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Fonds Regionaux de Developpement Agricole – ASARA

Le Projet intitulé « Opérationnalisation du Fonds Régional de Développement Agricole dans la région
Anosy », a démarré début janvier 2014 pour une durée initialement prévue de 42 mois. Le projet a
été prolongé par voie d’avenant sur 6 mois, soit jusqu’au 5 janvier 2018. Le projet est mis en oeuvre
par CARE International à Madagascar qui intervient dans la Région Anosy depuis 1995, sur des
actions liées au développement agricole et rural (22 projets réalisés). L’Action s’inscrit dans la continuité de l’appui apporté par CARE à la mise en place FDAR entre 2009 et 2011. CARE a été opérateur du projet FDAR pilote dans la Région Anosy, avec l’appui de la Délégation de l’Union Européenne à Madagascar (DUE), et du projet Appui au Renforcement des Organisations Professionnelles et des services Agricoles (AROPA) financé par le Fonds International pour le Développement Agricole (FIDA).

L’Action vise à opérationnaliser le FDAR de la Région Anosy, pour soutenir l’accès des Exploitations Agricoles Familiales (EAF) aux services. Au sein du projet ASARA, l’Action est connectée à un appui à amélioration de la couverture des services d’épargne et de crédit (lot 1) et d’actions qui permettront de structurer les filières et l’économie agricole régionale (lot 3). L’Action s’intègre dans une logique de partenariat avec les attributaires de ces lots. Read More...

Utilisation de Transferts Monétaires dans le Cadre des Services de Gestion de Cas de Violences Basées sur le Genre pour Soutenir les Populations Touchées par des Crises en Équateur: Synthèse

Avec le soutien du ministère des Affaires étrangères suédois, la Commission des femmes pour les réfugiés et CARE se sont associées pour faire progresser la Feuille de route de l’appel à l’action en renforçant les capacités de prise en charge des VBG et des transferts monétaires des prestataires de services en Équateur, de façon à optimiser les transferts monétaires dans le cadre des services de gestion des cas en vue d’assurer la prévention et la lutte contre les violences basées sur le genre au sein des populations touchées par la crise.

Ce projet s’est déroulé de septembre à décembre 2019. Il permet de démontrer, de manière exhaustive, la prise en charge des violences basées sur le genre dans un contexte présentant des taux élevés de VBG. Il permet également d’influencer la manière dont les acteurs humanitaires et les professionnels des secteurs du développement luttent contre les VBG en Équateur. Les transferts monétaires n’ont pas encore été systématiquement mis à profit pour répondre aux besoins des survivants de VBG et des personnes exposées aux risques de VBG (les bénéficiaires des services liés à la VBG). Par le passé, les projets de CARE se sont focalisés sur la prévention et l’atténuation des risques de VBG. L’association a donc apporté son soutien aux autorités locales, aux organisations de défense des droits des femmes et à la société civile en renforçant les politiques locales et les réglementations. Ces efforts seront renforcés au travers de l’accent mis par ce projet sur la lutte contre la VBG.

Cette synthèse a été rendue possible grâce au soutien financier du ministère des Affaires étrangères du Gouvernement suédois. Read More...

ROM Review: Initiative REVANCHE: Résilience et Adaptation aux Variabilités Climatiques, pour une Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle Durable au Tchad, Régions de Wadi Fira, Guera et Ouadaï.

PERTINENCE. La mise en oeuvre de l’action REVANCHE a confirmé la pertinence de la stratégie PRO-ACT Résilience qui a été à l’origine de sa conception et du choix du mode d’exécution du projet permettant la sortie de l’urgence et l’ancrage d’un développement durable au sein des communautés cible. Les réponses proposées sont appropriées pour satisfaire les besoins des bénéficiaires et soutiennent la Plan nationale de renforcement de la résilience des populations tchadiennes. La pertinence est maintenue tout au long de l’exécution car le projet répond aux besoins des plus vulnérables par des actions à effets immédiats par du cash qui permet l’accès
à l’alimentation et aux soins de santé.

EFFICIENCE. La mise en oeuvre s’est révélée efficiente et propice à une bonne progression vers la réalisation des résultats recherchés. Le projet a connu un retard dans son démarrage mais dont les causes relèvent, pour la plupart d’entre elles, de facteurs externes au projet lui-même.

EFFICACITÉ. Le projet a été efficace à livrer la majeure partie des produits planifiés, notamment ceux consistant en travaux et réalisations d’ouvrages physiques et en appuis méthodologiques et logistiques aux parties étatiques et ONG partenaires.

DURABILITÉ. La problématique de la durabilité se pose encore en termes de capacité des communautés à s’approprier les apports du projet. Quatre ONG nationales ont pris part à l’exécution du projet REVANCHE et ont bénéficié d’un paquet de formations et du coaching progressif de CARE et OXFAM. Mais les organisations communautaires de base (organisations paysannes, groupements féminins, artisans réparateurs de pompes, groupe pour le système d’alerte précoce, GIE d’ouvriers maçons, …) qui constituent le socle de la stratégie de durabilité de l’action sont encore à un stade embryonnaire et requièrent des appuis et une mise en réseau entre eux et avec les services publiques Read More...

Les rêves des jeunes nigérien (nes) entre précarité, incertitude et Espoir

Au Niger, la Cellule d’Analyse des Politiques publiques et d’Évaluation de l’action Gouvernementale (CAPEG), a publié les résultats d’une étude d’envergure nationale pilotée par l’Unité Études et Recherche de la CAPEG. Cette étude sur les aspirations des jeunes a fait ressortir des points saillants qu’il faut nécessairement prendre au sérieux. Titre illustratif, il ressort clairement que les attentes des jeunes d’aujourd’hui ne sont pas les mêmes que celles des jeunes d’antan. L’étude a fait ressortir des connaissances capitales sur les dynamiques de jeunesses au Niger. Les résultats de l’étude interpellent toutes les institutions en charge des questions de jeunesse donc dont CARE pour la mise en œuvre des recommandations clef. C’est pour marquer cette volonté et prouver avec Evidence que l’avenir de la jeunesse est un axe stratégique important pour CARE International qu’une collecte de données plus qualitative dont les cibles sont les jeunes a été lancée dans l’ensemble des pays de l’Afrique de l’Ouest. Les résultats des données et histoires recueillies confirme davantage plusieurs conclusions de l’étude conduite par le CAPEG notamment celle où il faut investir sur les jeunes. Pour paraphraser M. KOFI Annan, ancien Secrétaire général des Nations Unies qui disait : ‘’Personne ne nait bon citoyen ; aucune nation ne nait démocratique. Mais pour tous deux, il s’agit plutôt de processus en constante évolution. Les jeunes doivent être inclus dès leur naissance. Une société qui se coupe de sa jeunesse se coupe de sa source de vie et se condamne à mort’.’ Read More...

RAPPORT EVALUATION FINALE INTERNE. PROJET RAPPORT EVALUATION FINALE INTERNE. PROJET SOUTENIR LA RELANCE ECONOMIQUEET RENFORCER LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS LES MENAGES VICTIMES DE LA CRISE DES GROUPES ARMES DANS LA PROVINCE DU LAC TCHAD. ERSFS

Le projet « Soutenir la relance économique et renforcer la sécurité alimentaire dans les ménages victimes de la crise des groupes armés dans la Province du lac Tchad (ERSFS) » a été mis en œuvre dans la province du Lac Tchad, département de FOULI, MAMDI et KAYA. Il a été entièrement financé par le gouvernement Tchèque. Cette évaluation finale interne révèle les éléments suivants les principaux critères de l’évaluation que sont : sa pertinence, son efficience, son efficacité, ses impacts et sa durabilité.

Impacts
• 82% des ménages appuyés ont amélioré leur score de consommation alimentaire suite à l’action ;
• 100 bénéficiaires sont formés sur les risques liées à la migration en Europe
• 375 femmes appuyées par le projet développent des Activités Génératrices de Revenus (AGR) ;
• 250 ménages ont bénéficié de cash pendant la période de soudure (juillet, aout et septembre) pour un montant total de 45000 XAF soit 15000 XAF par ménage et par mois.
• Un montant total de 11.250.000 XAF a été injecté en cash pour favoriser l’accès aux marchés en faveur de ménages pauvres pendant la période de soudure ;
• 77% des ménages touchés par le projet ont pu satisfaire leur besoin alimentaire grâce au cash reçu ;
• La durée des stocks de denrées de première nécessité détenus par les ménages pour leur propre consommation a augmenté de 4 mois ;
• 200 ménages ont été appuyés à reconstituer leur cheptel animal avec 600 sujets soit 3 petits ruminants pour un ménage. Un montant total de 10.500.000 XAF a été injecté pour l’acquisition de ruminants pendant cette foire ;
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COOPERER III Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID 19 RAPPORT DE L’ÉTUDE DE BASE

CARE International au Cameroun a obtenu à travers CARE France un soutien financier du Centre de Crise et de Soutien (CDCS) du Ministère français de l'Europe et des Affaires Etrangères, pour implémenter le projet : « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la Covid-19 », en abrégé « COOPERER III » ou encore « ResCOV-19 », sur le corridor Kaélé-Touloum-Yagoua dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, sur la période du 1er Avril 2021 au 31 Mars 2022. S’inscrivant dans la continuité de ses actions entrepris à travers les projets COOPERER I et COOPERER II dans ces localités (Kaélé, Touloum et Yagoua), CARE se propose de poursuivre le soutien de la résilience économique et de protéger les moyens de subsistance des femmes et des jeunes touchés directement ou indirectement par la Covid-19, en valorisant les acquis des précédents projets.
L’action de CARE Cameroun dans ces Communes est de : « Contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’accès à l’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19 dans la Région de l’Extrême-Nord du Cameroun, Axe Kaélé-Touloum-Yagoua ». De manière spécifique il sera question de : (1) Renforcer et sensibiliser le personnel des communes et les communautés sur la protection Covid et la gouvernance autour des infrastructures sociales de base (point d’eau, hygiène), dans les communes de Kaélé, Touloum et de Yagoua, (2) Améliorer l’accès des femmes et les jeunes dans les zones Kaélé, Touloum et Yagoua, aux opportunités économiques via une approche de sensibilisation et développement économique.
Le présent document est le résultat et les analyses des données de la collecte des données e l’étude menées du 07 au 14 Avril 2021 dans les Communes de Kaélé, Touloum et Yagoua auprès de 407 personnes dont 64% de femmes :
▪ 02 membres de l’exécutif municipale ;
▪ 04 Responsables des districts de santé et formation sanitaires ;
▪ 323 (dont 248 femmes), anciens membres d’AVEC issus des projets COOPERER I et COOPERER II ;
▪ 39 (dont 04 femmes) membres des Comités de gestions des forages ;
▪ 05 leaders traditionnels et d’opinion dans les localités cibles des projets COOPERER I et II ;
▪ 32 membres Micro-assurance communal des forages,
▪ 02 Représentantes des réseaux des associations féminines
Cette étude a été conduite pour établir un référentiel des indicateurs du projet COOPERER III et pour servir de base de calcul, en vue d’apprécier toute évolution ou variante pour chaque indicateur à la fin du projet.
Les principales recommandations issues de cette étude vont dans le sens de :
▪ Poursuivre la sensibilisation des CGPE sur l’importance de leur adhésion à la micro-assurance ;
▪ Organiser un recyclage/formation des membres des CGPE et de la micro-assurance sur leurs rôles et responsabilités ;
▪ Accompagner les bureaux de micro-assurance à l’élaboration des statuts et règlements intérieurs (pour celles qui n’en disposent pas) ;
▪ Définir clairement les responsabilités des communes vis-à-vis de la micro-assurances des forages ;
▪ Faire un plaidoyer auprès de l’exécutif municipal pour qu’ils apportent un appui au fonctionnement de la micro-assurance notamment en ce qui concerne l’acquisition d’un bureau ;
▪ Renforcer la dynamique associative à travers la redynamisation/création des réseaux d’AVEC fortes et interconnectées ;
▪ Poursuivre le processus d’autonomisation des femmes via le renforcement des capacités en matière de leadership, d’entrepreneuriat y compris le pouvoir de négociation.
Ce document s’articule autour des points suivants : La partie introductive, la méthodologie de l’étude, les résultats de l’étude par indicateurs, la conclusion et les recommandations issue de l’étude. Read More...

RAPPORT D’EVALUATION FINALE PROJET PEREN Programme de Poursuite des Engagements pour la Résilience à l’Extrême Nord

RAPPEL-INTRODUCTION
Porté par le consortium : ACF-CRF-CARE, le projet PEREN a pris effet sur un peu plus de 2 ans avec la volonté de pérenniser, sur 6 communes de l’Extrême Nord, une partie des actions du projet RESILIANT qui l’avait précédé pendant 4 ans. Il vise à renforcer la gestion des crises alimentaires et nutritionnelles par les institutions, tout en améliorant les conditions de vie des ménages. Le présent rapport est le résultat de l’évaluation finale réalisée en mai 2023 à partir
d’une revue bibliographique, de rencontres et de visites de terrain, ainsi que de 2 restitutions en présence des acteurs et des partenaires du projet.
PRESENTATION EN QUELQUES CHIFFRES CLEFS
PEREN est intervenu via un package d’activités comprenant : l’appui à l’élaboration du Plan National de Réponse alimentaire et nutritionnelle (PNR), le soutien à la coordination de ce secteur dans l’Extrême Nord, l’accompagnement à la gouvernance des 6 communes, l’appui aux systèmes de productions agricoles à travers notamment l’accompagnement de 10 coopératives, 200 AVEC et 41 CEP. Il est intervenu dans 145 localités, auprès de plus de 9900 bénéficiaires pour le soutien à l’économie des ménages dont 75% sont des anciens bénéficiaires du RESILIANT. Avec le volet accès à l’eau potable, le nombre de bénéficiaires passe à plus de 20 000 ménages et plus de 170 000 personnes.
LA GESTION DES CRISES ALIMENTAIRES ET NUTRITIONNELLES PAR LES INSTITUTIONS
Planifier la réponse au niveau national et coordonner l’action dans l’Extrême Nord Le PNR a été élaboré, de façon participative et consensuelle. Avec la version révisée en 2023 (PNR2), le MINADER dispose d’un outil essentiel pour structurer la réponse et mobiliser les moyens nécessaires car actuellement le plan est financé à hauteur de 50% seulement.
Parallèlement, le GTSA de Maroua a été réactivé, il permet des échanges réguliers entre les acteurs du secteur et des perspectives plus ambitieuses sont tracés pour la suite : mener des actions conjointes, éditer un bulletin trimestriel d’information… Appropriations, pérennisation des bonnes pratiques par les institutions La collaboration du PEREN avec les communes a été positive et constructive. De nombreux volets d’actions ont été activés : réunions CCODES, révision des PCD, activation des FDE/MAE, renforcement des équipes avec du personnel qualifié (ACDES), élaboration de plans Genre… Des MOU ont été signés pour mener des actions conjointes mais leur durée a été compressée à +/-1 an. Cela n’a pas permis de tout accomplir comme prévu et de sécuriser toutes les actions souhaitées comme : envisager une meilleure utilisation du 1% nutrition, consolider les FDE/MAE qui restent embryonnaires, appuyer les partenariat OSC qui débutent, soutenir la dynamique CCODES qui est fragile et inscrire les plans « genre » dans les budgets des communes. Read More...

EVALUATION FINALE: Projet d’accès à des services de protection pour les populations déplacées par le conflit du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO)

Le Projet d’Accès à des Services de Protection pour les populations déplacées par le conflit du nord-ouest et du sud-ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO) a été mis en oeuvre par un partenariat noué entre CARE Cameroun, récipiendaire principal et Horizons Femmes, pour une période de15 mois qui s’étend du 15/10/2022 au 30/03/2024 dans les départements de la Mifi et de la Menoua. L’objectif général de ce projet était d’améliorer l’accès à des services essentiels de protection pour les populations les plus vulnérables affectées (populations déplacées et hôtes) par les conflits des régions du Nord-ouest et Sud-ouest au Cameroun, dans les zones avoisinantes (Ouest), grâce à une réponse humanitaire coordonnée.
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...

Evaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » 2021-2023

Description of the document:
L’évaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » intervient près de trois ans après le début du projet et deux après le démarrage effectif des financements aux organisations féministes. Couvrant la période 2021-2023, elle poursuit plusieurs objectifs :
∇ Un objectif d’apprentissage et de capitalisation, alors que Féministes en Action est le premier consortium financé au titre du FSOF, l’un de ceux cherchant à atteindre directement les OSC féministes les plus fragiles et celui ayant le périmètre thématique le plus large (les autres sont construits en général autour d’une thématique d’intervention). Le consortium constitué, avec la présence d’ONG internationales et de fonds des « Suds » est lui aussi inédit.
∇ Un objectif stratégique et prospectif, avec une réflexion portant à la fois sur les changements visés et l’architecture globale du projet alors que le projet devrait disposer de nouveaux fonds à mettre en oeuvre après 2023. L’évaluation doit notamment permettre d’accompagner une réflexion sur les objectifs du cadre logique du Projet dans l’optique d’une redéfinition afin d’assurer la cohérence avec les objectifs réellement visés par le Projet et les indicateurs prévus difficilement renseignables.
∇ Un objectif de redevabilité, tourné avant tout vers les sociétés civiles féministes que Féministes en Action cherche à renforcer. Il s’agit de s’assurer que l’action menée apporte une valeur ajoutée (« do not harm ») et que les conditions de mise en oeuvre sont cohérentes avec les valeurs féministes promues tout en tenant compte des exigences d’un bailleur de fonds publics.
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At the last mile: Lessons from Vaccine Distributions in DR Congo

The Democratic Republic of the Congo (DRC) has one of the lowest COVID-19 vaccination rates in the world, with just 0.87% of people in DRC having received even one dose. While the country has received 8.2 million doses of COVID-19 vaccine, it has managed to administer 528,000 of them—just under 11% of vaccines available. In April of 2021, DRC became one of the first countries to return 1.3 million COVID-19 doses to COVAX because they could not deliver them to people before the vaccines expired.

The challenges that risked more than a million doses expiring are still in play for most of the country. In both January and February 2022, 114,705 vaccines expired in country because there was not enough investment in systems and health workers to deliver vaccines. To reach 70% of the population—62.7 million people—DRC will need to drastically scale up and accelerate COVID-19 vaccination.

CARE is working with 4 vaccination sites—2 in Butembo and 2 in Goma—to support with community mobilization in partnership with local leaders, health center operations, and training. With joint action and communication plans developed with chiefs, religious leaders, and local authorities, and additional equipment to protect health workers, those sites had vaccinated 1,132 people. In those 4 sites, we have also conducted several rounds of research and problem-solving using community dialogues between health workers and clients using the Community Scorecard, as well as the Social Analysis and Action tools, which provides the insights for this case study. The team has also supported local vaccination teams with IT infrastructure, personnel costs, and creating locally adapted COVID-19 communications plans.

Version Francaise
La République démocratique du Congo (RDC) possède un des taux de vaccination les plus bas dans le monde avec la lutte contre COVID-19. Seulement 0,87% des personnes en RDC ont reçu même une seule dose du vaccin. Alors que le pays a reçu 8,2 millions de doses de vaccin contre la COVID-19, il n’a réussi qu’à en administrer 881,204, soit un peu moins de 11% des vaccins disponibles administrés. En avril 2021, la RDC est devenue l’un des premiers pays à restituer 1,3 million de doses de COVID-19 à COVAX parce qu’elle ne pouvait pas les administrer aux personnes avant l’expiration des vaccins.

Les défis qui risquaient d’expirer plus d’un million de doses sont toujours en jeu pour la majeure partie du pays. En janvier et février, 114,705 doses ont expiré dans le pays parce qu’il n’y avait pas assez d’investissements dans les systèmes et les agents de santé pour livrer des vaccins. Pour atteindre 70 % de la population, soit 62,7 millions de personnes, la RDC devra considérablement intensifier et accélérer la vaccination contre la COVID-19.

CARE travaille avec 4 sites de vaccination – 2 à Butembo et 2 à Goma – pour soutenir la mobilisation communautaire en partenariat avec les leaders et structures locaux, les opérations des centres de santé et la formation. Ces sites avaient vacciné 1 132 personnes. Dans ces 4 sites, nous avons également mené plusieurs séries de recherches et de résolution de problèmes à travers des dialogues communautaires entre les prestataires des services et les clients avec la Carte Communautaire et l’analyse et l’action sociale, à l’aide de la carte de pointage communautaire, qui fournit les informations nécessaires à cette étude de cas. On a aussi appuyé les missions de supervisions avec l’infrastructure pour la connexion internet, la motivation des prestataires, et l’élaboration des plans de communication adaptes aux contextes.
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Filter Evaluations