GBV
Alma Llanera II – año 2-Estudio de satisfacción sobre servicios promovidos por el proyectos
CARE Perú viene ejecutando el Proyecto “Alma Llanera” (el Proyecto) en las regiones de Lima, Callao, La Libertad, Piura y Tumbes, cuyo objetivo es que los refugiados venezolanos y los miembros vulnerables de las comunidades de acogida en Perú tengan acceso seguro y constante a servicios de protección y asistencia humanitaria. El Proyecto busca alcanzar su objetivo a través de la promoción de un mayor acceso a servicios de protección, servicios de salud, y servicios de salud mental y apoyo psicosocial.
El objetivo del estudio es medir el nivel de satisfacción de la población migrante o refugiada venezolana atendida por el Proyecto Fase II en los servicios de protección, salud y salud mental y apoyo psicosocial. Read More...
El objetivo del estudio es medir el nivel de satisfacción de la población migrante o refugiada venezolana atendida por el Proyecto Fase II en los servicios de protección, salud y salud mental y apoyo psicosocial. Read More...
Diagnóstico de la situación de las mujeres en el sector textil de la zona comercial de Gamarra
El objetivo del presente estudio es establecer un diagnóstico cualitativo sobre la situación de las trabajadoras del sector textil en el distrito de La Victoria en Lima, específicamente en el área de Gamarra; identificar las motivaciones e intereses de las mujeres trabajadoras del sector, así como las condiciones (ventajas y desventajas) que les permitan atender y exigir sus principales necesidades para su desarrollo personal y laboral. Read More...
ELLA ALIMENTA AL MUNDO – PERÚ-Informe Final de Evaluación
CARE PERÚ, desde abril 2019 a diciembre 2022 implementa el proyecto “Ella Alimenta al Mundo”- EAM (SFtW - She Feeds the World - por sus siglas en inglés), programa lanzado en varios países por la Fundación PepsiCo a través de CARE USA. El propósito del proyecto ha sido reducir la desnutrición crónica y la anemia en niñas y niños menores de 5 años e incrementar los ingresos de 4,000 familias pobres que residen en 4 distritos priorizados, correspondiente a las provincias de Lima, Ica y Sullana con enfoque de género. El grupo objetivo son niñas y niños menores de 5 años y mujeres gestantes. Read More...
Integrating Sexual and Reproductive Health and Gender Based Violence Programming
Learning brief on CARE's sexual and reproductive health (SRH) and gender-based violence (GBV) implementation programming in in Cox’s Bazar (CxB), Bangladesh, home to nearly a million refugees from Myanmar. Read More...
PROHORI: Combating Intimate Partner Violence in Bangladesh in the Context of COVID-19
In July 2021, CARE Bangladesh and its local partner GBK launched the Prohori project to prevent intimate partner violence (IPV) and respond to survivors of violence through safe spaces, behavior change communication and capacity building approaches that address gender norms and practices. The 12-month project was generously funded by Voices Against Violence: The Gender-Based Violence Global Initiative, a public-private partnership led by Vital Voices and funded with support from the State Department and the Avon Foundation. The project targeted female garment workers and their male partners in Gazipur District, and female agricultural workers and their male partners in Rangpur District. CARE implemented activities in four locations in Gazipur, a peri-urban industrial area in central Bangladesh, and GBK implemented activities in five locations in Rangpur in northwest Bangladesh. Prohori used a blend of community-based, participatory approaches to prevent IPV, improve IPV survivors’ linkages to post-GBV referral services, and strengthen the capacity of first responders to respond empathetically to people who disclose they have experienced GBV. The project built 9 Women and Girls’ Safe Solidarity Spaces (WSSSs, adding to the 18 that CARE had already established in Gazipur) and strengthened GBV services through capacity building and referral service coordination. Read More...
RAPPORT ETUDE DE BASE ET ANALYSE GENRE PROJET PASEPRO
La stratégie pluriannuelle 2022-2027 de CARE Cameroun vise à toucher 250 000 personnes affectés par les crises, à travers une réponse humanitaire sensible au genre. La prévention et la réponse à la violence, en particulier aux violences basées sur le genre (VBG), est un axe central de cette stratégie. Au vu des nombreux besoins humanitaires non couverts dans la région de l’Ouest Cameroun, CARE souhaite étendre son action humanitaire dans cette région. C’est ainsi qu’avec l’appui du Centre de Crise et de Soutien (CDCS), CARE Cameroun en partenariat avec Horizons Femmes mettent en oeuvre le projet dénommé PASEPRO dans les districts de santé de la Midi et de Santchou sur une période de 15 mois. Ce projet vise spécifiquement à prévenir et répondre aux risques de violence, abus et exploitation encourus par les personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d’accueil à travers des mécanismes communautaires et une meilleure coordination des acteurs. Dans une logique d’intégration transversale du genre, l’étude de base de ce projet a été couplé à l’analyse genre. Cette étude s’est appuyée sur des statistiques descriptives secondaires et des données d’enquête primaires(quantitatives) combinées à des examens structurés de documents, des groupes de discussion et des entrevues semi-structurées (qualitatives). Les résultats de cette étude mettent en exergue que le déplacement des personnes à la suite des conflits vers les deux départements a fortement influencé la division du travail d’après 54,39% personnes enquêtées. Les décès enregistrés au sein des ménages tout comme les occupations liées à la recherche des moyens de subsistance ont conduit certaines femmes à faire établir des actes de naissances. Une diminution dans l’accès aux ressources est constatée exception faite de l’accès à l’information. Ce déclin dans l’accès aux ressources tant pour les hôtes que pour les déplacés interne entraine l’émergence du travail journalier. Il convient cependant de préciser qu’avant la crise, les principaux moyens de subsistance étaient : l’agriculture (31,34%), le petit commerce (21,35%) et les travaux journaliers (6,12%) contre respectivement (27,94%) agriculture ; (25,27%) le petit commerce et (16,33%) les travaux journaliers. Une spécificité est tout de même observée pour les personnes en situation de handicap qui ont recours à la mendicité bien que l’on observe une tendance au désir d’autonomisation pour les personnes de sexe féminin en situation de handicap. Davantage de femmes (55,87%) que d’hommes (32,65%) estiment pouvoir prendre la décision dans l’achat ou la vente des actifs de manière unilatérale. Cette tendance ne s’observe pas pour ce qui concerne la santé où les hommes sont ceux qui prennent la décision dans la majorité des cas. La situation est davantage difficile pour ceux qui en plus de ces identités liées au sexe porte l’identité du handicap. Ces derniers sont perçus par la communauté comme des personnes ne pouvant pas exercer le leadership communautaire. S’agissant de l’accès aux services, 12,72% des personnes enquêtées ne disposent d’aucun document d’état civil. Seulement 37% des personnes consultées dans le district de Santchou ont accès aux soins de santé. Il convient également de préciser que bien que 78,96% des personnes consultées au cours de cette étude possèdent des comptes Mobile Money seulement 25,43% d’entre elles affirment disposer les comptes Mobile Money enregistrés à leurs noms. Read More...