Baseline
DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES FEMMES A TRAVERS LES ENERGIES RENOUVELABLES AU SAHEL (SENEGAL, MALI ET NIGER) – DESFERS »
Ce rapport final de l’étude de base et cartographie des activités génératrices de revenue (AGR) dans le cadre du Projet «DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES FEMMES A TRAVERS LES ENERGIES RENOUVELABLES AU SAHEL (SENEGAL, MALI ET NIGER) – DESFERS» reflète les informations recueillies et analysées au Mali, au Sénégal et au Niger. Il établit les éléments de base qui permettront de réaliser de manière adéquate le suivi du projet au niveau des résultats et objectifs.
Le répertoire et l’analyse financière des AGR féminines permet de déterminer le type d’AGR pouvant bénéficier d’un accès à l’énergie renouvelable dans le but d’améliorer leur production, productivité, efficacité de leur processus de transformation, systèmes de vente de leurs produits.
Les deux parties (répertoire et analyse) aident à identifier les AGR ayant des activités liées ou potentiellement liées à court et moyen terme, à l’utilisation et à la commercialisation des produits liés et/ou issus de l’énergie renouvelable.
Les informations recueillies mettent à jour également aussi bien les AGR qui utilisent ou peuvent utiliser l’énergie renouvelable ainsi que des actions préalables dont ont pu bénéficier les AGR et les membres des groupes d’épargne et crédit mutuel (EPC), comme les formations techniques, cours d’alphabétisation, développement de plan d’affaire, etc.). Read More...
Le répertoire et l’analyse financière des AGR féminines permet de déterminer le type d’AGR pouvant bénéficier d’un accès à l’énergie renouvelable dans le but d’améliorer leur production, productivité, efficacité de leur processus de transformation, systèmes de vente de leurs produits.
Les deux parties (répertoire et analyse) aident à identifier les AGR ayant des activités liées ou potentiellement liées à court et moyen terme, à l’utilisation et à la commercialisation des produits liés et/ou issus de l’énergie renouvelable.
Les informations recueillies mettent à jour également aussi bien les AGR qui utilisent ou peuvent utiliser l’énergie renouvelable ainsi que des actions préalables dont ont pu bénéficier les AGR et les membres des groupes d’épargne et crédit mutuel (EPC), comme les formations techniques, cours d’alphabétisation, développement de plan d’affaire, etc.). Read More...
Mawe Tatu Rapport Etude de Base
Cette étude évalue un programme de développement néerlandaise nommé "Mawe Tatu" (M3), qui vise à l’amélioration de la gestion économique des ménages; à la réduction de la violence basée sur le genre à travers des relations plus égales entre femmes et hommes ; et à la réalisation de comportements de santé sexuelle et reproductive plus sains dans huit territoires dans les provinces du Sud et du Nord Kivu de la RDC. Le programme Mawe Tatu combine pour la première fois une approche de micro finance pour accroître la participation des femmes dans l'économie des ménage avec des interventions favorisant l'égalité entre les sexes à travers la
réduction de la violence basée sur le genre et l'amélioration des droits de santé sexuelle et reproductive des femmes. L’étude examinera les changements dans la participation économique des femmes, la prévalence de la violence basée sur le genre, et la prise de conscience des droits sexuels et reproductifs Read More...
réduction de la violence basée sur le genre et l'amélioration des droits de santé sexuelle et reproductive des femmes. L’étude examinera les changements dans la participation économique des femmes, la prévalence de la violence basée sur le genre, et la prise de conscience des droits sexuels et reproductifs Read More...
MAWE TATU Évaluation Finale Phase I et Étude de base partielle phase II
Ce rapport est le livrable final de l’évaluation finale phase I du projet Mawe Tatu et l’étude de base phase II du projet.
Pour rappel, Mawe Tatu est un projet financé par le gouvernement néerlandais (de Décembre 2015 à Mai 2019) et mis en oeuvre dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. L’objectif général du programme est que, d’ici 2019, les femmes, les hommes et les jeunes (hommes et femmes) des cinq territoires concernés du Nord-Kivu et du Sud-Kivu deviennent des acteurs clés dans la promotion de relations plus égales entre hommes et femmes qui empêchent les VBG(Violences basées sur le genre), favorisent une meilleure gestion économique des ménages et des comportements plus sains en matière de santé sexuelle et reproductive (tels que la planification familiale, dans une perspective trans-générationnelle).
Trois résultats contribuent à atteindre cet objectif :
• 23 900 femmes, organisées en associations villageoises d'épargne et de crédit (AVEC) et en réseaux AVEC (RAVEC), améliorent leur statut social et économique et influencent la promotion et l'application de leurs droits,
• 10 000 hommes adoptent des attitudes et des comportements qui contribuent à améliorer les relations de pouvoir et à réduire la violence sexiste,
• 24 655 filles et garçons développent des relations saines et travaillent ensemble pour promouvoir l'égalité des sexes.
Les responsabilités des organisations sont liées aux trois résultats du projet et sont définies comme suit :
• CARE Nederland était responsable de la gestion des contrats et du contrôle de la qualité
• ADJ était responsable du résultat 1 relatif à l’autonomisation des femmes,
• COMEN était responsable du résultat 2 et de la partie du résultat 3, centrée sur les hommes et les garçons s'engageant dans une masculinité positive et luttant contre la violence sexiste.
• CARE RDC était responsable de la partie du résultat 3, axée sur l’éducation sexuelle complète (CSE), et
• Swiss TPH en charge du suivi et de l'évaluation ainsi que de la recherche opérationnelle Read More...
Pour rappel, Mawe Tatu est un projet financé par le gouvernement néerlandais (de Décembre 2015 à Mai 2019) et mis en oeuvre dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. L’objectif général du programme est que, d’ici 2019, les femmes, les hommes et les jeunes (hommes et femmes) des cinq territoires concernés du Nord-Kivu et du Sud-Kivu deviennent des acteurs clés dans la promotion de relations plus égales entre hommes et femmes qui empêchent les VBG(Violences basées sur le genre), favorisent une meilleure gestion économique des ménages et des comportements plus sains en matière de santé sexuelle et reproductive (tels que la planification familiale, dans une perspective trans-générationnelle).
Trois résultats contribuent à atteindre cet objectif :
• 23 900 femmes, organisées en associations villageoises d'épargne et de crédit (AVEC) et en réseaux AVEC (RAVEC), améliorent leur statut social et économique et influencent la promotion et l'application de leurs droits,
• 10 000 hommes adoptent des attitudes et des comportements qui contribuent à améliorer les relations de pouvoir et à réduire la violence sexiste,
• 24 655 filles et garçons développent des relations saines et travaillent ensemble pour promouvoir l'égalité des sexes.
Les responsabilités des organisations sont liées aux trois résultats du projet et sont définies comme suit :
• CARE Nederland était responsable de la gestion des contrats et du contrôle de la qualité
• ADJ était responsable du résultat 1 relatif à l’autonomisation des femmes,
• COMEN était responsable du résultat 2 et de la partie du résultat 3, centrée sur les hommes et les garçons s'engageant dans une masculinité positive et luttant contre la violence sexiste.
• CARE RDC était responsable de la partie du résultat 3, axée sur l’éducation sexuelle complète (CSE), et
• Swiss TPH en charge du suivi et de l'évaluation ainsi que de la recherche opérationnelle Read More...
Evaluation de Ligne de Base du Project Urbayiti
Extrêmement affecté par l’ouragan Matthew de catégorie 4 qui a frappé Haiti en Octobre 2016, la ville de Jérémie1, chef-lieu du département de la Grand’Anse, reste extrêmement vulnérable aux catastrophes plus de deux ans après ce sinistre. En effet, sa position géographique dans le bassin de la Caraïbe l’expose à de nombreux risques naturels tels que séismes, ouragans, tsunamis et pluies dévastatrices.
D’un point de vue de la structure urbaine, Jérémie souffre d’un manque de planification et d’un niveau de gestion territoriale inadapté à la pression démographique actuelle. Il en résulte un développement chaotique de la ville qui, entre autres, ne prend pas en compte l’exposition aux risques et n’est pas associé à une offre de services de base. De plus, la pauvreté chronique des populations, aggravée par les fréquentes catastrophes, ne permet pas aux habitants les plus démunis de développer un niveau de résilience minimal leur permettant de garantir leur propre intégrité physique, et de capitaliser pour réaliser une évolution significative tant sur le point économique que social.
En vue d’adresser une série de problèmes structurels, environnementaux, sociaux et économiques enregistrés au niveau de la partie urbaine de la commune de Jérémie, CARE HAITI et CBM implémentent, depuis Mai 2018 et jusqu’à Avril 2022, le Projet « Vil nou pi bèl » dénommé UrbAyiti au niveau de la ville de Jérémie financé par l’Union Européenne.
Le projet a été lancé officiellement en Octobre 2018 et, avant le début des activités à fort impact sur les bénéficiaires, CARE a réalisé la ligne de base afin d’avoir un instantané de la situation. Ce qui devra permettre de mieux affiner les activités du projet et de mesurer l’effet du projet sur les bénéficiaires ciblés. Read More...
D’un point de vue de la structure urbaine, Jérémie souffre d’un manque de planification et d’un niveau de gestion territoriale inadapté à la pression démographique actuelle. Il en résulte un développement chaotique de la ville qui, entre autres, ne prend pas en compte l’exposition aux risques et n’est pas associé à une offre de services de base. De plus, la pauvreté chronique des populations, aggravée par les fréquentes catastrophes, ne permet pas aux habitants les plus démunis de développer un niveau de résilience minimal leur permettant de garantir leur propre intégrité physique, et de capitaliser pour réaliser une évolution significative tant sur le point économique que social.
En vue d’adresser une série de problèmes structurels, environnementaux, sociaux et économiques enregistrés au niveau de la partie urbaine de la commune de Jérémie, CARE HAITI et CBM implémentent, depuis Mai 2018 et jusqu’à Avril 2022, le Projet « Vil nou pi bèl » dénommé UrbAyiti au niveau de la ville de Jérémie financé par l’Union Européenne.
Le projet a été lancé officiellement en Octobre 2018 et, avant le début des activités à fort impact sur les bénéficiaires, CARE a réalisé la ligne de base afin d’avoir un instantané de la situation. Ce qui devra permettre de mieux affiner les activités du projet et de mesurer l’effet du projet sur les bénéficiaires ciblés. Read More...
Baseline Evaluation: Partners for Learning – P4L
Key results of the project evaluation
In the P4L intervention areas, we estimated that approximately 5.7 % 1 of children are out of school girls and boys (OOSGB) who come from most rural households (72%), in female-headed households (63%), and extremely poor and their education expenses consume a large part of their global expenses (59%). Most of the surveyed OOSGB are between the ages of 7-14 (66%) without a large difference regarding their sex (girls or boys).
The dropout situation was measured; it is estimated to at a level of 3% mostly in the rural areas (77%) and more frequent among older children from 15-17 years (6.6%). The reasons for non-enrollment or dropout are varied and among others we will mention: High domestic workload for the children; Children’s participation in agricultural activities; Lack of economic means to pay fees, material, textbooks, shoes, and/or uniform; Lack of identification documents (baptismal certificate / birth certificate / national ID) for enrolment; Repeated teacher absences, caused often by strike; Hunger (absence of school feeding program); Distance between home and school.
Main recommendations / perspectives
Considering the results obtained from the data analysis some keys actions are recommended such as more campaigns for providing a ID document to each children; more awareness campaigns to reduce children’s workload until the total elimination of the child labor exists; more awareness activities for enrolling children at the normal school age (5-6 years) regardless of their sex; sensitization for parents around community-based retention and consistent attendance of their children at school; and by increased support to families to raise their household income. Read More...
In the P4L intervention areas, we estimated that approximately 5.7 % 1 of children are out of school girls and boys (OOSGB) who come from most rural households (72%), in female-headed households (63%), and extremely poor and their education expenses consume a large part of their global expenses (59%). Most of the surveyed OOSGB are between the ages of 7-14 (66%) without a large difference regarding their sex (girls or boys).
The dropout situation was measured; it is estimated to at a level of 3% mostly in the rural areas (77%) and more frequent among older children from 15-17 years (6.6%). The reasons for non-enrollment or dropout are varied and among others we will mention: High domestic workload for the children; Children’s participation in agricultural activities; Lack of economic means to pay fees, material, textbooks, shoes, and/or uniform; Lack of identification documents (baptismal certificate / birth certificate / national ID) for enrolment; Repeated teacher absences, caused often by strike; Hunger (absence of school feeding program); Distance between home and school.
Main recommendations / perspectives
Considering the results obtained from the data analysis some keys actions are recommended such as more campaigns for providing a ID document to each children; more awareness campaigns to reduce children’s workload until the total elimination of the child labor exists; more awareness activities for enrolling children at the normal school age (5-6 years) regardless of their sex; sensitization for parents around community-based retention and consistent attendance of their children at school; and by increased support to families to raise their household income. Read More...
Baseline Study of the Title II Development Food Assistance Program in Haiti
In fiscal year 2013, the U.S. Agency for International Development’s (USAID) Office of Food for Peace (FFP) awarded funding to CARE International and its partners, Action Contre La Faim International (ACF) and the U.N. World Food Programme (WFP), to implement a Title II development food assistance program in Haiti.1 The four-year Kore Lavi Program directly supports the Government of Haiti’s (GOH) social protection efforts. The overall objective of the program is to reduce food insecurity and vulnerability by supporting the GOH in establishing a replicable safety net system and expanding capacities for preventing child undernutrition.
KEY FINDINGS.
The Title II program area residents face challenges in all four pillars of food security: (1) availability of food, (2) access to food, (3) utilization of food and (4) stability.
Survey results indicate that 57.5 percent of households suffer from moderate hunger and 13.5 percent of households suffer from severe hunger.
An HDDS of 6.2 indicates that households in the Kore Lavi Program area typically can access and consume 6 of 12 basic food groups. Qualitative data indicate that food consumption is pragmatic at the household level. Individual families eat what is available, what they can grow or what they can afford to purchase. Despite these challenges, many respondents spoke ardently to beliefs about the cultural significance of certain foods, while also holding strong opinions on imported food in comparison to locally produced food.
The household survey data show that 69 percent of all households have an adequate level of food consumption, 22 percent score at the borderline level, and 9 percent score at the poor level.
Across the Kore Lavi Program area, 43.6 percent of households currently live in extreme poverty (less than the international poverty line of USD$1.25 at 2005 prices), with average daily per capita expenditures of constant USD$ 2.10.
The household survey data show that 40 percent of households use an improved drinking water source and 16 percent of households use a non-shared improved sanitation facility.
As measured by body mass index (BMI), the nutritional status of women 15-49 years of age who are not pregnant or two months post-partum is generally satisfactory despite a lack of dietary diversity.
The survey data reveal that 8 percent of children under five years of age in the Kore Lavi Program area show signs of being moderately or severely underweight, and 19 percent of children under five years of age are stunted.
Across the qualitative data, views about gender equality tended to be polarized, rooted historically and in tradition. Read More...
KEY FINDINGS.
The Title II program area residents face challenges in all four pillars of food security: (1) availability of food, (2) access to food, (3) utilization of food and (4) stability.
Survey results indicate that 57.5 percent of households suffer from moderate hunger and 13.5 percent of households suffer from severe hunger.
An HDDS of 6.2 indicates that households in the Kore Lavi Program area typically can access and consume 6 of 12 basic food groups. Qualitative data indicate that food consumption is pragmatic at the household level. Individual families eat what is available, what they can grow or what they can afford to purchase. Despite these challenges, many respondents spoke ardently to beliefs about the cultural significance of certain foods, while also holding strong opinions on imported food in comparison to locally produced food.
The household survey data show that 69 percent of all households have an adequate level of food consumption, 22 percent score at the borderline level, and 9 percent score at the poor level.
Across the Kore Lavi Program area, 43.6 percent of households currently live in extreme poverty (less than the international poverty line of USD$1.25 at 2005 prices), with average daily per capita expenditures of constant USD$ 2.10.
The household survey data show that 40 percent of households use an improved drinking water source and 16 percent of households use a non-shared improved sanitation facility.
As measured by body mass index (BMI), the nutritional status of women 15-49 years of age who are not pregnant or two months post-partum is generally satisfactory despite a lack of dietary diversity.
The survey data reveal that 8 percent of children under five years of age in the Kore Lavi Program area show signs of being moderately or severely underweight, and 19 percent of children under five years of age are stunted.
Across the qualitative data, views about gender equality tended to be polarized, rooted historically and in tradition. Read More...
Baseline Survey Report for a WASH project in West Mosul
This is a baseline survey report for the "Improving Sanitation, Hygiene, Renovation of Sewage System" project, funded by the Ministry of Foreign Affairs of the Czech Republic.
There are two priority issues to be addressed by this project: a) significant health risks posed by accumulation of solid waste in key arteries of West Mosul (Cree stream), precluding the effective flow of gray water towards the river as well as damaged pipes which serve to remove black water from residential areas (Al-Thawra neighborhood), and b) limited civic engagement and ownership of residential environment, resulting in poor communal hygiene practices and a high burden on local authorities, which are operating under severely reduced capacity to address needs.
A base-line survey was conducted to identify the current water, hygiene and sanitation conditions in the neighborhood, beneficiaries’ specific needs (disaggregated by men, women, boys and girls) and overall awareness towards water, hygiene and sanitation measures. In order to measure the impact of this projects base line data will be evaluated against end line data collected after project closure. Read More...
There are two priority issues to be addressed by this project: a) significant health risks posed by accumulation of solid waste in key arteries of West Mosul (Cree stream), precluding the effective flow of gray water towards the river as well as damaged pipes which serve to remove black water from residential areas (Al-Thawra neighborhood), and b) limited civic engagement and ownership of residential environment, resulting in poor communal hygiene practices and a high burden on local authorities, which are operating under severely reduced capacity to address needs.
A base-line survey was conducted to identify the current water, hygiene and sanitation conditions in the neighborhood, beneficiaries’ specific needs (disaggregated by men, women, boys and girls) and overall awareness towards water, hygiene and sanitation measures. In order to measure the impact of this projects base line data will be evaluated against end line data collected after project closure. Read More...
Baseline Assessment for Climate Change Adaptation of Women Smallholders and Cotton Producers
CARE India aims to promote environmentally sound, climate-resilient and inclusive agriculture among cotton producers of Vidarbha region. In pursuance of this aim, it has designed an intervention package that focusses on developing environmentally sound and climate resilient cotton production model plots for demonstration, on the lands of traditionally cotton growing women smallholders in 10 project villages of Jalgaon Jamod block of Buldhana district. To further accelerate the effectiveness of the project intervention, CARE plans to work with different stake holders like women Self Help Groups, Farmers’ Groups and men within households and communities, government functionaries, and market actors who collectively form important components of the supporting ecosystem. Read More...
Strengthening WASH basic infrastructure, resilience and livelihoods in return areas in Ninawa, Iraq
This baseline report was prepared as part of the multi-sectoral project in Sinjar and Telafar districts, Ninawa governorate. The project is funded by the German Federal Ministry of Economic Cooperation and Development, BMZ. CARE International in Iraq, in partnership with two local NGOs, namely Harikar and HOPE are planning to implement the project in two districts in Ninawa governorate, Telafar and Sinjar. It is intended to implement activities in three geographic locations within the two selected districts, Telafar city and Zummar town in Telafar district and Sinjar area in Sinjar district. Zummar’s population is about 118,000 individuals (19,000 families). Approx. 80% (around 15,000 families) of the population have now returned to Zummar. Telafar’s population is about 200,000 individuals (40,000 families). Around 25% of the total displaced population has returned according to local Telafar authorities. Sinjar city hosts a population of about 24,000 individuals (4,000 families) .
Field work was conducted in early January 2019. The aim of the multi-sectorial baseline assessment was to collect information on the current situation in the areas of Water Supply, Hygiene and Sanitation Practices, House, Land and Property (HLP), Livelihood and Governance in the target areas.
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Field work was conducted in early January 2019. The aim of the multi-sectorial baseline assessment was to collect information on the current situation in the areas of Water Supply, Hygiene and Sanitation Practices, House, Land and Property (HLP), Livelihood and Governance in the target areas.
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LIVELIHOOD RAPID MARKET ASSESSMENT REPORT Ninawa Governorate
Gender-balanced implementation structures (including vetting committees comprised of local leaders, community representatives and local partner institutions) will be established and they will determine the criterion for identification of vulnerable vocational trainees. CARE will advertise the program in strategic locations, inviting beneficiaries to apply. Vocational training beneficiaries (including those carrying out agricultural production) will be identified through inclusive processes that rank applicants according to a vulnerability criterion. Selected beneficiaries are then provided vocational training, start-up kits and apprenticeships, based on the conducted market assessment.
Supporting micro-business enterprises: Applicants for business trainings will be shortlisted and identified by committees made up of community leaders/local partners, in a similar process to the selection of vocational trainees. Training materials will be developed and finalized. Beneficiaries will be trained in running a small business and gender and gender-based-violence awareness. Trainees that successfully complete the program will be supported in designing and applying for microbusiness pre-financing, which a gender inclusive committee will award to awardees.
Providing cash for work (CFW) on public works projects: CFW projects will be conducted over three-month periods, engaging 300 workers in each of the two project sites of Rabia and Zummar. The CFW projects will be described to and prioritized with relevant stakeholders there, which include local community leaders, community and religious leaders and lowest government administrative structures involved in selecting CFW public works projects and understand community needs.
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Supporting micro-business enterprises: Applicants for business trainings will be shortlisted and identified by committees made up of community leaders/local partners, in a similar process to the selection of vocational trainees. Training materials will be developed and finalized. Beneficiaries will be trained in running a small business and gender and gender-based-violence awareness. Trainees that successfully complete the program will be supported in designing and applying for microbusiness pre-financing, which a gender inclusive committee will award to awardees.
Providing cash for work (CFW) on public works projects: CFW projects will be conducted over three-month periods, engaging 300 workers in each of the two project sites of Rabia and Zummar. The CFW projects will be described to and prioritized with relevant stakeholders there, which include local community leaders, community and religious leaders and lowest government administrative structures involved in selecting CFW public works projects and understand community needs.
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