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Evaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » 2021-2023
Description of the document:
L’évaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » intervient près de trois ans après le début du projet et deux après le démarrage effectif des financements aux organisations féministes. Couvrant la période 2021-2023, elle poursuit plusieurs objectifs :
∇ Un objectif d’apprentissage et de capitalisation, alors que Féministes en Action est le premier consortium financé au titre du FSOF, l’un de ceux cherchant à atteindre directement les OSC féministes les plus fragiles et celui ayant le périmètre thématique le plus large (les autres sont construits en général autour d’une thématique d’intervention). Le consortium constitué, avec la présence d’ONG internationales et de fonds des « Suds » est lui aussi inédit.
∇ Un objectif stratégique et prospectif, avec une réflexion portant à la fois sur les changements visés et l’architecture globale du projet alors que le projet devrait disposer de nouveaux fonds à mettre en oeuvre après 2023. L’évaluation doit notamment permettre d’accompagner une réflexion sur les objectifs du cadre logique du Projet dans l’optique d’une redéfinition afin d’assurer la cohérence avec les objectifs réellement visés par le Projet et les indicateurs prévus difficilement renseignables.
∇ Un objectif de redevabilité, tourné avant tout vers les sociétés civiles féministes que Féministes en Action cherche à renforcer. Il s’agit de s’assurer que l’action menée apporte une valeur ajoutée (« do not harm ») et que les conditions de mise en oeuvre sont cohérentes avec les valeurs féministes promues tout en tenant compte des exigences d’un bailleur de fonds publics.
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L’évaluation intermédiaire du projet « Féministes en Action » intervient près de trois ans après le début du projet et deux après le démarrage effectif des financements aux organisations féministes. Couvrant la période 2021-2023, elle poursuit plusieurs objectifs :
∇ Un objectif d’apprentissage et de capitalisation, alors que Féministes en Action est le premier consortium financé au titre du FSOF, l’un de ceux cherchant à atteindre directement les OSC féministes les plus fragiles et celui ayant le périmètre thématique le plus large (les autres sont construits en général autour d’une thématique d’intervention). Le consortium constitué, avec la présence d’ONG internationales et de fonds des « Suds » est lui aussi inédit.
∇ Un objectif stratégique et prospectif, avec une réflexion portant à la fois sur les changements visés et l’architecture globale du projet alors que le projet devrait disposer de nouveaux fonds à mettre en oeuvre après 2023. L’évaluation doit notamment permettre d’accompagner une réflexion sur les objectifs du cadre logique du Projet dans l’optique d’une redéfinition afin d’assurer la cohérence avec les objectifs réellement visés par le Projet et les indicateurs prévus difficilement renseignables.
∇ Un objectif de redevabilité, tourné avant tout vers les sociétés civiles féministes que Féministes en Action cherche à renforcer. Il s’agit de s’assurer que l’action menée apporte une valeur ajoutée (« do not harm ») et que les conditions de mise en oeuvre sont cohérentes avec les valeurs féministes promues tout en tenant compte des exigences d’un bailleur de fonds publics.
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Endline Report: Maman Lumière III Project Project / Etude Endline: Projet Maman Lumière III
In response to the major findings and to help achieve the objectives of the State's Economic and Social Development Plan (PDES°), CARE in Niger has negotiated the third phase of the "Projet Maman Lumière III" project, whose interventions aim to break the cycle of malnutrition, particularly in contexts of recurring crises. Financed in January 2020 by the Ministry of Foreign Affairs of the Kingdom of Luxembourg for a period of 48 months, the objective assigned to this project is to contribute to a substantial and sustainable reduction in malnutrition among children under 2 and women aged 15-49 in poor households in the Zinder region by December 2023. At the end of four years of project implementation, and in accordance with contractual requirements with the donor, a final evaluation is carried out to assess the performance, quality of activities carried out, results and sustainability of the project.
The methodology used for this study is based on a sample survey with two (2) sampling levels. It targets children under 5 and their mothers. In addition to quantitative data, focus groups were held to gather qualitative data from communities and groups. In all, 412 households were surveyed in 21 villages by 3 teams.
___________
Pour faire face à des constats majeurs et contribuer ainsi à l’atteinte des objectifs du Plan de Développement Economique et Social de l’Etat(PDES°), CARE au Niger a négocié la troisième phase du projet « Projet Maman Lumière III » dont les interventions visent à briser le cycle de la malnutrition, en particulier dans des contextes de crises récurrentes. Financé en janvier 2020 par le Ministère des Affaires Etrangères du Royaume de Luxembourg pour une durée de 48 mois, l’objectif assigné à ce projet est de contribuer à une réduction substantielle et durable de la malnutrition des enfants de moins de 2 ans et des femmes 15-49 ans des ménages pauvres de la région de Zinder d’ici décembre 2023. En effet à l’issue de quatre ans de mise en œuvre du projet et conforment aux exigences contractuelles avec le bailleur une évaluation finale est conduite pour apprécier la performance, la qualité des activités réalisées, les résultats et la durabilité du projet.
Ainsi la méthodologie utilisée pour cette étude est basée sur une enquête par sondage à deux (2) degrés d’échantillonnage. Elle cible les enfants de moins de 5 ans et leurs mères. Au-delà des données quantitatives, des focus groupes ont été animés pour recueillir de données qualitatives auprès des communautés et groupements. Au total, 412 ménages ont été enquêtés dans 21 villages par 3 équipes.
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The methodology used for this study is based on a sample survey with two (2) sampling levels. It targets children under 5 and their mothers. In addition to quantitative data, focus groups were held to gather qualitative data from communities and groups. In all, 412 households were surveyed in 21 villages by 3 teams.
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Pour faire face à des constats majeurs et contribuer ainsi à l’atteinte des objectifs du Plan de Développement Economique et Social de l’Etat(PDES°), CARE au Niger a négocié la troisième phase du projet « Projet Maman Lumière III » dont les interventions visent à briser le cycle de la malnutrition, en particulier dans des contextes de crises récurrentes. Financé en janvier 2020 par le Ministère des Affaires Etrangères du Royaume de Luxembourg pour une durée de 48 mois, l’objectif assigné à ce projet est de contribuer à une réduction substantielle et durable de la malnutrition des enfants de moins de 2 ans et des femmes 15-49 ans des ménages pauvres de la région de Zinder d’ici décembre 2023. En effet à l’issue de quatre ans de mise en œuvre du projet et conforment aux exigences contractuelles avec le bailleur une évaluation finale est conduite pour apprécier la performance, la qualité des activités réalisées, les résultats et la durabilité du projet.
Ainsi la méthodologie utilisée pour cette étude est basée sur une enquête par sondage à deux (2) degrés d’échantillonnage. Elle cible les enfants de moins de 5 ans et leurs mères. Au-delà des données quantitatives, des focus groupes ont été animés pour recueillir de données qualitatives auprès des communautés et groupements. Au total, 412 ménages ont été enquêtés dans 21 villages par 3 équipes.
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Evaluation du Projet: Appui à l’Adaptation au changement Climatique et à Sécurité Alimentaire (PAACCSA/YANAYI)
Le Projet « Appui à l’Adaptation au changement Climatique et Sécurité Alimentaire (PAACCSA/YANAYI) » est une intervention de l’ONG CARE dans la région de Zinder sur une durée de 60 mois. Il a concerné 21 villages des communes de Gafati (Département de Mirriah), Albarkaram (Département de Damagaram Takaya) et Dakoussa (Département de Takeita) en raison de 7 villages par commune.
Le coût total du Projet est de 450 000 EURO, soit 295 180 650 FCFA.
Le Projet a trois (03) composantes à savoir : Appui à l’amélioration des stratégies, pratiques et techniques agro-sylvo-pastorales pour une adaptation réussie, Appui à l’amélioration de la planification et à l’adaptation à base communautaire (ABC) et Renforcement des capacités locales en matière de Gestion des Ressources Naturelles (GRN).
Pour évaluer le Projet, la méthodologie est le tirage aléatoire sur les producteurs, les membres des groupements et les services déconcentrés.
Après avoir obtenu la taille de l’échantillon des producteurs, elle a été repartie par localité et par sexe. Quant aux nombres des personnes à enquêter pour la collecte des données qualitatives, le nombre a été décidé lors de la réunion préparatoire mais le tirage des enquêtés était aléatoire.
S’agissant des données qualitatives, la taille de l’échantillon a été déterminée au cours de la réunion préparatoire avec l’équipe de CARE en charge de l’évaluation du Projet. Read More...
Le coût total du Projet est de 450 000 EURO, soit 295 180 650 FCFA.
Le Projet a trois (03) composantes à savoir : Appui à l’amélioration des stratégies, pratiques et techniques agro-sylvo-pastorales pour une adaptation réussie, Appui à l’amélioration de la planification et à l’adaptation à base communautaire (ABC) et Renforcement des capacités locales en matière de Gestion des Ressources Naturelles (GRN).
Pour évaluer le Projet, la méthodologie est le tirage aléatoire sur les producteurs, les membres des groupements et les services déconcentrés.
Après avoir obtenu la taille de l’échantillon des producteurs, elle a été repartie par localité et par sexe. Quant aux nombres des personnes à enquêter pour la collecte des données qualitatives, le nombre a été décidé lors de la réunion préparatoire mais le tirage des enquêtés était aléatoire.
S’agissant des données qualitatives, la taille de l’échantillon a été déterminée au cours de la réunion préparatoire avec l’équipe de CARE en charge de l’évaluation du Projet. Read More...
Evaluation finale du projet: Résilience et Cohésion Sociale des communautés transfrontalières du Liptako – Gourma (Burkina Faso, Mali, Niger)
Le projet « Résilience et Cohésion Sociale des communautés transfrontalières du Liptako-Gourma (RECOLG) au Burkina Faso, Mali et Niger », a pour objectif global « Améliorer les conditions de vie, la résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et face aux conflits et la cohésion sociale des populations vulnérables dans 13 communes de Liptako-Gourma dont 5 au Burkina Faso, 3 au Mali et 5 au Niger. Sa mise en œuvre est assurée par un consortium composé de huit organisations nationales et internationales dont Save the Children (lead), CARE, DRC, CRUS, AREN, RBM, Tassaght et Karkara, pour une durée de 48 mois et couvre la période décembre 2019 à décembre 2023.
En fin de mise en œuvre, le dispositif de suivi-évaluation-apprentissage du projet a prévu une évaluation finale (endline), axée sur le suivi des indicateurs basée sur le cadre de mesure de performance du projet sur les quatre années d’intervention du projet afin de générer des évidences permettant de comprendre dans quelle mesure les stratégies, approches et actions mises en œuvre ont contribué ou pas à l’obtention des effets attendus et inattendus à la lumière des éléments de contexte de la zone d’intervention des trois pays.
Pour mener à bien cette évaluation finale (endline), le cabinet Ingénierie Internationale en Décentralisation et Développement local (2ID) a adopté une démarche méthodologique participative en quatre phases : (i) la phase préparatoire qui a consisté d’abord à l’élaboration du rapport de démarrage (échantillonnage, outils de collecte de données et chronogramme), ensuite à la prise en compte des feedbacks et la validation du rapport de démarrage à travers des échanges par mail. En fin une réunion de cadrage de la mission s’est tenue le 25 octobre 2023 en présentiel dans les locaux de 2ID pour repréciser les attentes du commanditaire et prendre en compte les besoins du cabinet notamment la documentation et l’établissement d’une lettre d’accréditation pour l’équipe de collecte de données sur le terrain ; (ii) la phase de collecte de données sur le terrain, faite de quatre (4) principales étapes : la mobilisation des ressources humaines, la formation des enquêteurs, la collecte des données et la supervision de la collecte des données ; (iii) la phase de traitement et analyse des données collectées et (iv) la phase de rapportage et restitution.
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En fin de mise en œuvre, le dispositif de suivi-évaluation-apprentissage du projet a prévu une évaluation finale (endline), axée sur le suivi des indicateurs basée sur le cadre de mesure de performance du projet sur les quatre années d’intervention du projet afin de générer des évidences permettant de comprendre dans quelle mesure les stratégies, approches et actions mises en œuvre ont contribué ou pas à l’obtention des effets attendus et inattendus à la lumière des éléments de contexte de la zone d’intervention des trois pays.
Pour mener à bien cette évaluation finale (endline), le cabinet Ingénierie Internationale en Décentralisation et Développement local (2ID) a adopté une démarche méthodologique participative en quatre phases : (i) la phase préparatoire qui a consisté d’abord à l’élaboration du rapport de démarrage (échantillonnage, outils de collecte de données et chronogramme), ensuite à la prise en compte des feedbacks et la validation du rapport de démarrage à travers des échanges par mail. En fin une réunion de cadrage de la mission s’est tenue le 25 octobre 2023 en présentiel dans les locaux de 2ID pour repréciser les attentes du commanditaire et prendre en compte les besoins du cabinet notamment la documentation et l’établissement d’une lettre d’accréditation pour l’équipe de collecte de données sur le terrain ; (ii) la phase de collecte de données sur le terrain, faite de quatre (4) principales étapes : la mobilisation des ressources humaines, la formation des enquêteurs, la collecte des données et la supervision de la collecte des données ; (iii) la phase de traitement et analyse des données collectées et (iv) la phase de rapportage et restitution.
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EVALUATION FINALE: Projet d’accès à des services de protection pour les populations déplacées par le conflit du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO)
Le Projet d’Accès à des Services de Protection pour les populations déplacées par le conflit du nord-ouest et du sud-ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO) a été mis en oeuvre par un partenariat noué entre CARE Cameroun, récipiendaire principal et Horizons Femmes, pour une période de15 mois qui s’étend du 15/10/2022 au 30/03/2024 dans les départements de la Mifi et de la Menoua. L’objectif général de ce projet était d’améliorer l’accès à des services essentiels de protection pour les populations les plus vulnérables affectées (populations déplacées et hôtes) par les conflits des régions du Nord-ouest et Sud-ouest au Cameroun, dans les zones avoisinantes (Ouest), grâce à une réponse humanitaire coordonnée.
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...
Conflict and Climate Vulnerability and Capacity Analysis (CCVCA) Ségou region, Mali (GENRE+II Project))
The Ségou region of Mali is experiencing a steady increase in impacts from climate change, such as more erratic and reduced rainfall, increased temperatures, intensified seasonal flooding when rains do occur, and increased incidence of human and livestock diseases. These impacts interact with population pressures and natural resource management challenges to affect historical land use practices, such as agriculture and pastoralism, in the semi-urban and rural communes within the cercles of Baraouéli, Bla and Ségou. In these communes, women engage in a range of livelihood and subsistence activities related to natural resources, such as market gardening and forest product harvesting, often significantly augmenting household income. Therefore, it is important to include women in conflict resolution mechanisms over land and water, accounting for a scenario where climate impacts are predicted to intensify.
The Genre++ project, funded by the UK’s Foreign, Commonwealth and Development Office (FCDO), works with communities to identify and address interrelated causes and impacts of climate vulnerability, conflict and gender inequality. A novel Climate and Conflict Vulnerability and Capacity Assessment (CCVCA) tool was used to carry out a rapid participatory analysis of vulnerabilities and adaptive capacity with representatives from 12 communes in Ségou region (144 female, 156 male) from 9 to 20 March 2023. This report summarises the results of this analysis, discussing how climate change has interacted with other economic and demographic pressures to create tensions around natural resource management. It also details the community members’ current responses, as well as their recommendations for future action. Read More...
The Genre++ project, funded by the UK’s Foreign, Commonwealth and Development Office (FCDO), works with communities to identify and address interrelated causes and impacts of climate vulnerability, conflict and gender inequality. A novel Climate and Conflict Vulnerability and Capacity Assessment (CCVCA) tool was used to carry out a rapid participatory analysis of vulnerabilities and adaptive capacity with representatives from 12 communes in Ségou region (144 female, 156 male) from 9 to 20 March 2023. This report summarises the results of this analysis, discussing how climate change has interacted with other economic and demographic pressures to create tensions around natural resource management. It also details the community members’ current responses, as well as their recommendations for future action. Read More...
Rapid Gender Analysis on Power and Participation Ségou region, Mali (GENRE+II PROJECT)
This Rapid Gender Analysis on Power and Participation (RGA-P) is part of the GENRE+II project in the cercles of Bla, Ségou and Barouéli in the Ségou region of Mali. The project is funded by the Foreign and Commonwealth Office (FCDO) to build capacity for climate change adaptation, gender equality and social cohesion in the Ségou region.
This RGA-P is the first step in CARE's Women Lead in Emergencies (WLiE) model. It summarises the impact of the crisis on gender roles and relations, the capacity of women/girls to cope, participate and influence decision-making in response to the crisis, and offers ideas on how women can strengthen their own participation and leadership. The RGA-P is based on secondary and primary data collection carried out in March 2023 in eight communes in the cercles of Ségou, Bla and Barouéli in the Ségou region. Read More...
This RGA-P is the first step in CARE's Women Lead in Emergencies (WLiE) model. It summarises the impact of the crisis on gender roles and relations, the capacity of women/girls to cope, participate and influence decision-making in response to the crisis, and offers ideas on how women can strengthen their own participation and leadership. The RGA-P is based on secondary and primary data collection carried out in March 2023 in eight communes in the cercles of Ségou, Bla and Barouéli in the Ségou region. Read More...
PROGRAMME QUINQUINAL MWANAMKE AMANI NA USALAMA (MAnU 2.0) RAPPORT D’EVALUATION MI-PARCOURS DU PROGRAMME EN RDC ET AU BURUNDI
Cette étude évalue le programme MAnU 2.0, contraction de Mwanamke, Amani na Usalama 2.0 (traduction de Femmes, Paix et Sécurité). Il s’agit d’un programme mis en oeuvre au Burundi et en République Démocratique du Congo, par un Consortium composé de deux organisations néerlandaises dont Mensen met een Missie (MM) (organisation lead) et CARE Nederland et d’une organisation régionale SPR (Synergie des Femmes pour la Paix et la Réconciliation des Peuples des Grands Lac), en partenariat avec des organisations nationales dans les deux pays d’intervention du programme. Il s’agit d’une évaluation à mi-parcours, puisque le programme couvre la période 2021-2025.
L’objectif global du programme est le suivant : « Les femmes et les filles en RDC et au Burundi participent de manière significative à la prévention, à la résolution, à la médiation des conflits, à la protection et à la consolidation de la paix ». Afin d’atteindre cet objectif, le programme met en oeuvre une stratégie axée sur des activités de sensibilisation et de réflexion, le renforcement des capacités des organisations de la société civile, des leaders communautaires, autorités locales et des réseaux de base ainsi que le lobbying et le plaidoyer aux niveaux local, provincial, national et régional pour accroître la participation des femmes dans les instances de prise de décisions.
Pour vérifier l’atteinte de cet objectif, IRSAC a mis en oeuvre une méthodologie mixte, combinant méthodes quantitatives (réalisées au moyen d’un questionnaire) et méthodes qualitatives (à travers l’organisation de Focus Groupes et d’entretiens semi-structurés), complétés par la recherche documentaire.
La présente évaluation s’est concentrée sur la pertinence, la cohérence et l’efficacité aussi bien du programme lui-même (la gouvernance du programme, le partenariat et le niveau d’atteinte des résultats) que de la stratégie mise en oeuvre.
L’étude a évalué l’efficacité de la structure de gouvernance de MAnU 2.0 et le partenariat au sein de MAnU 2.0 et vérifié la mesure dans laquelle cette structure a contribué à l’atteinte des objectifs du consortium en matière de participation effective des organisations partenaires et groupes cibles dans la prise de décisions. Quant au partenariat au sein et en dehors de MAnU 2.0, l’évaluation a analysé son caractère équitable et sa valeur ajoutée en matière de promotion de la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Ce faisant, l’étude conclut que la structure de gouvernance MAnU.2.0, composée de différentes entités couvrant le niveau local jusqu’au niveau régional (cf. infra), offre aux groupes cibles la possibilité de participer et d’influencer la prise des décisions au niveau local jusqu’au niveau régional, à travers en particulier, leur participation dans les réunions des Equipes de Coordination Locale aux niveaux des axes ( Nord Kivu, Sud Kivu et Burundi) et que leurs points de vue peuvent être ramenés au niveau du CRG à travers les points focaux des axes qui participent aux assises du CRG. Read More...
L’objectif global du programme est le suivant : « Les femmes et les filles en RDC et au Burundi participent de manière significative à la prévention, à la résolution, à la médiation des conflits, à la protection et à la consolidation de la paix ». Afin d’atteindre cet objectif, le programme met en oeuvre une stratégie axée sur des activités de sensibilisation et de réflexion, le renforcement des capacités des organisations de la société civile, des leaders communautaires, autorités locales et des réseaux de base ainsi que le lobbying et le plaidoyer aux niveaux local, provincial, national et régional pour accroître la participation des femmes dans les instances de prise de décisions.
Pour vérifier l’atteinte de cet objectif, IRSAC a mis en oeuvre une méthodologie mixte, combinant méthodes quantitatives (réalisées au moyen d’un questionnaire) et méthodes qualitatives (à travers l’organisation de Focus Groupes et d’entretiens semi-structurés), complétés par la recherche documentaire.
La présente évaluation s’est concentrée sur la pertinence, la cohérence et l’efficacité aussi bien du programme lui-même (la gouvernance du programme, le partenariat et le niveau d’atteinte des résultats) que de la stratégie mise en oeuvre.
L’étude a évalué l’efficacité de la structure de gouvernance de MAnU 2.0 et le partenariat au sein de MAnU 2.0 et vérifié la mesure dans laquelle cette structure a contribué à l’atteinte des objectifs du consortium en matière de participation effective des organisations partenaires et groupes cibles dans la prise de décisions. Quant au partenariat au sein et en dehors de MAnU 2.0, l’évaluation a analysé son caractère équitable et sa valeur ajoutée en matière de promotion de la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Ce faisant, l’étude conclut que la structure de gouvernance MAnU.2.0, composée de différentes entités couvrant le niveau local jusqu’au niveau régional (cf. infra), offre aux groupes cibles la possibilité de participer et d’influencer la prise des décisions au niveau local jusqu’au niveau régional, à travers en particulier, leur participation dans les réunions des Equipes de Coordination Locale aux niveaux des axes ( Nord Kivu, Sud Kivu et Burundi) et que leurs points de vue peuvent être ramenés au niveau du CRG à travers les points focaux des axes qui participent aux assises du CRG. Read More...