Togo
Evaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » 2021-2023
Description of the document:
L’évaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » intervient près de trois ans après le début du projet et deux après le démarrage effectif des financements aux organisations féministes. Couvrant la période 2021-2023, elle poursuit plusieurs objectifs :
∇ Un objectif d’apprentissage et de capitalisation, alors que Féministes en Action est le premier consortium financé au titre du FSOF, l’un de ceux cherchant à atteindre directement les OSC féministes les plus fragiles et celui ayant le périmètre thématique le plus large (les autres sont construits en général autour d’une thématique d’intervention). Le consortium constitué, avec la présence d’ONG internationales et de fonds des « Suds » est lui aussi inédit.
∇ Un objectif stratégique et prospectif, avec une réflexion portant à la fois sur les changements visés et l’architecture globale du projet alors que le projet devrait disposer de nouveaux fonds à mettre en oeuvre après 2023. L’évaluation doit notamment permettre d’accompagner une réflexion sur les objectifs du cadre logique du Projet dans l’optique d’une redéfinition afin d’assurer la cohérence avec les objectifs réellement visés par le Projet et les indicateurs prévus difficilement renseignables.
∇ Un objectif de redevabilité, tourné avant tout vers les sociétés civiles féministes que Féministes en Action cherche à renforcer. Il s’agit de s’assurer que l’action menée apporte une valeur ajoutée (« do not harm ») et que les conditions de mise en oeuvre sont cohérentes avec les valeurs féministes promues tout en tenant compte des exigences d’un bailleur de fonds publics.
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L’évaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » intervient près de trois ans après le début du projet et deux après le démarrage effectif des financements aux organisations féministes. Couvrant la période 2021-2023, elle poursuit plusieurs objectifs :
∇ Un objectif d’apprentissage et de capitalisation, alors que Féministes en Action est le premier consortium financé au titre du FSOF, l’un de ceux cherchant à atteindre directement les OSC féministes les plus fragiles et celui ayant le périmètre thématique le plus large (les autres sont construits en général autour d’une thématique d’intervention). Le consortium constitué, avec la présence d’ONG internationales et de fonds des « Suds » est lui aussi inédit.
∇ Un objectif stratégique et prospectif, avec une réflexion portant à la fois sur les changements visés et l’architecture globale du projet alors que le projet devrait disposer de nouveaux fonds à mettre en oeuvre après 2023. L’évaluation doit notamment permettre d’accompagner une réflexion sur les objectifs du cadre logique du Projet dans l’optique d’une redéfinition afin d’assurer la cohérence avec les objectifs réellement visés par le Projet et les indicateurs prévus difficilement renseignables.
∇ Un objectif de redevabilité, tourné avant tout vers les sociétés civiles féministes que Féministes en Action cherche à renforcer. Il s’agit de s’assurer que l’action menée apporte une valeur ajoutée (« do not harm ») et que les conditions de mise en oeuvre sont cohérentes avec les valeurs féministes promues tout en tenant compte des exigences d’un bailleur de fonds publics.
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Impact, Influence, and Innovation: Reflecting on 10 Years of the CARE-GSK Frontline Health Worker Initiative
In recognition of their critical role in health linkages and systems strengthening, CARE and GSK established a decade long strategic investment in frontline health workers (FHW) and community health workers (CHW) in 2011 called the Frontline Health Worker Initiative. Following 10 years of partnership and programming, this report explores the resulting impacts, influence, and innovation. It synthesizes reach and impact data from 13 programmes across the 9 countries included in the Frontline Health Worker Initiative between 2011 and 2021. The countries included in this initiative are Afghanistan, Bangladesh, Cambodia, Cameroon, Chad, Laos, Myanmar, Nepal, and Togo.
The data presented here is specific to the communities in which CARE delivered sexual and reproductive health, maternal and child health, nutrition, and sanitation programming with GSK’s support. The analysis is designed to identify the changes in overall health outcomes that occurred at a population level. While these findings do not necessarily imply causation, CARE’s efforts have likely reasonably contributed towards these changes within the specific communities.
The Frontline Health Worker initiative has achieved these results across multiple development and humanitarian contexts – including slow-onset and sudden shocks, conflict, and most recently the COVID-19 pandemic. Many of these results were only made possible through the long-term investment from GSK and scalable actions that were implemented across all nine countries. Critically, the Frontline Health Worker Initiative established platforms, networks and health service capacity-building that served as a catalyst for CARE to pivot towards the response to the COVID-19 pandemic quickly in the communities where these projects exist.
Learnings from this programme will serve to strengthen CARE’s private sector partnership models for future programmes to build resilience and achieve health impact in communities. Read More...
The data presented here is specific to the communities in which CARE delivered sexual and reproductive health, maternal and child health, nutrition, and sanitation programming with GSK’s support. The analysis is designed to identify the changes in overall health outcomes that occurred at a population level. While these findings do not necessarily imply causation, CARE’s efforts have likely reasonably contributed towards these changes within the specific communities.
The Frontline Health Worker initiative has achieved these results across multiple development and humanitarian contexts – including slow-onset and sudden shocks, conflict, and most recently the COVID-19 pandemic. Many of these results were only made possible through the long-term investment from GSK and scalable actions that were implemented across all nine countries. Critically, the Frontline Health Worker Initiative established platforms, networks and health service capacity-building that served as a catalyst for CARE to pivot towards the response to the COVID-19 pandemic quickly in the communities where these projects exist.
Learnings from this programme will serve to strengthen CARE’s private sector partnership models for future programmes to build resilience and achieve health impact in communities. Read More...
PROMOTION DE LA SANTE DE LA MERE ET DE L’ENFANT (PSME)
La vaccination et les services de planification familiale sont deux composantes importantes des soins de santé primaire. La plupart des femmes en période post-partum prolongée souhaitent retarder ou éviter d’autres grossesses mais beaucoup d’entre elles n’utilisent pas de méthode moderne de contraception. Une analyse des données provenant de plusieurs pays a montré que les besoins de contraception non satisfaits chez cette population étaient très importants, allant de 45 % à plus de 80 % des femmes en post-partum (Borda and Winfrey, 2008). La planification familiale permet aux couples d’avoir le nombre d’enfants qu’ils désirent et de choisir le moment et l’espacement des grossesses, ce qui permet d’améliorer la santé de la mère et de l’enfant. Les grossesses trop rapprochées peuvent représenter un danger pour la santé de la mère et de l’enfant (OMS, 2007a). Les grossesses espacées de moins de 18 à 24 mois ont été associées à des risques plus élevés de naissance prématurée, de faible poids de naissance, de décès fœtal, néonatal ou du nourrisson, et d’effets négatifs sur la santé maternelle (Conde-Agudelo et al. 2012). La vaccination des enfants est l’un des services de santé les plus équitables et les plus utilisés dans le monde. Le calendrier de vaccination et de soins de santé primaire recommandé pendant la première année de vie de l’enfant donne lieu à de nombreux contacts pour des soins de santé. Veiller à ce que des services et conseils de planification familiale soient liés aux contacts pour la vaccination des enfants via des services de santé primaire bien gérés peut permettre de proposer aux mères des informations et des services de planification familiale pendant la période critique des 12 mois suivant l’accouchement. Une modélisation à partir de données provenant de cinq pays d’Afrique subsaharienne a montré que le fait d’entrer en contact avec les femmes en post-partum au moment de la vaccination infantile pouvait faire diminuer les besoins de planification familiale non satisfaits de 3,8 à 8,9 points de pourcentage (Gavin et al. 2011). Dans ce contexte, CARE Benin/Togo, sur financement de la Fondation GSK en collaboration avec le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique du Togo, a mis en œuvre depuis Décembre 2018 une initiative de renforcement du système de santé et d'intégration des services de vaccination et de planification familiale dans 11 Formations Sanitaires du district de la Binah dans la Région de la Kara au Togo, dénommée « Promotion de la Santé de la Mère et de l’Enfant (PSME) [48 Pages]. Read More...
PROMOTION DE LA SANTE DE LA MERE ET DE L’ENFANT (PSME) Final
La vaccination et les services de planification familiale sont deux composantes importantesdes soins de santé primaire. La plupart des femmes en période post-partum prolongée souhaitent retarder ou éviter d’autres grossesses mais beaucoup d’entre elles n’utilisent pas de méthode moderne de contraception. Une analyse des données provenant de plusieurs pays a montré que les besoins de contraception non satisfaits chez cette population étaient très importants, allant de 45 % à plus de 80 % des femmes en post-partum (Borda and Winfrey, 2008). La planification familiale permet aux couples d’avoir le nombre d’enfants qu’ils désirent et de choisir le moment et l’espacement des grossesses, ce qui permet d’améliorer la santé de la mère et de l’enfant [48 pages]. Read More...
Projet régional de Dialogue pour la Transhumance apaisée en Afrique de l’Ouest (PRODIATA)
Le Projet régional de Dialogue pour la Transhumance apaisée en Afrique de l’Ouest (PRODIATA) est mis en oeuvre pour opérationnaliser la composante 2 du Programme Régional de Dialogue et d'Investissement pour le Pastoralisme et la transhumance au Sahel et dans les pays côtiers d’Afrique de l’Ouest (PREDIP). Le PREDIP est conçu dans une approche régionale avec un objectif général de renforcer la contribution du pastoralisme et de la transhumance transfrontalière à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, au développement socioéconomique équitable et à l’intégration régionale en Afrique de l’Ouest.
PRODIATA a pour objectif général de contribuer à long terme à faciliter une transhumance transfrontalière apaisée et à améliorer la nutrition des populations côtières et pastorales. L’objectif spécifique du projet est d’impliquer les acteurs locaux, nationaux et régionaux de la transhumance transfrontalière dans le dialogue et la bonne gouvernance des ressources et des espaces agro-sylvo-pastoraux en réduisant les risques de conflits et en améliorant la sécurité alimentaire. De façon spécifique, le projet viser à impliquer les acteurs locaux, nationaux et régionaux de la transhumance transfrontalière dans le dialogue et la bonne gouvernance des
ressources et des espaces agro-sylvo-pastoraux pour une réduction des risques de conflits et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Read More...
PRODIATA a pour objectif général de contribuer à long terme à faciliter une transhumance transfrontalière apaisée et à améliorer la nutrition des populations côtières et pastorales. L’objectif spécifique du projet est d’impliquer les acteurs locaux, nationaux et régionaux de la transhumance transfrontalière dans le dialogue et la bonne gouvernance des ressources et des espaces agro-sylvo-pastoraux en réduisant les risques de conflits et en améliorant la sécurité alimentaire. De façon spécifique, le projet viser à impliquer les acteurs locaux, nationaux et régionaux de la transhumance transfrontalière dans le dialogue et la bonne gouvernance des
ressources et des espaces agro-sylvo-pastoraux pour une réduction des risques de conflits et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Read More...
Learning from Youth in West Africa in COVID-19
In July 2020, volunteers from the West Africa CARE Youth Network decided to learn more about what young women and men are experiencing in COVID-19, and how that should shape CARE’s response and our advocacy interests. This team interviewed 128 young people between the ages of 15 and 35 in 8 countries. 86 of the young people (67%) were young women. Volunteers used Whatsapp messages, phone calls, and recorded interviews to let young people tell their own stories. With a few guiding questions, and using ONA as a platform to structure and analyze the responses, the team has been able to see regional trends and individual stories that must shape humanitarian response to COVID-19 and recovery efforts in way that include young people—especially young women, meet their needs, and value their voices and leadership.
Interviewers had a set of questions from CARE’s Rapid Gender Analysis toolkit, where they asked young people about the biggest impact COVID-19 has in their lives, their biggest need right now, how they are responding to COVID-19, and what are their hopes for the future. Listening to their answers, interviewers categorized the responses based on a pre-set list of options also from the RGA toolkit.
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Interviewers had a set of questions from CARE’s Rapid Gender Analysis toolkit, where they asked young people about the biggest impact COVID-19 has in their lives, their biggest need right now, how they are responding to COVID-19, and what are their hopes for the future. Listening to their answers, interviewers categorized the responses based on a pre-set list of options also from the RGA toolkit.
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West Africa COVID-19 RGA May 2020
As of mid-April 2020, the number of confirmed COVID-19 cases in Africa is relatively low. That said, there has only been limited testing in Africa, leading many experts to be concerned that Africa could still experience outbreaks on, or beyond, the scale experienced in other regions. Governments are imposing restrictions on movement to reduce the risk of potential outbreaks, and this is directly impacting the ability of humanitarian actors to provide necessary assistance. At the same time, some governments, notably the governments of Mali and Niger, are also expanding their safety nets to help people respond to COVID-19 and its impacts.
CARE’s Rapid Gender Analysis draws from CARE’s deep experience in the region, and from interviews with 266 people across 12 countries. It points to serious ongoing economic, health, and financial impacts that will be especially severe for women. It also paints a mixed picture of impact on women’s rights. Special concern is paid to encroaching limitations to women’s access to resources, as well as to their representation and participation in formal decision-making; increased incidents of gender-based violence. These worrying
observations are accompanied by hopeful examples of women leading the response to the COVID-19 crisis and finding ways to negotiate equitable relationships with men in their communities, as well as with their husbands/male partners at home. Read More...
CARE’s Rapid Gender Analysis draws from CARE’s deep experience in the region, and from interviews with 266 people across 12 countries. It points to serious ongoing economic, health, and financial impacts that will be especially severe for women. It also paints a mixed picture of impact on women’s rights. Special concern is paid to encroaching limitations to women’s access to resources, as well as to their representation and participation in formal decision-making; increased incidents of gender-based violence. These worrying
observations are accompanied by hopeful examples of women leading the response to the COVID-19 crisis and finding ways to negotiate equitable relationships with men in their communities, as well as with their husbands/male partners at home. Read More...
ACCESS Evaluation 2017
The ACCES Initiative is a project cofinanced by the European Union, CARE France, the Mairie of Paris, and ten communes in the Ouémé and Borgou departments of Benin. The primary promotor and implementer of the project was CARE International Benin/Togo and the targeted communes were Kalalé, N’Dali, Nikki, Pèrèrè, Tchaourou, Adjarra, Adjohoun, Akpro-Missérété, Bonou, Dangbo. The project lasted five years,with the goal of significantly improving access to infrastructure and services related to water, sanitation, and hygiene for 80 villages, 32 schools, and 10 health centers in ten rural communities of Benin. This was done through the construction and/or rehabilitation of water pumps and the extension of gravity schemes, the installation of incinerators in health centers, and the installation of latrines, trashcans, and urinals in primary schools. Additionally, trainings in management of the new installations were given to local actors and committees to foster self-reliance and local management, and Community Led Total Sanitation was used by facilitators to build demand for sanitation and to decrease or eliminate the practice of open defecation. Read More...
Nutrition at the Center Baseline Benin/Togo
The baseline study for the initiative « Nutrition at the Centre » in its intervention area (Bonou, Dangbo) and in the monitoring areas (Athiémé, Grand-Popo), suggests that there are many innovative actions to be implemented by CARE Benin/Togo and by Benin Government with the support of technical and financial partners. The different strategies established will strengthen the households’ means of access to basic services (e.g. water, sanitation ), women empowerment and access to health care for mothers and children. It will help the population to ensure food and nutritional security. These actions must be implemented based on the results of the study. Read More...
Nutrition at the Center Endline Report Benin/Togo
CARE has implemented an innovative, comprehensive five-year program (2013 – 2017) that aims to reduce anemia in women (age 15-49 years) and stunting and anemia in children (age 0-24 months) by integrating: i) Maternal, Infant and Young Child Nutrition and Health (MIYCNH); ii) Water, Sanitation and Hygiene (WASH), iii) Food Security (FS), and iv) women’s empowerment. Nutrition at the Center (N@C) were implemented in 4 developing countries (Bangladesh, Benin, Ethiopia and Zambia). It aimed to develop, document and disseminate highly effective and efficient integrated approaches that substantially improve nutritional outcomes for mothers and children. The program’s objectives were: (i) improved nutrition-related behaviors, (ii) improved use of maternal and child health and nutrition services; (iii) increased household adoption of appropriate water and sanitation practices; and (iv) increased availability and equitable access to quality food. An additional P4P program has been experimented at household level in order to supply communities in animal protein source especially for children feeding.
In Benin, N@C has intervened in two communes of the Oueme department (Dangbo and Bonou) and in 32 villages. By engaging with communities, other partners, the Ministry of Health, the Ministry of Family and the Ministry of Agriculture, N@C will build upon this commitment to improve nutritional status. In 2014, INSAE and CARE International conducted the baseline study, which served as guidelines for actions to be taken up to 2017.
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In Benin, N@C has intervened in two communes of the Oueme department (Dangbo and Bonou) and in 32 villages. By engaging with communities, other partners, the Ministry of Health, the Ministry of Family and the Ministry of Agriculture, N@C will build upon this commitment to improve nutritional status. In 2014, INSAE and CARE International conducted the baseline study, which served as guidelines for actions to be taken up to 2017.
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