Gender Equality
Gender Equality and Women Empowerment Program, GEWEP II 2016-2018 Burundi, Final Evaluation Report, March 2019
The final evaluation of GEWEP II (a women's empowerment program implemented since 2016 in 7 provinces of Burundi and funded by NORAD via CARE Norway) set out to gauge the progress made but also identify the gaps that remain to be filled for the impact group (women aged 15-64 in the intervention area) to enjoy effective economic, social and political empowerment. The evaluation allowed a comparative study of the baseline situation (just as presented in the report of the baseline study) and the final situation resulting from the analysis of data collected on the ground in January 2018. The final evaluation data collection was conducted on a quantitative sample representative of 774 people including 406 women and 368 men. In addition to these quantitative data, qualitative data were collected from target groups and other key informants. [39 pages] Read More...
Mali Gender Equality and Women’s Empowerment Programme II (GEWEP II) 2016-2019
Ce rapport est le fruit d’un long processus ayant impliqué différents acteurs, de la phase de conception à la phase de production du rapport. Au vu de la situation sécuritaire, la collecte d’information n’aurait pas été possible sans le soutien et la participation des autorités locales et des communautés des régions de Ségou, Mopti et Tombouctou. Nous tenons ici à leur adresser notre profonde gratitude.
Les résultats clés de l’évaluation finale de GEWEP II sont présentés par domainesthématiques transversaux.
Le renforcement de la société civile
Cette deuxième phase du projet a entrainé des changements importants dans la capacité des partenaires qui ont bénéficié des assistances techniques de CARE Mali. Cette assistance a engendrée la consolidation du leadership, la gouvernance, la gestion stratégique et gestion financière des ONG partenaires du projet. Globalement les partenaires ont une vision claire de leur structure, un plan stratégique à long terme, un personnel dédié à la gestion financière et un mécanisme de rédevabilité. Read More...
Les résultats clés de l’évaluation finale de GEWEP II sont présentés par domainesthématiques transversaux.
Le renforcement de la société civile
Cette deuxième phase du projet a entrainé des changements importants dans la capacité des partenaires qui ont bénéficié des assistances techniques de CARE Mali. Cette assistance a engendrée la consolidation du leadership, la gouvernance, la gestion stratégique et gestion financière des ONG partenaires du projet. Globalement les partenaires ont une vision claire de leur structure, un plan stratégique à long terme, un personnel dédié à la gestion financière et un mécanisme de rédevabilité. Read More...
Evaluation à mi-parcours du Projet « Partenariat Contre le Trafic, l’Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles aux Femmes (PACTE pour les Enfants et les Femmes) »
L’évaluation du Projet « Partenariat contre le Trafic, l’Exploitation et les Violences faites aux Filles et aux Femmes (PACTE pour les Enfants et les Femmes) » a fait ressortir les points suivants.
D’un point de vue pertinence, les objectifs du projet PACTE sont en phase avec ceux de la Politique Nationale de Protection de l’Enfance (PNPE) et répondent à des problèmes existants bel et bien dans les communautés :
Pour 90% des personnes enquêtées, les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes sont effectivement une réalité, et 47% estiment que cela existe bel et bien dans leurs localités ;
80% reconnaissent les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes comme des fléaux et trouvent qu’il faut s’en préoccuper.
Un an et demi après le début de la mise en oeuvre, l’évaluation révèle aussi que l’arsenal d'acteurs s’investit selon leurs domaines de compétence et parcelles de pouvoir à l’exercice d’éradication des phénomènes de trafic des enfants et des violences basées sur le genre identifiés dans les zones :
Les acteurs impliqués dans la mise en oeuvre sont bien emmaillés sur les espaces couverts.
Les groupements AVEC installés par les équipes des ONG et OSC partenaires de CARE Bénin/Togo dans les communes d’intervention du projet sont des creusets d’échanges qui facilitent la mise en oeuvre des activités du projet.
186 leaders ont une bonne connaissance du projet et 6% sont impliqués dans la dénonciation des cas de violence envers les enfants et les femmes dans leur communauté. Read More...
D’un point de vue pertinence, les objectifs du projet PACTE sont en phase avec ceux de la Politique Nationale de Protection de l’Enfance (PNPE) et répondent à des problèmes existants bel et bien dans les communautés :
Pour 90% des personnes enquêtées, les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes sont effectivement une réalité, et 47% estiment que cela existe bel et bien dans leurs localités ;
80% reconnaissent les phénomènes de trafic, d’exploitation et de violences faites aux filles et aux femmes comme des fléaux et trouvent qu’il faut s’en préoccuper.
Un an et demi après le début de la mise en oeuvre, l’évaluation révèle aussi que l’arsenal d'acteurs s’investit selon leurs domaines de compétence et parcelles de pouvoir à l’exercice d’éradication des phénomènes de trafic des enfants et des violences basées sur le genre identifiés dans les zones :
Les acteurs impliqués dans la mise en oeuvre sont bien emmaillés sur les espaces couverts.
Les groupements AVEC installés par les équipes des ONG et OSC partenaires de CARE Bénin/Togo dans les communes d’intervention du projet sont des creusets d’échanges qui facilitent la mise en oeuvre des activités du projet.
186 leaders ont une bonne connaissance du projet et 6% sont impliqués dans la dénonciation des cas de violence envers les enfants et les femmes dans leur communauté. Read More...
Etude de base du Projet PACTE
Suite à de nombreuses études au Bénin, il a été révélé qu’au moins 7882 enfants vivent en situation d’exploitation dans les marchés ; 7,2% sont victimes de rapts et séquestrations ; 1,4% sont violées et harcelées sexuellement et 89% font l’objet de traite.
CARE est une Organisation Non Gouvernementale qui intervient au Bénin depuis 1999. Grâce au financement de l’Union Européenne, CARE BENIN/TOGO met en oeuvre le projet « Partenariat Contre le Trafic, l'Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles et aux Femmes » (PACTE) qui vise à contribuer à l'éradication de l'exploitation et des violences envers les enfants et les femmes au Bénin.
Le projet PACTE intervient dans quatre (04) départements, à raison de deux communes par département : Karimama, Malanville, Kalalé, Nikki, Djougou, Ouaké, Kétou et Pobè.
Pour apprécier les changements induits par le Projet, CARE a initié l’étude pour (i) identifier la valeur de base des indicateurs et(ii) analyser les connaissance, attitudes et pratiques sur la question du trafic, l’exploitation des enfants et les violences faites aux femmes et aux enfants. Read More...
CARE est une Organisation Non Gouvernementale qui intervient au Bénin depuis 1999. Grâce au financement de l’Union Européenne, CARE BENIN/TOGO met en oeuvre le projet « Partenariat Contre le Trafic, l'Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles et aux Femmes » (PACTE) qui vise à contribuer à l'éradication de l'exploitation et des violences envers les enfants et les femmes au Bénin.
Le projet PACTE intervient dans quatre (04) départements, à raison de deux communes par département : Karimama, Malanville, Kalalé, Nikki, Djougou, Ouaké, Kétou et Pobè.
Pour apprécier les changements induits par le Projet, CARE a initié l’étude pour (i) identifier la valeur de base des indicateurs et(ii) analyser les connaissance, attitudes et pratiques sur la question du trafic, l’exploitation des enfants et les violences faites aux femmes et aux enfants. Read More...
BASELINE SURVEY AND GENDER ANALYSIS FOR “STAND UP, SPEAK OUT: BREAKING THE SILENCE AROUND GENDER BASED VIOLENCE AMONG ETHNIC MINORITY COMMUNITIES IN NORTHERN VIETNAM”
CARE Vietnam (CVN) in coordination with stakeholders is implementing the Project titled Stand Up, Speak Out: Breaking the silence around gender based violence among ethnic minority communities in Northern Vietnam, which is a part CARE’s Remote Ethnic Minority Women’s Program. In CVN’s programming, Gender based violence (GBV) is considered as one of the three focus thematic areas. Within the REMW Program, GBV will be addressed through three dimensions: a) Protection (legal protection, literacy, reform), b) Prevention and Response (engaging with initiatives of others, promoting access to services), and c) expanding the scope of the national agenda to focus on GBV. ”Stand Up, Speak Out” project (SUSO) aims to promote all of the three dimensions for addressing GBV: Protection (legal protection, literacy, reform), through Prevention and Response (engaging with initiatives of others, promoting access to services) and through expanding the scope of the national agenda to focus on GBV.
Proposed actions will challenge the harmful gender norms that accept and normalize GBV in ethnic minority communities, by taking a multi-level, multi-sectoral approach. The project will tackle the taboo nature of GBV by increasing the awareness and understanding about GBV among ethnic minority community members, authorities and service providers. It will work with service providers to improve the support services available for ethnic minority survivors of GBV. At the policy level the project will strengthen implementation of the National Action Plan on GBV through the development of tools and processes that align with the National Action Plan’s priorities and by undertaking advocacy in partnership with an alliance of Vietnamese civil society organisations (CSOs). The project will use a rights based approach to tackle intersectional discrimination by targeting ethnic minority groups in remote and rural areas and being sensitive to GBV survivors with disabilities.
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Proposed actions will challenge the harmful gender norms that accept and normalize GBV in ethnic minority communities, by taking a multi-level, multi-sectoral approach. The project will tackle the taboo nature of GBV by increasing the awareness and understanding about GBV among ethnic minority community members, authorities and service providers. It will work with service providers to improve the support services available for ethnic minority survivors of GBV. At the policy level the project will strengthen implementation of the National Action Plan on GBV through the development of tools and processes that align with the National Action Plan’s priorities and by undertaking advocacy in partnership with an alliance of Vietnamese civil society organisations (CSOs). The project will use a rights based approach to tackle intersectional discrimination by targeting ethnic minority groups in remote and rural areas and being sensitive to GBV survivors with disabilities.
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Myanmar Endline Report Gender Equality and Women’s Empowerment Programme II 2016-2019
Project name: Gender Equality and Women’s Empowerment Programme (GEWEP) II
Project period: 2016-2019
Number of people that have been directly reached: 4,429 Female and 2,305 Male
Myanmar endline / baseline report submission: 31st March 2019
Result highlights for GEWEP II in Myanmar
Sex Workers in Myanmar (SWiM) is growing. SWiM advocates for the rights of fellow sex workers by advocating for amendment of the 1949 Suppression of Prostitution Act, a law that punishes and fines prostitution, putting sex workers at increased risk. With the contribution from SWiM and other stakeholders, the Ministry of Social Welfare, Relief and Resettlement has been drafting a new law. The draft law is expected to be submitted to parliament by the end of 2019.
More than a hundred brothels have been lobbied to promote safer work environment for female sex workers using a minimal standard checklist. The minimal standard includes provision of condoms, and hygiene and sanitary materials for both clients and female sex workers. It also needs the brothel owners/managers to allow sex worker to go out for regular medical check-up.
58% of the endline survey respondents are members of one or more self-help groups. Participation in self-help groups develops sense of social inclusion among the sex workers. This is important, as sex workers are greatly discriminated in the general community and often excluded from the social activities in the general community.
During the survey, a subset of men – who were partner of, have work relationship with, or are somehow related to FSWs – showed aggressive attitudes towards their intimate partners. These attitudes may be linked to high incidence of violence against female sex workers. More exploration on this finding and more targeted engaging men activities are suggested for future programs. Read More...
Project period: 2016-2019
Number of people that have been directly reached: 4,429 Female and 2,305 Male
Myanmar endline / baseline report submission: 31st March 2019
Result highlights for GEWEP II in Myanmar
Sex Workers in Myanmar (SWiM) is growing. SWiM advocates for the rights of fellow sex workers by advocating for amendment of the 1949 Suppression of Prostitution Act, a law that punishes and fines prostitution, putting sex workers at increased risk. With the contribution from SWiM and other stakeholders, the Ministry of Social Welfare, Relief and Resettlement has been drafting a new law. The draft law is expected to be submitted to parliament by the end of 2019.
More than a hundred brothels have been lobbied to promote safer work environment for female sex workers using a minimal standard checklist. The minimal standard includes provision of condoms, and hygiene and sanitary materials for both clients and female sex workers. It also needs the brothel owners/managers to allow sex worker to go out for regular medical check-up.
58% of the endline survey respondents are members of one or more self-help groups. Participation in self-help groups develops sense of social inclusion among the sex workers. This is important, as sex workers are greatly discriminated in the general community and often excluded from the social activities in the general community.
During the survey, a subset of men – who were partner of, have work relationship with, or are somehow related to FSWs – showed aggressive attitudes towards their intimate partners. These attitudes may be linked to high incidence of violence against female sex workers. More exploration on this finding and more targeted engaging men activities are suggested for future programs. Read More...
Mawe Tatu Rapport Etude de Base
Cette étude évalue un programme de développement néerlandaise nommé "Mawe Tatu" (M3), qui vise à l’amélioration de la gestion économique des ménages; à la réduction de la violence basée sur le genre à travers des relations plus égales entre femmes et hommes ; et à la réalisation de comportements de santé sexuelle et reproductive plus sains dans huit territoires dans les provinces du Sud et du Nord Kivu de la RDC. Le programme Mawe Tatu combine pour la première fois une approche de micro finance pour accroître la participation des femmes dans l'économie des ménage avec des interventions favorisant l'égalité entre les sexes à travers la
réduction de la violence basée sur le genre et l'amélioration des droits de santé sexuelle et reproductive des femmes. L’étude examinera les changements dans la participation économique des femmes, la prévalence de la violence basée sur le genre, et la prise de conscience des droits sexuels et reproductifs Read More...
réduction de la violence basée sur le genre et l'amélioration des droits de santé sexuelle et reproductive des femmes. L’étude examinera les changements dans la participation économique des femmes, la prévalence de la violence basée sur le genre, et la prise de conscience des droits sexuels et reproductifs Read More...
Mawe Tatu English Summary of Endline Evaluation
This summary presents key findings of the endline study contucted to evaluate the effectiveness of the "Mawe Tatu" (M3) program in North and South Kivu Provinces of the Democratic Republic of Congo. The M3 project was implemented to improve the household economy of vulnerable groups, to reduce gender-based violence through improving equity in gender relations; and to improve sexual and reproductive health among women, men, and youth.
Guiding questions included:
1. Did the household economy, and the socio-economic situation of women improve as a result of the introduction of VSLAs?
2. Did men get successfully engaged to support women’s economic autonomy, to reduce gender-based violence, and to support women in their decisions about their sexual and reproductive health?
3. Were young women and men empowered to take healthy decisions for their sexual and reproductive life?
Full evaluation (in French) here: http://www.careevaluations.org/evaluation/mawe-tatu-evaluation-finale-phase-i-et-etude-de-base-partielle-phase-ii/ Read More...
Guiding questions included:
1. Did the household economy, and the socio-economic situation of women improve as a result of the introduction of VSLAs?
2. Did men get successfully engaged to support women’s economic autonomy, to reduce gender-based violence, and to support women in their decisions about their sexual and reproductive health?
3. Were young women and men empowered to take healthy decisions for their sexual and reproductive life?
Full evaluation (in French) here: http://www.careevaluations.org/evaluation/mawe-tatu-evaluation-finale-phase-i-et-etude-de-base-partielle-phase-ii/ Read More...
MAWE TATU Évaluation Finale Phase I et Étude de base partielle phase II
Ce rapport est le livrable final de l’évaluation finale phase I du projet Mawe Tatu et l’étude de base phase II du projet.
Pour rappel, Mawe Tatu est un projet financé par le gouvernement néerlandais (de Décembre 2015 à Mai 2019) et mis en oeuvre dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. L’objectif général du programme est que, d’ici 2019, les femmes, les hommes et les jeunes (hommes et femmes) des cinq territoires concernés du Nord-Kivu et du Sud-Kivu deviennent des acteurs clés dans la promotion de relations plus égales entre hommes et femmes qui empêchent les VBG(Violences basées sur le genre), favorisent une meilleure gestion économique des ménages et des comportements plus sains en matière de santé sexuelle et reproductive (tels que la planification familiale, dans une perspective trans-générationnelle).
Trois résultats contribuent à atteindre cet objectif :
• 23 900 femmes, organisées en associations villageoises d'épargne et de crédit (AVEC) et en réseaux AVEC (RAVEC), améliorent leur statut social et économique et influencent la promotion et l'application de leurs droits,
• 10 000 hommes adoptent des attitudes et des comportements qui contribuent à améliorer les relations de pouvoir et à réduire la violence sexiste,
• 24 655 filles et garçons développent des relations saines et travaillent ensemble pour promouvoir l'égalité des sexes.
Les responsabilités des organisations sont liées aux trois résultats du projet et sont définies comme suit :
• CARE Nederland était responsable de la gestion des contrats et du contrôle de la qualité
• ADJ était responsable du résultat 1 relatif à l’autonomisation des femmes,
• COMEN était responsable du résultat 2 et de la partie du résultat 3, centrée sur les hommes et les garçons s'engageant dans une masculinité positive et luttant contre la violence sexiste.
• CARE RDC était responsable de la partie du résultat 3, axée sur l’éducation sexuelle complète (CSE), et
• Swiss TPH en charge du suivi et de l'évaluation ainsi que de la recherche opérationnelle Read More...
Pour rappel, Mawe Tatu est un projet financé par le gouvernement néerlandais (de Décembre 2015 à Mai 2019) et mis en oeuvre dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. L’objectif général du programme est que, d’ici 2019, les femmes, les hommes et les jeunes (hommes et femmes) des cinq territoires concernés du Nord-Kivu et du Sud-Kivu deviennent des acteurs clés dans la promotion de relations plus égales entre hommes et femmes qui empêchent les VBG(Violences basées sur le genre), favorisent une meilleure gestion économique des ménages et des comportements plus sains en matière de santé sexuelle et reproductive (tels que la planification familiale, dans une perspective trans-générationnelle).
Trois résultats contribuent à atteindre cet objectif :
• 23 900 femmes, organisées en associations villageoises d'épargne et de crédit (AVEC) et en réseaux AVEC (RAVEC), améliorent leur statut social et économique et influencent la promotion et l'application de leurs droits,
• 10 000 hommes adoptent des attitudes et des comportements qui contribuent à améliorer les relations de pouvoir et à réduire la violence sexiste,
• 24 655 filles et garçons développent des relations saines et travaillent ensemble pour promouvoir l'égalité des sexes.
Les responsabilités des organisations sont liées aux trois résultats du projet et sont définies comme suit :
• CARE Nederland était responsable de la gestion des contrats et du contrôle de la qualité
• ADJ était responsable du résultat 1 relatif à l’autonomisation des femmes,
• COMEN était responsable du résultat 2 et de la partie du résultat 3, centrée sur les hommes et les garçons s'engageant dans une masculinité positive et luttant contre la violence sexiste.
• CARE RDC était responsable de la partie du résultat 3, axée sur l’éducation sexuelle complète (CSE), et
• Swiss TPH en charge du suivi et de l'évaluation ainsi que de la recherche opérationnelle Read More...