Food Security
Berchi end line evaluation final report
This 210 page document describes the results of the Berchi project Read More...
We-rise global endline
This 82 page report highlights the global findings of the WE Rise project funded by Australia Africa... Read More...
Madagascar – rapport final baseline velontegna – copie
Le Projet VELONTEGNA est mis en œuvre dans six communes des Districts de Toamasina II et de Brickaville. L’objectif du projet est d’améliorer de façon durable la sécurité alimentaire de 85 000 personnes dans ses deux Districts d’intervention. Ce chiffre comprend environ 21 970 femmes et jeunes filles âgées de 15 à 49 ans et un minimum de 4 000 femmes chef de ménage vulnérables. Read More...
We rise endline evaluation
This 163 page report highlights the findings of the WE Rise project funded by Australia Africa Commu... Read More...
We rise tanzania endline
This 173 page report highlights the findings of the WE Rise project funded by Australia Africa Commu... Read More...
Renforcement de la Filière Maraîchère Pour une Existence Durable dans le Wadi-Fira
This 41 page document highlights the findings of the REMED-WF project funded by the European Union Read More...
Ethiopia We-RISE endline report
This 82 page report highlights the findings of the WE Rise project funded by Australia Africa Commun... Read More...
Madagascar – masoala mikary rapport evaluation finale (janvier 2016)
This 39 page report highlights the Préservation et Entretien de Masoala project supported by the Eur... Read More...
Évaluation Multisectorielle Conjointe Des Besoins Des Populations Hotes, Deplacees Et Retournees Dans La Region Du LAC
La région du Lac, l’une des plus vulnérables du Tchad, fait face depuis le début de l’année 2015 à un déplacement massif des populations réfugiées, retournées et déplacées internes. En fin d’août 2015, les chiffres croisés de OCHA1 et HCR donnent à 84 898 le nombre des hommes et femmes déplacées dans la région. A ce chiffre s’ajoutent quelques 14 000 personnes déplacées internes installées en septembre autour de Ngouboua. Le caractère dynamique des déplacements et le problème d’accès à certaines zones rend difficile la maitrise du nombre des déplacés qui selon la CNARR atteindrait 127 000 personnes.
Les personnes déplacées ont fui les enlèvements, les assassinats odieux, les abus sexuels et autres pratiques esclavagistes perpétrées par les membres de la secte Boko Haram sur les hommes, les femmes, les filles et les garçons dans le Nord Nigeria et les villages tchadiens qui leurs sont frontaliers.
Les réfugiés sont accueillis au niveau du camp de Dar Es Salam alors que les retournés et les déplacés internes sont répartis dans quelques 19 sites d’accueil et communautés hôtes dans les zones de Bol et Bagasola. Cette dernière accueille presque 40% de son effectif sans aucune préparation ni mesures d’accompagnement, ce qui entraine une pression importante sur les ressources et services déjà insuffisants de la zone.
Les acteurs humanitaires dont les agences membres du système des Nations Unies, quelques ONG internationales et des ONG locales apportent l’assistance aux hommes et femmes déplacés mais leur capacité reste limitée en raison de problème d’accessibilité lié à la sécurité et de l’afflux régulier des populations déplacées depuis juillet 2015.
Read More...
Les personnes déplacées ont fui les enlèvements, les assassinats odieux, les abus sexuels et autres pratiques esclavagistes perpétrées par les membres de la secte Boko Haram sur les hommes, les femmes, les filles et les garçons dans le Nord Nigeria et les villages tchadiens qui leurs sont frontaliers.
Les réfugiés sont accueillis au niveau du camp de Dar Es Salam alors que les retournés et les déplacés internes sont répartis dans quelques 19 sites d’accueil et communautés hôtes dans les zones de Bol et Bagasola. Cette dernière accueille presque 40% de son effectif sans aucune préparation ni mesures d’accompagnement, ce qui entraine une pression importante sur les ressources et services déjà insuffisants de la zone.
Les acteurs humanitaires dont les agences membres du système des Nations Unies, quelques ONG internationales et des ONG locales apportent l’assistance aux hommes et femmes déplacés mais leur capacité reste limitée en raison de problème d’accessibilité lié à la sécurité et de l’afflux régulier des populations déplacées depuis juillet 2015.
Read More...
Caut-ada fpiii overall, final review report 2015
This 87 page document describes an external review of CARE Austria's 3-year program in Ethiopia, Nep... Read More...