty and instability caused by complex conflict dynamics1, women, men, boys and girls in the province of Cabo Delgado had limited resilience to withstand the shock of a cyclone. Early reports indicated that certain groups were hit particularly hard, including female-headed households, pregnant and lactating women, people with disabilities, the elderly, and boys and girls. This was confirmed by the Rapid Gender and Protection Analysis (RGPA).
COSACA,2 a consortium comprised of CARE International, Oxfam and Save the Children, identified four districts of the Cabo Delgado province to focus its analysis based on ongoing and planned operations: Ibo, Quissanga, Macomia and Metuge Districts as well as Pemba Town. The RGPA was built up progressively over the data collection period through 39 focus group discussions (FGD), 34 key informant interviews (KII) and observational safety audits.
Mozambique has the thirteenth highest level of women’s participation in parliament in the world yet, at the same time, a third of women report experiencing violence, reflecting entrenched gender inequalities within society.3 These inequalities contribute to women and girls appearing to be the worst-affected by Cyclone Kenneth, subject to greater food insecurity and increased risk of gender-based violence. This is in line with global evidence on the disproportionate, gendered impact of disasters and conflict.4 Humanitarian responders must account for the different experience of crisis felt by women, men, boys and girls, and ensure actions are tailored accordingly. Moreover, those responsible for recovery programming should use the opportunity to address inequalities and transform harmful gender norms where possible. Read More...
In a part of Mozambique experiencing significant poverty and instability caused by complex conflict dynamics1, women, men, boys and girls in the province of Cabo Delgado had limited resilience to withstand the shock of a cyclone. Early reports indicated that certain groups were hit particularly hard, including female-headed households, pregnant and lactating women, people with disabilities, the elderly, and boys and girls. This was confirmed by the Rapid Gender and Protection Analysis (RGPA).
COSACA,2 a consortium comprised of CARE International, Oxfam and Save the Children, identified four districts of the Cabo Delgado province to focus its analysis based on ongoing and planned operations: Ibo, Quissanga, Macomia and Metuge Districts as well as Pemba Town. The RGPA was built up progressively over the data collection period through 39 focus group discussions (FGD), 34 key informant interviews (KII) and observational safety audits.
Mozambique has the thirteenth highest level of women’s participation in parliament in the world yet, at the same time, a third of women report experiencing violence, reflecting entrenched gender inequalities within society.3 These inequalities contribute to women and girls appearing to be the worst-affected by Cyclone Kenneth, subject to greater food insecurity and increased risk of gender-based violence. This is in line with global evidence on the disproportionate, gendered impact of disasters and conflict.4 Humanitarian responders must account for the different experience of crisis felt by women, men, boys and girls, and ensure actions are tailored accordingly. Moreover, those responsible for recovery programming should use the opportunity to address inequalities and transform harmful gender norms where possible. Read More...
Inter-agency Rapid Gender Analysis and GBV Assessment – DRC Refugee Influx, Uganda
Overstretched and underfunded, the humanitarian response for the influx of DRC refugees into Uganda is struggling to meet the large basic needs. This Inter-Agency Rapid Gender Analysis and Gender-Based Violence (GBV) assessment was conducted with the objective of understanding the gender dimensions of the crisis, and needs and vulnerabilities of the refugees in order to inform a more gender responsive humanitarian response. In particular, it aimed to identify the specific GBV risks and vulnerabilities facing the affected population, and provide targeted recommendations to both CARE and other humanitarian actors on how to address these gaps and vulnerabilities.
GBV is a daily reality in Eastern DRC – both within and outside of the ongoing conflicts. Sexual violence has been a longstanding weapon of war used by parties to the conflicts and, increasingly, this sexual violence has extended through to every-day perpetration by civilians. This violence is situated within a society with deeply rooted discriminatory gender norms, in which women suffer entrenched inequality in all spheres of life and where a man’s worth is largely based on his capacity to provide for and protect his family. The sustained conflicts within the country have resulted in decreasing opportunities for men to perform this role, similarly so in displacement in Uganda, where livelihood opportunities are severely diminished.
This assessment found that in conflict, in transit, and in displacement in Uganda, the Congolese refugee population is facing numerous highly traumatic forms of human rights abuses, including various forms of GBV. In the conflict in DRC, sexual violence is systematically perpetrated against women and girls; and kidnapping, physical assault, torture and massacres are used against men and boys. Women and girls often face a compounded risk of additional sexual violence during flight. Read More...
GBV is a daily reality in Eastern DRC – both within and outside of the ongoing conflicts. Sexual violence has been a longstanding weapon of war used by parties to the conflicts and, increasingly, this sexual violence has extended through to every-day perpetration by civilians. This violence is situated within a society with deeply rooted discriminatory gender norms, in which women suffer entrenched inequality in all spheres of life and where a man’s worth is largely based on his capacity to provide for and protect his family. The sustained conflicts within the country have resulted in decreasing opportunities for men to perform this role, similarly so in displacement in Uganda, where livelihood opportunities are severely diminished.
This assessment found that in conflict, in transit, and in displacement in Uganda, the Congolese refugee population is facing numerous highly traumatic forms of human rights abuses, including various forms of GBV. In the conflict in DRC, sexual violence is systematically perpetrated against women and girls; and kidnapping, physical assault, torture and massacres are used against men and boys. Women and girls often face a compounded risk of additional sexual violence during flight. Read More...
Key findings from CARE’s rapid gender analysis in Rhino and Imvepi settlements, March 2017
CARE has conducted a rapid gender analysis (RGA) during the week of 12th March 2017 in Rhino and the newly opened Imvepi settlements in the Arua district of the West Nile region of Uganda. The following are a set of initial findings pulled out of the analysis to support engagement with ECHO regarding potential work in the West Nile region.
Methodology: RGA can provide information about the different needs, capacities and coping strategies of women, men, boys and girls in a crisis by examining the experiences and relationships between women, men, boys and girls. However, an RGA should be built up progressively, and therefore the forthcoming report will provide an initial but incomplete insight into the gendered situation within the South Sudanese refugee community in West Nile. Read More...
Methodology: RGA can provide information about the different needs, capacities and coping strategies of women, men, boys and girls in a crisis by examining the experiences and relationships between women, men, boys and girls. However, an RGA should be built up progressively, and therefore the forthcoming report will provide an initial but incomplete insight into the gendered situation within the South Sudanese refugee community in West Nile. Read More...
Cyclone Idai Regional Rapid Gender Analysis
CARE International is responding to the impact of Cyclone Idai and the associated floods in Malawi, Mozambique and Zimbabwe. As part of our response, CARE’s team in each of the countries is currently developing or is planning to develop a Rapid Gender Analysis (RGA) for the affected regions. An RGA provides information about the different needs, capacities and coping strategies of women, men, boys and girls in a crisis. It is built up progressively using a range of primary and secondary information to understand gender roles and relations and how they may change during a crisis. It provides practical programming and operational recommendations to meet the different needs of women, men, boys and girls of different ages, abilities and other contextually relevant forms of diversity and to ensure we ‘do no harm’. RGA uses the tools and approaches of Gender Analysis Frameworks – such as community mapping; focus group discussions, key informant interviews, safety audit tools and secondary data review - and adapts them to the tight time-frames, rapidly changing contexts and insecure environments that often characterise humanitarian interventions. Read More...
Evaluation d’impact Genre de la réponse de CARE à la crise du Bassin du Lac Tchad au Cameroun, Niger et Tchad
La crise du BLT, née du conflit armé au Nord Nigéria qui s’est étendu au Cameroun, Niger et Tchad a créé une crise humanitaire qui a entrainé le déplacement de 4.025.486 personnes au niveau de ces quatre pays (OIM DTM, Avril 2018). Cette crise révèle une dimension protection sans précèdent avec notamment des violences multiformes à l’encontre des femmes et de filles (kidnapping, violences et abus sexuelles, transformées en kamikaze), des violences physiques à l’encontre des hommes et jeunes garçons (décapités ou enrôlés de force dans les combats) ; la dislocation des milliers de familles a laissé aux femmes et aux enfants la responsabilité de se prendre en charge leurs familles.
CARE répond à la crise du bassin du Lac Tchad (BLT) depuis 2014 au Niger et 2015 au Tchad et au Cameroun. Conformément à son focus et engagement sur le genre, CARE a déployé des efforts pour intégrer le genre à toutes les étapes de la mise en œuvre de la réponse. Cet effort est soutenu par plusieurs bailleurs dont le Global Affairs Canada (GAC) qui finance pour la première fois des projets d’urgence sur deux ans consécutifs au Cameroun, au Niger et au Tchad. C’est grâce à ce financement que cette évaluation a été commanditée pour apprécier l’efficacité de l’approche d’intégration du genre utilisée et son impact sur la vie des hommes, des femmes, des filles et des garçons affectés par la crise du BLT et formuler des recommandations d’amélioration. [33 pages]
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CARE répond à la crise du bassin du Lac Tchad (BLT) depuis 2014 au Niger et 2015 au Tchad et au Cameroun. Conformément à son focus et engagement sur le genre, CARE a déployé des efforts pour intégrer le genre à toutes les étapes de la mise en œuvre de la réponse. Cet effort est soutenu par plusieurs bailleurs dont le Global Affairs Canada (GAC) qui finance pour la première fois des projets d’urgence sur deux ans consécutifs au Cameroun, au Niger et au Tchad. C’est grâce à ce financement que cette évaluation a été commanditée pour apprécier l’efficacité de l’approche d’intégration du genre utilisée et son impact sur la vie des hommes, des femmes, des filles et des garçons affectés par la crise du BLT et formuler des recommandations d’amélioration. [33 pages]
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