Water, Sanitation, and Hygiene
Supporting access to better data emis trial+
This 42 page document highlights the results of testing digital data collection in the SWASH+ projec... Read More...
PROSADE Post-Project Improved bean varieties increase yields by 250%
This research report on the action research of conservation agriculture practices whos how every $1 ... Read More...
Évaluation Multisectorielle Conjointe Des Besoins Des Populations Hotes, Deplacees Et Retournees Dans La Region Du LAC
La région du Lac, l’une des plus vulnérables du Tchad, fait face depuis le début de l’année 2015 à un déplacement massif des populations réfugiées, retournées et déplacées internes. En fin d’août 2015, les chiffres croisés de OCHA1 et HCR donnent à 84 898 le nombre des hommes et femmes déplacées dans la région. A ce chiffre s’ajoutent quelques 14 000 personnes déplacées internes installées en septembre autour de Ngouboua. Le caractère dynamique des déplacements et le problème d’accès à certaines zones rend difficile la maitrise du nombre des déplacés qui selon la CNARR atteindrait 127 000 personnes.
Les personnes déplacées ont fui les enlèvements, les assassinats odieux, les abus sexuels et autres pratiques esclavagistes perpétrées par les membres de la secte Boko Haram sur les hommes, les femmes, les filles et les garçons dans le Nord Nigeria et les villages tchadiens qui leurs sont frontaliers.
Les réfugiés sont accueillis au niveau du camp de Dar Es Salam alors que les retournés et les déplacés internes sont répartis dans quelques 19 sites d’accueil et communautés hôtes dans les zones de Bol et Bagasola. Cette dernière accueille presque 40% de son effectif sans aucune préparation ni mesures d’accompagnement, ce qui entraine une pression importante sur les ressources et services déjà insuffisants de la zone.
Les acteurs humanitaires dont les agences membres du système des Nations Unies, quelques ONG internationales et des ONG locales apportent l’assistance aux hommes et femmes déplacés mais leur capacité reste limitée en raison de problème d’accessibilité lié à la sécurité et de l’afflux régulier des populations déplacées depuis juillet 2015.
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Les personnes déplacées ont fui les enlèvements, les assassinats odieux, les abus sexuels et autres pratiques esclavagistes perpétrées par les membres de la secte Boko Haram sur les hommes, les femmes, les filles et les garçons dans le Nord Nigeria et les villages tchadiens qui leurs sont frontaliers.
Les réfugiés sont accueillis au niveau du camp de Dar Es Salam alors que les retournés et les déplacés internes sont répartis dans quelques 19 sites d’accueil et communautés hôtes dans les zones de Bol et Bagasola. Cette dernière accueille presque 40% de son effectif sans aucune préparation ni mesures d’accompagnement, ce qui entraine une pression importante sur les ressources et services déjà insuffisants de la zone.
Les acteurs humanitaires dont les agences membres du système des Nations Unies, quelques ONG internationales et des ONG locales apportent l’assistance aux hommes et femmes déplacés mais leur capacité reste limitée en raison de problème d’accessibilité lié à la sécurité et de l’afflux régulier des populations déplacées depuis juillet 2015.
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Analyse Rapide Genre – Déplacement de populations dans les arrondissements de Tokombere et Mora – Extrême Nord Cameroun
L’analyse a été conduite au niveau des populations déplacées et leurs hôtes dans les es arrondissements de Tokomberé et Mora, où CARE intervient avec ses programmes d’urgence et de développement. La méthodologie utilisée est basée sur l’outil d’analyse rapide genre de CARE International et a utilisé une combinaison des données secondaires et primaires collectées essentiellement à travers des entretiens en groupe et individuel avec les hommes et les femmes déplacés et leurs familles hôtes. Les données primaires ont été collectées dans un échantillon de 6 villages identifies selon le critère de présence de déplacés, l’intervention de CARE, mais aussi l’accessibilité sécuritaire. En effet, le contexte sécuritaire et le problème d’accès dans certaines zones d’accueil des déplacées ont fortement influencé l’échelle de l’analyse avec l’interdiction d’accès dans certaines zones et les mesures de sécurité qui limitent le temps de présence dans la zone. Read More...
Eval finale du projet eau-assainissement et fertilisation ecologique
This 41 page report shows the final evaluation findings of the project for Water, Sanitation, and Ec... Read More...
Global water initiative (GWI) east africa final evaluation
This 22 page report highlights the sucesses and lessons learned from the Global Water Initiative in ... Read More...
Maka’as final evaluation report
This 62 page evaluation describes the work and impacts of CARE's MAKA'AS program, focusing on water ... Read More...
Usaid nutrition hygiene baseline
This 63 page report highlighs baseline findings of the CARE Nutrition and Hygiene program in Mopti r... Read More...
Analyse Rapide Genre au sein des réfugiés de la RCA et les communautés hôtes à Timangolo, Lolo, Mbilé. Département de la Kadey- Est Cameroun
Depuis décembre 2013, environ 128550 réfugiés sont arrivés au Cameroun repartis entre la région de l’Est (95075), l’Adamaoua (23060), le Nord (3540) et Yaounde (3540). Dans le Département de la Kadey, à l’Est, la majorité de réfugiés vivent dans des villages d’accueil et les autres dans plusieurs sites dont ceux de Lolo, Mbilé et Timangolo qui accueillent 26124 réfugiés répartis dans 7403 ménages.
Ces nouveaux réfugiés M’bororos, viennent ajouter à des anciens refugiés centrafricains de la même ethnie accueillis et installés dans la zone depuis 2005.
En mai 2014 CARE a conduit des évaluations des besoins qui ont permis de développer une stratégie de réponseaxée dans le domaine de l’eau, l’hygiène et l’assainissement (EHA), la santé mentale et l’appui psychosocial (SMPS), la sécurité alimentaire avec comme cible principale les réfugiés et leurs populations hôtes le long de l’axe Bertoua-Kentzou and Batouri-Toktoyo.
Actuellement CARE met en œuvre des interventions sur l’EHA sur le site de Timangolo et la SMPS dans les sites de Lolo et Mbile.
Afin de mieux répondre aux besoins spécifiques des réfugiés, hommes, femmes, garçons et filles, CARE organise une analyse genre dont l’objectif est d’appréhender les besoins, les vulnérabilités et les capacités spécifiques aux hommes, aux femmes, aux garçons et aux filles ainsi que les relations, les normes et pratiques genre au sein des réfugiés dans les sites de Timangolo, Lolo, Mbile et leurs communautés hôtes. Read More...
Ces nouveaux réfugiés M’bororos, viennent ajouter à des anciens refugiés centrafricains de la même ethnie accueillis et installés dans la zone depuis 2005.
En mai 2014 CARE a conduit des évaluations des besoins qui ont permis de développer une stratégie de réponseaxée dans le domaine de l’eau, l’hygiène et l’assainissement (EHA), la santé mentale et l’appui psychosocial (SMPS), la sécurité alimentaire avec comme cible principale les réfugiés et leurs populations hôtes le long de l’axe Bertoua-Kentzou and Batouri-Toktoyo.
Actuellement CARE met en œuvre des interventions sur l’EHA sur le site de Timangolo et la SMPS dans les sites de Lolo et Mbile.
Afin de mieux répondre aux besoins spécifiques des réfugiés, hommes, femmes, garçons et filles, CARE organise une analyse genre dont l’objectif est d’appréhender les besoins, les vulnérabilités et les capacités spécifiques aux hommes, aux femmes, aux garçons et aux filles ainsi que les relations, les normes et pratiques genre au sein des réfugiés dans les sites de Timangolo, Lolo, Mbile et leurs communautés hôtes. Read More...