Gender Equality

Assistance en abris et protection contre les violences basées sur le genre aux ménages vulnérables parmi les nouveaux réfugiés et de la communauté hôte dans le Département de Bahr Sarah (Moissala) au Sud du Tchad

Présente au Tchad depuis 1974, CARE International est l’une des principales organisations internationales engagées dans la lutte contre la pauvreté et l’injustice sociale. Ses actions sont menées en faveur des populations les plus pauvres parmi lesquelles les communautés hôtes vulnérables, les réfugiés centrafricains et les retournés tchadiens de la RCA notamment dans les Provinces du Moyen Chari, du Logone Oriental et du Mandoul avec l’appui financier de ECHO, BPRM, START FUND, SAF-PAC, UNFPA, MOFA, UNHCR, etc. En effet, dans la zone de Moissala (Département Bar Sarah), le 21 février 2018, un afflux de nouveaux réfugiés en provenance de la RCA a encore été signalé et ce, dans une situation de vulnérabilité due à l’insuffisance des denrées alimentaires, des abris et d’ouvrages sanitaires et où les cas de violence sont récurrents. Ce qui a eu un impact significatif sur les moyens d'existence dans les villages d’accueil.
En réponse aux conséquences humanitaires de cette crise, CARE a obtenu l’appui financier de MOFA GERMANY pour la mise en œuvre du projet dénommé « Assistance en abris et protection contre les violences basées sur le genre aux ménages vulnérables parmi les nouveaux réfugiés et de la communauté hôte dans le Département de Bahr Sarah (Moissala) au Sud du Tchad ». Les besoins humanitaires pour lesquels le projet entend apporter sa contribution concerne trois secteurs majeurs à savoir les abris, les articles ménagers et la protection.
C’est dans ce cadre qu’il est prévu de réaliser cette évaluation finale interne afin de mesurer l’impact du projet, capitaliser les leçons apprises et formuler des recommandations pour l’amélioration des projets futurs.
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Projet : « L’Autonomisation des femmes et des jeunes dans le cadre du projet RESILAC/GENRE, financement DFID

Le projet « L’Autonomisation des femmes et des jeunes dans le cadre du Projet RESILAC» sous le financement DFID est une réponse aux besoins des populations déplacés et hôte de Bagassola, Nguelea 1 et 2, Bol afin de renforcer le genre. D’un coût total 561 000 €, il a été mis en œuvre pour une durée de 11 mois (juin 2019 – avril 2020). Il vise spécifiquement à renforcer le rôle et responsabilité de genre dans le cadre du projet RESILAC.
 Pertinences : Le projet a répondu aux attentes des bénéficiaires, il a contribué à modifier le regard sur le genre et a abordé la constructions sociales et des relations de pouvoir homme/femme, de la perception de leur place et rôle respectif au sein du ménage et de la communauté, le renforcement des mécanismes de prévention/protection et de prise en charge des violences basées sur le genre Formation en leadership pour les membres de groupements (AVEC, groupements de producteurs, groupes de femmes, etc.). Le projet a contribué à travers ses actions, au développement des Plans de développement Locaux. Il a été et reste novateur aujourd’hui dans la province.
 Impact : Le projet a permis de renforcer le cadre légal et institutionnel en matière de genre/VBG. En outre le projet a consolidé la synergie d’action entre les différents acteurs dans le cadre de la prévention et la prise en charge des cas de VBG. Dans le cadre de l’accès des victimes de VBG aux structures adéquates via la synergie d’action entre les acteurs humanitaires de la zone, l’on note aussi que le projet a contribué à la formation des acteurs et/ou les parties prenantes sur le VBG pour une meilleure offre de services et ou compréhension du thématique. Des stratégies de prévention et lutte contre les VBG ont été proposées et fournies aux bénéficiaires et aux services techniques déconcentrés de l’Etat dans la province. L’approche d’intervention des acteurs sur le système de remontée et de gestion de cas de VBG a été améliorée et l’évaluation note un début de changement. L’impact est positif sur les acteurs, notamment ceux des comités départements d’action (CDA) qui est une entité étatique composé des différents services déconcentrés de l’Etat dont le préfet préside les rencontres. Cette entité, veille sur les activités des acteurs humanitaires intervenants dans la zone, etc.

 Efficacité : L’appréciation de l’efficacité se basant sur l’atteinte des résultats à travers la comparaison des réalisations aux prévisions. Il ressort que les activités du Projet ont été réalisées avec un niveau d’efficacité très appréciable. En effet, au-delà de la pertinence de son approche et les résultats positifs obtenus par le projet, les témoignages des bénéficiaires et des acteurs impliqués dans la mise en œuvre corroborent cet état de fait.
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CARE RAPID GENDER ANALYSIS IN SYRIA: 11 years of crisis

”Life is mentally and physically exhausting. We can no longer go to hospitals because healthcare and medicines are so expensive. My children eat less. They no longer have milk because I had to sell my cows. We eat a lot less and we no longer eat vegetables because they are expensive” --- Woman living in a camp in Northeast Syria ---
* 90% of people live below the poverty line
* 12.4 million people are food insecure
* 50% of water systems DO NOT WORK Read More...

Access Protection Empowerment Accountability and Leadership (APEAL) II project Endline Evaluation

The APEAL II project was a follow on project to APEAL I. The purpose of APEAL 2020 was to Enhance multi-sectoral responses by providing targeted life- saving protection, mental health, Psychosocial support and inclusive services to Congolese refugees and vulnerable host communities in Kyangwali and Kyaka II settlements. APEAL II deferred from APEAL I by; increasing the Consortium members from six (6) to nine (9) after incorporating three (3) organizations, programme scope included changes from GBV to SGBV, disability and Inclusion Services and strengthening the capacity of community structures. The community structures were strengthened to identify, respond, support and refer persons in need of MHPSS, comprehensive rehabilitation, disability and inclusion, protection and SGBV services. The Project operated in a COVID 19 environment which was not present in APEAL 1. As such, the project embedded a specific focus on COVID 19 response.
The European Civil Protection & Humanitarian Aid Operations (ECHO) funded the Project with Euro3,462,889.15 spanning from May 01, 2020 to April 30, 2021.
The project targeted 40,000 beneficiaries split between Kyaka II and Kyangwali refugee settlements and distributed support to 20% of surrounding Host communities and 80% of Refugees. The APEAL II intended to achieve: Enhanced access to timely protection, SGBV, MHPSS and disability and inclusion services, Improved protection mainstreaming and strengthen the capacity of community structures, duty bearers and stakeholders, provide extra capacity in nutrition screening for young children, pregnant and lactating mothers and supportive advocacy for standards setting, and harmonized approaches to refugee protection and MHPSS at the national level.
The APEAL II project end line evaluation was conducted to assess change and impact by comparing data from before and after for APEAL Project implementation. The end line evaluation was constructed on a cross-sectional assessment of intervention focus area, the individual refugees and host community members. Qualitative and quantitative data collection methods were applied with the former utilized to obtain information on project relevance, effectiveness and outcomes from Project key stakeholders including beneficiaries through key informant interviews and focus group discussions. Read More...

Gender Analysis Uganda – Rhino Refugee Settlement – Omugo Extension and Ariaze

Since the last decade, conflict in South Sudan (SS) and the Democratic Republic of the Congo (DRC) has led to an influx of refugees to Uganda. Across the West Nile region of Uganda, the refuge influx has increased the strain on a chronically overburdened health system and other services.
CARE is working in a consortium of partners1 led by MSI Reproductive Choices (MSI) on a multi-country programme across Uganda, Niger and Madagascar named the ASPIRE Project to identify, test and develop innovative, sustainable and scalable approaches with the aim of reaching some of the world’s most marginalised groups with comprehensive sexual and reproductive health and rights (SRHR).
To inform key programme design decisions, CARE conducted a gender analysis to understand the gendered dynamics around sexual and reproductive health, including barriers that women, girls, men and boys face with respect to accessing SRHR information, services and products, and present findings to the consortium.
This gender analysis provides information about the different needs, capacities and coping strategies of women, men, boys and girls in a crisis and how the crisis has impacted gender roles, relations and norms. The focus was on refugee women, men, boys and girls currently settled in Rhino Refugee Settlement in the West Nile Region of Uganda. Specifically, the study participants were from Omugo Extension Village 6 and Ariaze B. Read More...

Gender analysis on sexual and reproductive health Niger – Maradi

L’objectif de cette analyse est de donner des recommandations pour la conception des activités du projet afin de garantir que l’intervention s’inscrive dans le «Do no harm» (Ne pas causer des préjudices), et prenne en compte les raisons et les influences les plus profondes sur les comportements et les choix des personnes.
Le consortium en charge du projet représente un partenariat pionnier qui testera des approches innovantes, durables et évolutives pour atteindre certains des groupes les plus marginalisés du monde avec des services complets relatifs à la santé et aux droits sexuels et reproductifs (SDSR). Face aux chocs permanents auxquels sont confrontés les groupes vulnérables dans les milieux fragiles et affectés par le changement climatique, cette approche globale du projet ASPIRE est fondée sur un cadre de résilience. Alors que le monde en développement est de plus en plus touché par le changement climatique et les crises humanitaires, le renforcement de la résilience devient une priorité essentielle si l’on veut permettre aux groupes vulnérables de s'adapter et de mener une vie saine et épanouie, dont l'accès à des services de santé sexuelle et reproductive (SSR) de qualité est une composante essentielle. Read More...

Analyse genre sur la SSR et la résilience climatique Madagascar – régions ANOSY et DIANA (Gender and Climate Change Resilience Analysis)

Dans le contexte actuel du changement climatique global, les situations de crises induites par ce phénomène touchent beaucoup plus les femmes et les filles qui voient leur vulnérabilité accrue et leur capacité d’adaptation et de résilience réduite. Donner un choix aux filles et aux femmes en matière de santé sexuelle et reproductive permet de soutenir leur résistance à faire face aux chocs et facteurs de stress provoqués par le changement climatique. C’est pourquoi le programme ASPIRE souhaite «accroître la résilience des communautés touchées par le changement climatique grâce à des programmes intégrés de santé sexuelle et reproductive, de conservation et moyens de subsistance ».
Ce programme sera mis en oeuvre dans 3 pays dont Madagascar, avec le concours de plusieurs partenaires qui sont MSI Reproductive Choices, Care International UK, Blue Ventures, ThinkPlace et l’Itad. Le programme adopte une approche innovante en utilisant l’approche «Population, Santé et Environnement» (PSE), dont l’objectif est de «renforcer la résilience par des approches intégrées de la santé sexuelle et reproductive, du changement climatique et de la population, de la santé et de l’environnement». Comme cette association est peu fréquente dans le milieu du développement, l’idée est de disposer d’un large éventail de preuves sur la façon dont la prise de décision en matière de SSR participe à l’effort de renforcement de la résilience face au changement climatique. Read More...

Analyse du genre, avec un focus en particulier sur les violences basées sur le genre: Diffa, Niger

La présente étude genre mettant un focus particulier sur les Violences Basées sur le Genre (VBG) s’inscrit dans la mise en œuvre du projet bilatéral MARTAWA ZUROMAYE au Niger et au Nigeria: “ visant à renforcer les efforts centrés sur les survivants et informer pour prévenir et répondre , aux Violences Basées sur le Genre (VBG), en particulier les Mutilations Génitales Féminines et ou l’Excision (MFG/E) et le mariage d’enfant et ou forcé (MEF) dans les communautés touchées par les conflits et l’extrémisme violent dans l’Est du Niger et le nord e du Nigeria».
L’étude a combiné la méthode quantitative, probabiliste auprès des ménages à celle non probabiliste et qualitative à travers les focus groupes et des entretiens auprès des informateurs clés (chef de villages et ou quartiers, leaders d’associations de femmes, et jeunes, leaders religieux, leaders d’associations de professionnels, services techniques impliqués dans la mise en œuvre de la Politique Nationale Genre du Niger, etc.). La combinaison de ces deux approches a permis de mesurer l’ampleur du phénomène et d’en déterminer des causes et conséquences sous-jacentes.
Les résultats de l’étude révèlent que le phénomène des VBG à l’instar de toutes les régions du Niger est une réalité dans la région de Diffa et particulièrement dans les six communes d’intervention du projet. La particularité de cette région est liée à la crise humanitaire en cours qui a aggravé certaines violences et fragiliser davantage les mécanismes de réponses existants.
Les réponses à la question qui porte sur les VBG montrent que la résolution de ces cas est plus du ressort des mécanismes communautaires traditionnels ou familiaux que du système de protection formel.
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Migrant Women Mini-survey on Sexual Harassment Aung Myin Hmu Project: Industry Solutions for Safe Employment

Introduction
This AMH project aims to provide safe work opportunities for migrant women by working with the private sector and the government to provide in demand vocational training and job matching while ensuring that women can access appropriate social and protection services.
Objectives
The study follows up with the project measurement framework to simplify and better visualize the below project indicators.
1) HLO2.2 % of migrant women who report experiencing discrimination and abuse in public and/or at the workplace
2) HLO 2.4 % of women who report feeling safer due to SH awareness activities and existence of complaint mechanism
3) IO 2.2.3 % of women report experiencing sexual harassment at their workplace
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Enhancing Women’s Voice to STOP Sexual Harassment Final Evaluation – Myanmar

The Enhancing Women’s Voice to Stop Sexual Harassment project (STOP), an initiative of CARE Australia, has been working since 2017 to prevent and address the under-reported problem of sexual harassment (SH) in mainland Southeast Asia’s garment sector.
At the time of writing, STOP is the only initiative that addresses this issue on a multi-country scale within the sub-region. Operating across a pool of garment factories in four Mekong countries—Cambodia, Lao PDR1, Myanmar and Vietnam—STOP aims to enhance women’s voice and economic rights at both the national and factory levels. Based on a socio-ecological model of violence prevention, CARE Country Offices (COs) are working with participating factories to create workplaces where female workers feel safe and experience less SH through the implementation of standardised SH reporting mechanisms and rigorous training programs. Supported by CARE Regional staff, each CARE CO engages with relevant country, regional and international stakeholders to strengthen the national regulatory environment to promote laws, policies and mechanisms to address SH in the workplace.
In 2018, CARE Australia commissioned a consortium of researchers from UNSW Sydney and UNSW Canberra to undertake an independent evaluation the STOP project and provide a separate Social Impact Assessment (SIA) focused on Cambodia STOP as the particular case study. It is important to note that the SIA is intended to complement the findings of the Final Evaluation (FE) of the STOP, as implemented in the other three project sites. In this way, the SIA and the Final Evaluation should be read as two parts of a single whole.
The STOP project is evidence-based. This strength of evidence is reflected in the rapid review of evidence first published by CARE (Campbell and Chinnery 2018) in November 2018, which provides a comprehensive discussion of how to prevent and respond to SH in the workplace. The continued inclusion of evidence into the project cycle ensures that the STOP project is built on current best practice.
This report provides an overview of Final Evaluation findings of the full STOP project and evaluation findings relating to the STOP project in Myanmar. Read More...

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