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Recherche formative sur les services liés à l’avortement dans le Nord-Kivu, RDC : conclusions tirées des résultats des structures soutenues et zones desservies par CARE dans les zones de santé de Kayna et Lubero

En collaboration avec l’Initiative RAISE, CARE a commencé à soutenir le Ministère de la Santé Publique (MSP) de la RDC, en 2009, pour fournir des services de contraception dans l'aire de santé de Kasongo dans la province du Maniema. Le programme Supporting Access to Family Planning and Post-Abortion Care in Emergencies [Soutenir l’accès à la planification familiale et aux soins après avortements dans les situations d’urgence] (SAFPAC) a appuyé 19 structures sanitaires dans les aires de santé de Lubero, Kayna et Kasongo (provinces du Nord-Kivu et du Maniema) dans un secteur couvrant environ 320 000 personnes sur la période 2011 – 2015. Le programme soutient actuellement 48 structures sanitaires dans les aires de santé de Lubero, Kayna et Butembo dans le Nord-Kivu et dessert une population d'environ de 915 538. Cet appui inclut le renforcement des capacités et la supervision facilitante des prestataires de service, grâce à la mise à disposition d'équipements et de fournitures pour les structures, à la sensibilisation et la mobilisation communautaire, et à terme, la prestation de services de contraception et de soins après avortement par le personnel formé dans les structures relevant du MSP. (60 pages) Read More...

Rapport d’evaluation Finale du Projet de Soins de Sante Primaire et Protection/VBG

Le projet soins de santé primaires et protection VBG est un projet qui vise à fournir des soins de santé primaires d'urgence et une réponse à la violence sexiste aux communautés déplacées et hôtes avec un meilleur accès aux soins de santé primaires, dans les zones de santé de BUTEMBO et LUBERO, il comprend un volet accès à la réponse à la violence basée sur le genre, ainsi qu'à des messages sur la prévention des IST et des grossesses non désirées, la prévention de la violence sexiste, l'information et la prévention en matière de Santé Sexuelle et Reproductive, maladies d'origine hydrique, y compris la prévention du choléra.

Tous les indicateurs tel que défini dans le projet ont fait l’objet d’une analyse triangulée qui a permis de mettre en exergue l’état actuel (final) de chaque indicateur dans la zone de mise en oeuvre du projet comparativement à l’état initial des indicateurs lors de l’évaluation de base.

Ainsi dans le premier out come, soutient au système de santé, il a été constaté que toutes les structures ciblées par le projet ont été appuyées lors de la mise en oeuvre du projet, il s’est remarque une augmentation des consultations curatives à hauteur de 121667 grâce à l’appui accordé par le projet OFDA dans les différentes structures sous appuie, une réhabilitation de 6 structures et deux BCZS dans les deux zones de santé a été possible grâce à l’appui du projet, mais aussi une augmentation significative dans le rapportage des données épidémiologiques qui est passé de 83% lors de la Baseline à 93.1% après la mise en oeuvre du projet. Cette performance a été possible grâce à l’appui apporté par le projet à travers le renforcement des prestataires des soins de santé et des volontaires communautaires sur la surveillance et le rapportage des maladies communautaires.

Dans le deuxième out come, Santé de la reproduction, il a été constaté que toutes les structures ont connu une baisse de fréquentation de CPN, CPON et CPS suite à la situation de la MVE qui se vie dans les deux zones de santé, certaines structures ont été contraints à une fermeture temporaire suite au vandalismes des infrastructures sanitaires par la population de ces aires de santé ( environnement sanitaire dégradé, biens des FOSA saccagé , certaines structures brulés) résultats de la méfiance qu’à la population pour la riposte à la MVE, cela a fait que certaines femmes ne fréquentes plus le CPN et CPON et se fassent à coucher à la maison de la manière traditionnel au risque de mettre leur vie en péril.

Dans le troisième out come, maladies communicables, les structures ont rapporté une augmentation des cas des diarrhées, paludismes, IRA, cette augmentation est due au fait qu’à travers les sensibilisations faites à travers les activités du projet, et le renforcement des capacités des volontaires communautaires sur la surveillance communautaire (identification et rapportage des maladies communautaires courantes) plusieurs cas ont été rapporté et prise en charge dans les 22 structures appuyées dans les 2 zones de santé.

Dans le quatrième out come, (santé communautaire ; les résultats issus de cette enquête montrent que là plus part des RECOs identifiées ont été formé et sensibilisé sur la surveillance communautaire à travers plusieurs formations sur la prise en charge des maladies communautaires courantes, et à travers plusieurs dialogues communautaires Read More...

Projet : « L’Autonomisation des femmes et des jeunes dans le cadre du projet RESILAC/GENRE, financement DFID

Le projet « L’Autonomisation des femmes et des jeunes dans le cadre du Projet RESILAC» sous le financement DFID est une réponse aux besoins des populations déplacés et hôte de Bagassola, Nguelea 1 et 2, Bol afin de renforcer le genre. D’un coût total 561 000 €, il a été mis en œuvre pour une durée de 11 mois (juin 2019 – avril 2020). Il vise spécifiquement à renforcer le rôle et responsabilité de genre dans le cadre du projet RESILAC.
 Pertinences : Le projet a répondu aux attentes des bénéficiaires, il a contribué à modifier le regard sur le genre et a abordé la constructions sociales et des relations de pouvoir homme/femme, de la perception de leur place et rôle respectif au sein du ménage et de la communauté, le renforcement des mécanismes de prévention/protection et de prise en charge des violences basées sur le genre Formation en leadership pour les membres de groupements (AVEC, groupements de producteurs, groupes de femmes, etc.). Le projet a contribué à travers ses actions, au développement des Plans de développement Locaux. Il a été et reste novateur aujourd’hui dans la province.
 Impact : Le projet a permis de renforcer le cadre légal et institutionnel en matière de genre/VBG. En outre le projet a consolidé la synergie d’action entre les différents acteurs dans le cadre de la prévention et la prise en charge des cas de VBG. Dans le cadre de l’accès des victimes de VBG aux structures adéquates via la synergie d’action entre les acteurs humanitaires de la zone, l’on note aussi que le projet a contribué à la formation des acteurs et/ou les parties prenantes sur le VBG pour une meilleure offre de services et ou compréhension du thématique. Des stratégies de prévention et lutte contre les VBG ont été proposées et fournies aux bénéficiaires et aux services techniques déconcentrés de l’Etat dans la province. L’approche d’intervention des acteurs sur le système de remontée et de gestion de cas de VBG a été améliorée et l’évaluation note un début de changement. L’impact est positif sur les acteurs, notamment ceux des comités départements d’action (CDA) qui est une entité étatique composé des différents services déconcentrés de l’Etat dont le préfet préside les rencontres. Cette entité, veille sur les activités des acteurs humanitaires intervenants dans la zone, etc.

 Efficacité : L’appréciation de l’efficacité se basant sur l’atteinte des résultats à travers la comparaison des réalisations aux prévisions. Il ressort que les activités du Projet ont été réalisées avec un niveau d’efficacité très appréciable. En effet, au-delà de la pertinence de son approche et les résultats positifs obtenus par le projet, les témoignages des bénéficiaires et des acteurs impliqués dans la mise en œuvre corroborent cet état de fait.
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Assistance en abris et protection contre les violences basées sur le genre aux ménages vulnérables parmi les nouveaux réfugiés et de la communauté hôte dans le Département de Bahr Sarah (Moissala) au Sud du Tchad

Présente au Tchad depuis 1974, CARE International est l’une des principales organisations internationales engagées dans la lutte contre la pauvreté et l’injustice sociale. Ses actions sont menées en faveur des populations les plus pauvres parmi lesquelles les communautés hôtes vulnérables, les réfugiés centrafricains et les retournés tchadiens de la RCA notamment dans les Provinces du Moyen Chari, du Logone Oriental et du Mandoul avec l’appui financier de ECHO, BPRM, START FUND, SAF-PAC, UNFPA, MOFA, UNHCR, etc. En effet, dans la zone de Moissala (Département Bar Sarah), le 21 février 2018, un afflux de nouveaux réfugiés en provenance de la RCA a encore été signalé et ce, dans une situation de vulnérabilité due à l’insuffisance des denrées alimentaires, des abris et d’ouvrages sanitaires et où les cas de violence sont récurrents. Ce qui a eu un impact significatif sur les moyens d'existence dans les villages d’accueil.
En réponse aux conséquences humanitaires de cette crise, CARE a obtenu l’appui financier de MOFA GERMANY pour la mise en œuvre du projet dénommé « Assistance en abris et protection contre les violences basées sur le genre aux ménages vulnérables parmi les nouveaux réfugiés et de la communauté hôte dans le Département de Bahr Sarah (Moissala) au Sud du Tchad ». Les besoins humanitaires pour lesquels le projet entend apporter sa contribution concerne trois secteurs majeurs à savoir les abris, les articles ménagers et la protection.
C’est dans ce cadre qu’il est prévu de réaliser cette évaluation finale interne afin de mesurer l’impact du projet, capitaliser les leçons apprises et formuler des recommandations pour l’amélioration des projets futurs.
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« ETUDE SUR LES DETERMINANTS DANS LES DROITS D’ACCCES DES FEMMES A LA TERRE DANS LES REGIONS DE SEGOU MOPTI ET TOMBOUCTOU »

Le Mali comme plusieurs pays de la sous-région ont entrepris des reformes, visant à assurer à tous les citoyens, y compris les femmes et les autres groupes marginalisés, un accès plus sécurisé à la terre et aux ressources naturelles. Malgré ces actions efforts, l’application sur le terrain des lois relatives au foncier connaît de sérieuses difficultés. C’est ainsi que depuis quelques années, les institutions internationales, les ONG dont Care, les groupes de pression et les associations de femmes réclament une meilleure prise en charge
par les autorités des véritables problèmes qui entravent l’accès équitable des femmes à la terre et aux autres ressources naturelles et qui constituent un obstacle à une meilleure productivité économique et au progrès social.
Pour Care les sociétés ne peuvent prospérer durablement quand la moitié de leur population voit ses droits bafoués. Il est donc nécessaire d’équilibrer les relations entre les femmes et les hommes. C’est dans cette perspective que CARE Mali a commandité une l’étude « Accès des femmes et des filles au foncier dans les zones d’intervention du projet PFE-GS », étude dont les résultats attendus sont les suivants :
o Les cause socio-culturelles et politiques qui déterminent les difficultés d’accès des femmes
et filles à la terre sont cernées ;
o Les causes/déterminants potentiels sont analysées et des leviers (axes d’intervention) sont
proposés au projet ;
o Les manifestations/conséquences de cette difficulté d’accès des femmes à la terre sur
leurs conditions de vie sont identifiées ;
o Les lacunes qui persistent dans ces stratégies/actions de plaidoyer sont identifiées et des
propositions de solutions pertinentes sont identifiées ;
o Les femmes ont donné leurs appréciations de cette situation ;
o Les actions de plaidoyer menées par les femmes sont identifiées ainsi que les effets de ces
actions ;
o Les solutions sont proposées pour améliorer leur situation. Read More...

EVALUATION FINALE DU PROJET « RENFORCEMENT DE LA RESILIENCE DES PASTEURS ET AGRO-PASTEURS POUR UNE SECURITE ALIMENTAIRE NUTRITIONNELLE DURABLE FACE AUX EFFETS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE DANS LA PROVINCE DE BILTINE DANS WADI FIRA».

Le Tchad, de par sa situation géographique est devenu un lieu de refuge pour des milliers de réfugiés des Etats frontaliers (RCA, Libye Nigeria et Soudanais). De plus, en raison des conditions climatiques difficiles, de nombreuses régions du Tchad, parmi lesquelles celle de Wadi Fira, se retrouve confrontéé à des défis sociodémographiques et économiques. Il en résulte de cette situation des crises alimentaires récurrentes, une pression démographique, un accès très limité aux besoins de première nécessité de tous les groupes de populations, un manque de circulation de devise, une pression énorme sur les ressources naturelles, un accès limité aux surfaces arables cultivables, une réduction du niveau de production et d’auto-approvisionnement des populations, un espace de pâturage limité, etc. Face à cette problématique d’actualité, les impacts du changement climatique se font sentir dans l’agriculture, l’élevage, la santé, l’habitat et d’autres domaines quotidiennement. Les terres sont souvent sujettes à des effets ou impacts néfastes des changements climatiques comme la sécheresse, l’’inondation, l’érosion, les grands vents, la pauvreté, la chaleur atroce, la rareté des pluies, les pluies parfois abondantes, les conflits auxquels s’ajoutent l’insécurité.
C’est pourquoi, CARE International, à travers ses trois piliers programmatiques, a à son portefeuille plusieurs projets parmi lesquels le projet « Renforcement de la résilience des pasteurs et agro-pasteurs pour une sécurité alimentaire et nutritionnelle durable face aux effets du changement climatique dans la province de Biltine dans Wadi Fira ». En effet, il convient de noter que ce projet vise à contribuer à une amélioration durable des conditions de vie vulnérables de cette partie de la population en besoin d’assistance dans cette partie du Tchad. Il importe de préciser que ce projet a pris en compte la sécurité alimentaire, la nutrition, la santé, le genre, la consolidation de la paix et le WASH grâce à l’appui financier du Gouvernement Allemand.
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COOPERER III Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID 19 RAPPORT DE L’ÉTUDE DE BASE

CARE International au Cameroun a obtenu à travers CARE France un soutien financier du Centre de Crise et de Soutien (CDCS) du Ministère français de l'Europe et des Affaires Etrangères, pour implémenter le projet : « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la Covid-19 », en abrégé « COOPERER III » ou encore « ResCOV-19 », sur le corridor Kaélé-Touloum-Yagoua dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, sur la période du 1er Avril 2021 au 31 Mars 2022. S’inscrivant dans la continuité de ses actions entrepris à travers les projets COOPERER I et COOPERER II dans ces localités (Kaélé, Touloum et Yagoua), CARE se propose de poursuivre le soutien de la résilience économique et de protéger les moyens de subsistance des femmes et des jeunes touchés directement ou indirectement par la Covid-19, en valorisant les acquis des précédents projets.
L’action de CARE Cameroun dans ces Communes est de : « Contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’accès à l’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19 dans la Région de l’Extrême-Nord du Cameroun, Axe Kaélé-Touloum-Yagoua ». De manière spécifique il sera question de : (1) Renforcer et sensibiliser le personnel des communes et les communautés sur la protection Covid et la gouvernance autour des infrastructures sociales de base (point d’eau, hygiène), dans les communes de Kaélé, Touloum et de Yagoua, (2) Améliorer l’accès des femmes et les jeunes dans les zones Kaélé, Touloum et Yagoua, aux opportunités économiques via une approche de sensibilisation et développement économique.
Le présent document est le résultat et les analyses des données de la collecte des données e l’étude menées du 07 au 14 Avril 2021 dans les Communes de Kaélé, Touloum et Yagoua auprès de 407 personnes dont 64% de femmes :
▪ 02 membres de l’exécutif municipale ;
▪ 04 Responsables des districts de santé et formation sanitaires ;
▪ 323 (dont 248 femmes), anciens membres d’AVEC issus des projets COOPERER I et COOPERER II ;
▪ 39 (dont 04 femmes) membres des Comités de gestions des forages ;
▪ 05 leaders traditionnels et d’opinion dans les localités cibles des projets COOPERER I et II ;
▪ 32 membres Micro-assurance communal des forages,
▪ 02 Représentantes des réseaux des associations féminines
Cette étude a été conduite pour établir un référentiel des indicateurs du projet COOPERER III et pour servir de base de calcul, en vue d’apprécier toute évolution ou variante pour chaque indicateur à la fin du projet.
Les principales recommandations issues de cette étude vont dans le sens de :
▪ Poursuivre la sensibilisation des CGPE sur l’importance de leur adhésion à la micro-assurance ;
▪ Organiser un recyclage/formation des membres des CGPE et de la micro-assurance sur leurs rôles et responsabilités ;
▪ Accompagner les bureaux de micro-assurance à l’élaboration des statuts et règlements intérieurs (pour celles qui n’en disposent pas) ;
▪ Définir clairement les responsabilités des communes vis-à-vis de la micro-assurances des forages ;
▪ Faire un plaidoyer auprès de l’exécutif municipal pour qu’ils apportent un appui au fonctionnement de la micro-assurance notamment en ce qui concerne l’acquisition d’un bureau ;
▪ Renforcer la dynamique associative à travers la redynamisation/création des réseaux d’AVEC fortes et interconnectées ;
▪ Poursuivre le processus d’autonomisation des femmes via le renforcement des capacités en matière de leadership, d’entrepreneuriat y compris le pouvoir de négociation.
Ce document s’articule autour des points suivants : La partie introductive, la méthodologie de l’étude, les résultats de l’étude par indicateurs, la conclusion et les recommandations issue de l’étude. Read More...

ÉVALUATION FINALE ET LA CAPITALISATION DU PROJET « RELÈVEMENT ET RENFORCEMENT FINANCIER DES POPULATIONS VULNÉRABLES AFFECTÉES PAR LA COVID-19 (COOPERER III) »

Pour contribuer à la lutte contre la pandémie Covid-19 initiée par le gouvernement camerounais, l’ONG de développement CARE International au Cameroun a mis en place le projet « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID-19 », en abrégé « ResCOV-19 » ; soit COOPERER III avec l’appui financier du Centre de crise et de Soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères. Le projet est exécuté dans les communes de Kaélé et Touloum du département de mayo kani et la Commune de Yagoua du département de Maayo Danay, et avait pour objectif de contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19, sur la période allant du 1er janvier 2021 au 31 Mars 2022 soit une durée globale de 15 mois.
Arrivé à son terme, une mission d’évaluation externe a été réalisée pour renseigner les critères usuels d’évaluation que sont la pertinence, la cohérence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et l’impact.
Cette mission a utilisé une approche mixte qui combine les techniques qualitatives et quantitative pour obtenir les données aussi bien primaires que secondaires. A la suite de la première phase de revue documentaire, une collecte des données primaires a été réalisée auprès des personnes ressources pour ce qui concerne les entretiens et focus-group et dans les ménages et auprès des membres des AVEC d’une part et l’inventaire des points d’eau d’autre part avec les outils d’enquête par questionnaires. Ces outils ont été déployés dans les 03 communes du projet Kaélé, Touloum et Yagoua. Une répartition de 70% et 30% respectivement pour les bénéficiaires, membres des AVEC et les ménages non bénéficiaires a été observée. Pour la constitution de l’échantillon des membres des AVEC, 70% des femmes et 30% des hommes ont été définis. La méthodologie mise en place a permis de réaliser 29 personnes (05 femmes et 24 hommes) lors des entretiens avec les personnes ressources, 18 focus group (07 Comités de gestion des points d’eau, 08 AVEC et 03 micro-assurances) avec 88 femmes et 87 hommes et d’administrer 576 questionnaires (Membres des AVEC, Ménages) soit 435 femmes et 141 hommes. Après la collecte par questionnaires grâce à l’application de collecte numérique (Kobocollect), s’en est suivi la phase d’apurement et traitement dans Excel.
Malgré le retard constaté dans la mise en oeuvre de certaines activités du fait du Covid – 19, 39 649 personnes dont 22 655 femmes (soit 57 %) (Sans double comptage) ont été sensibilisées directement dans les communautés, par porte à porte et séance en groupe de 15 à 30 personnes, sur les thématiques tels que la prévention de la COVID-19 et le respect des règles d’hygiène et de salubrité, le civisme, le genre, le planning familiale, etc. le projet a également couvert environ 150 000 habitants suite à la diffusion des messages radiophoniques de sensibilisation.
L’analyse des différentes questions d’évaluation montre que le projet COOPERER III est cohérent car il s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 et dans le plan riposte contre la Covid-19 du Cameroun. Le projet s’aligne également aux lois et aux directives nationales et sectorielles et à la mission de Care qui vise à sauver des vies, vaincre la pauvreté et parvenir à la justice sociale. Du point de vue de sa pertinence, le projet apporte une réponse aux besoins spécifiques des différentes catégories de cibles (femmes, hommes et jeunes hommes, jeunes femmes) et des populations et a mis en place des approches et mécanismes de suivi-évaluation des activités du projet adaptées pour la mesure des résultats.
Le projet dans sa globalité a contribué aux changements des comportements au sein des AVEC, au sein de leurs ménages et leur statut social au sein de leurs communautés ; à l’équipement des AVEC ; au renforcement des capacités des membres des associations. En terme de changement, il a été constaté que : (i) les membres de comités de gestion des points d’eau formés nettoient et entretiennent leur point d’eau, (ii) les membres des AVEC tiennent des AGR et organisent régulièrement des réunions et sont engagés à réaliser une activité propre à leur AVEC ; (iii) que les personnes sensibilisées sur les bonne pratiques d’hygiènes font plus attention dans la manipulation des denrées alimentaires ; etc. Outre ces changements, le respect des règles d’hygiène (lavage des mains, des toilettes et récipients d’eau, etc.) et des mesures anti Covid-19 (port des masques facials, distanciation sociale, etc.) par les bénéficiaires s’est accru grâce aux activités du projet. Le projet a également permis aux bénéficiaires directs et indirects d’améliorer leurs connaissances, attitudes et pratiques sur plusieurs aspects. Il s’agit notamment des mesures de prévention et de protection contre le COVID-19, l’hygiène autour des points d’eau, mais également les connaissances des membres des AVEC sur des thématiques telles que la comptabilité simplifiée pratique, l’entrepreneuriat, le marketing, les techniques d’animation et de sensibilisation des groupes, etc… Read More...

Rapport Etude Prospective Des Sites de Bassins Versants a Douentza et Bandiagra

En vue de préparer la mise en œuvre par USAID-Harande Programme de l’approche watershed management pour FY2018, des actions préparations sont en train d’être mise en œuvre. C’est dans ce cadre que, une équipe technique du programme a mené une mission d’identification des bassins versants dans les cercles de Bandiagara et Douentza. La mission a porté sur les communes Pignari, Lowol Gueou dans le cercle de Bandiagara et Dangol Boré et Koubewel Koundia dans le cercle de Douentza pour un durée 5 jours à compter du 04 au 8 juillet 2018. La mission a permis de faire un état de lieu des bassins identifiés et proposé les actions d’aménagement intégré des terroirs concernés. Read More...

RAPPORT D’EVALUATION FINALE DU PROJET D’ASSISTANCE MULTISECTORIELLE AUX REFUGIES, RETOURNES ET AUX COMMUNAUTES HOTES DANS LE SUD DU TCHAD EN MATIERE DE SECURITE ALIMENTAIRE, NUTRITION, PROTECTION ET WASH DE GORE ET DE MOISSALA.

CARE International est l'une des principales organisations humanitaires internationales de lutte contre la pauvreté dans le monde. Elle est présente au Tchad depuis 1974 et intervient dans la zone de Biltine, MARO, GORE, MOISSALA et dans le LAC. Au Sud du Tchad, ses interventions visent principalement les populations réfugiées, les retournés tchadiens de la République Centrafricaine ainsi que les communautés locales les plus pauvres et vulnérables. Suite à l’afflux des nouveaux réfugiés centrafricains au sud du Tchad principalement dans le Département de la NYA-PENDE et du MANDOUL dû à la crise centrafricaine, CARE a obtenu l’appui de BPRM pour le financement du projet dénommé « Projet d’Assistance Multisectorielle aux Refugies, Retournes Et Aux Communautés Hotes Dans Le Sud Du Tchad En Matiere De Securite Alimentaire Et Nutrition, Protection Et Wash à GORE et de MOISSALA».
La mise en œuvre dudit projet BPRM a démarré en septembre 2019 et a ciblé 48158 bénéficiaires (réfugiés, retournés et communautés hôtes vulnérables). Les actions essentielles envers ces différents bénéficiaires s’articulent autour de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, accès à la protection et aux mécanismes Wash pour une amélioration du niveau de vie des populations cibles. Après,12 mois de mise en œuvre, une évaluation a été menée auprès des bénéficiaires de l’action pour évaluer les résultats et les effets induits du projet.
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