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Projet Education Pour le Changement Rapport de l’Etude de Base

En juillet 2015, CARE Mali à travers le Programme Education a bénéficié du financement Patsy Collins Trust Funds Initiative (PCTFI) à travers CARE USA pour la mise en œuvre du projet novateur dénommé « Education For Change » (appelé Education Pour le Changement en Français et Jannde Yiriwere en langue locale Fulfulde). Education For Change (EFC) est partie intégrante d'un financement global accordé par CARE USA à sept pays dont le Mali pour les cinq prochaines années.En l'occurrence il s’agit du Zimbabwe, du Cambodge, du Kenya, du Rwanda, de l'Inde et du Népal.
Ce projet d'une durée de cinq ans sera mis en œuvre dans six communes des cercles de Bandiagara et Mopti de la région de Mopti (deux communes urbaines et quatre communes rurales). Les bénéficiaires sont estimés à 90.000 filles et garçons âgés de 10 à 18 ans, femmes et hommes. Les adolescents et adolescentes sont des non scolaires et scolaires au niveau de 50 écoles (primaires, fondamentales, secondaires, techniques et professionnelles). Les cibles sont les populations fortement affectées par les effets du changement climatique (sécheresse et inondation) et la crise socio-politique et sécuritaire survenue au Mali en 2012. Read More...

Revue à mi-parcours « Projet d’appui à la filière halieutique (PAFHa) au Mali »

L’objectif global du PAFHa est de « Contribuer à la réduction de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Mali ». Son objectif spécifique consiste à « Améliorer les revenus par un appui au développement de la filière halieutique ». Pour ce faire, le PAFHa vise à aboutir aux 3 résultats suivants :
- R1. La conservation, la valorisation et la commercialisation des produits halieutiques sont améliorées
- R2. La production halieutique (pêche/pisciculture) est développée par des pratiques durables
- R3. Les services techniques gouvernementaux et les organisations professionnelles sont impliqués dans le programme et leurs capacités sont renforcées.
120 campements de pêche et / ou villages de pêche ont été identifiés avec la DNP comme sites d’intervention du projet. Read More...

Synthese Analyse Rapide Genre – Est du Cameroun

La crise en RCA et l’afflux de refugies n’a pas changé les rôles et relations ci-dessus. Les seuls changements positif relevé est l’existence de plus de main d’œuvre pour le travail de la terre. Par contre tous les groupes consultes ont noté plusieurs impacts négatifs qui alimentent des tensions perceptibles entre les refugies et leurs communautés hôtes parmi lesquels:

- Accès aux soins de santé : les refugies sont soignés gratuitement dans les centres de sante existants, et les autochtones doivent payer leurs soins, longues files d’attentes au centre de sante car les refugies ont la priorité
- Accès à l’EHA: les refugies disposent de plusieurs forages alors que leurs forages sont soit non fonctionnels soit inexistant ou ne suffisent pas. Ils sont « obligés de payer l’eau dans le forage des anciens refugiés et/ou d’utiliser l’eau des rivières polluées par les défécations des réfugiés ».
- Accès aux produits de base sur les marchés : avec l’arrivée des refugies, les prix des denrées ont augmenté significativement, exemple la tasse de couscous de manioc est passée de 500 à 2000Fcfa),
- Pression sur les ressources en eau et le pâturage par les refugies et leurs animaux. Destruction des champs de cultures par les troupeaux
- Multiplication de cas de vols : sentiment d’insécurité au sein de la population autochtone qui attribue la recrudescence des vols à la présence des refugiés Read More...

RAPPORT FINAL Etude de base Projet Voix Collective des Femmes et des Filles dans les régions de Ségou & Mopti

Les résultats clés de l’étude de base de l’initiative « Voix Collectives des Femmes » sont présentés par résultat.
 Résultat 1 : La société civile est redynamisée via la structuration les Associations Villageoises d'Epargne Crédit (AVEC) en fédérations et le renforcement des capacités de leurs membres.
Le mouvement associatif féminin occupe un espace politique indéniable et compte un nombre important ’organisations faîtières. CARE International au Mali a mis en place plus d’une cinquantaine de réseaux villageois et une trentaine de réseaux communaux dans les régions de Ségou et Mopti. Les capacités de ces réseaux MJT ont été enforcés sur les techniques de plaidoyer et de négociation sociale, de leadership, de la planification, le suivi et la réponse à la crise alimentaire, etc.
Dans les sept communes enquêtées sur les 14, on compte 69 conseillères communales, soit 26% des élus communaux. Dix-huit (18%) des femmes, membres d’un parti politique, estiment être en mesure d’influencer les décisions au niveau de la communauté et non au niveau régional ou national.
Neuf personnes sur dix (9/10) des enquêtées font partie d’une association communautaire de base dont la plupart sont membres des groupements MJT créer par CARE MALI, soit 84%. La proportion des femmes enquêtées qui sont membre d’un organe décisionnel au niveau des collectivités territoriales et qui estime être capable d’influencer les décisions au sein de la communauté est de 48%. En effet, 26% affirment pouvoir influencer beaucoup les décisions au sein de la communauté, 19% modérément et 2% estiment qu’elles n’exercent aucune influence sur les décisions prises au sein de la communauté. Read More...

Évaluation Multisectorielle Conjointe Des Besoins Des Populations Hotes, Deplacees Et Retournees Dans La Region Du LAC

La région du Lac, l’une des plus vulnérables du Tchad, fait face depuis le début de l’année 2015 à un déplacement massif des populations réfugiées, retournées et déplacées internes. En fin d’août 2015, les chiffres croisés de OCHA1 et HCR donnent à 84 898 le nombre des hommes et femmes déplacées dans la région. A ce chiffre s’ajoutent quelques 14 000 personnes déplacées internes installées en septembre autour de Ngouboua. Le caractère dynamique des déplacements et le problème d’accès à certaines zones rend difficile la maitrise du nombre des déplacés qui selon la CNARR atteindrait 127 000 personnes.

Les personnes déplacées ont fui les enlèvements, les assassinats odieux, les abus sexuels et autres pratiques esclavagistes perpétrées par les membres de la secte Boko Haram sur les hommes, les femmes, les filles et les garçons dans le Nord Nigeria et les villages tchadiens qui leurs sont frontaliers.

Les réfugiés sont accueillis au niveau du camp de Dar Es Salam alors que les retournés et les déplacés internes sont répartis dans quelques 19 sites d’accueil et communautés hôtes dans les zones de Bol et Bagasola. Cette dernière accueille presque 40% de son effectif sans aucune préparation ni mesures d’accompagnement, ce qui entraine une pression importante sur les ressources et services déjà insuffisants de la zone.

Les acteurs humanitaires dont les agences membres du système des Nations Unies, quelques ONG internationales et des ONG locales apportent l’assistance aux hommes et femmes déplacés mais leur capacité reste limitée en raison de problème d’accessibilité lié à la sécurité et de l’afflux régulier des populations déplacées depuis juillet 2015.
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ROM Review: Initiative REVANCHE: Résilience et Adaptation aux Variabilités Climatiques, pour une Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle Durable au Tchad, Régions de Wadi Fira, Guera et Ouadaï.

PERTINENCE. La mise en oeuvre de l’action REVANCHE a confirmé la pertinence de la stratégie PRO-ACT Résilience qui a été à l’origine de sa conception et du choix du mode d’exécution du projet permettant la sortie de l’urgence et l’ancrage d’un développement durable au sein des communautés cible. Les réponses proposées sont appropriées pour satisfaire les besoins des bénéficiaires et soutiennent la Plan nationale de renforcement de la résilience des populations tchadiennes. La pertinence est maintenue tout au long de l’exécution car le projet répond aux besoins des plus vulnérables par des actions à effets immédiats par du cash qui permet l’accès
à l’alimentation et aux soins de santé.

EFFICIENCE. La mise en oeuvre s’est révélée efficiente et propice à une bonne progression vers la réalisation des résultats recherchés. Le projet a connu un retard dans son démarrage mais dont les causes relèvent, pour la plupart d’entre elles, de facteurs externes au projet lui-même.

EFFICACITÉ. Le projet a été efficace à livrer la majeure partie des produits planifiés, notamment ceux consistant en travaux et réalisations d’ouvrages physiques et en appuis méthodologiques et logistiques aux parties étatiques et ONG partenaires.

DURABILITÉ. La problématique de la durabilité se pose encore en termes de capacité des communautés à s’approprier les apports du projet. Quatre ONG nationales ont pris part à l’exécution du projet REVANCHE et ont bénéficié d’un paquet de formations et du coaching progressif de CARE et OXFAM. Mais les organisations communautaires de base (organisations paysannes, groupements féminins, artisans réparateurs de pompes, groupe pour le système d’alerte précoce, GIE d’ouvriers maçons, …) qui constituent le socle de la stratégie de durabilité de l’action sont encore à un stade embryonnaire et requièrent des appuis et une mise en réseau entre eux et avec les services publiques Read More...

Evaluation finale du Programme Actions Intégrées Nutrition et Alimentation (AINA)

Financé par l'Union Européenne au titre du 10è Fonds Européen pour le Développement (FED), le Programme Aina s’inscrit dans l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD-c1) qui est de «contribuer à la réduction de la proportion des familles vulnérables qui souffrent de la faim». Son budget total s’élève à 12,5 M€ pour une durée initiale de 36 mois à la date de signature entre l’UE et la FAO (07/05/2013) qui assure son pilotage. Les interventions du programme s’articulent autour de 3 axes dont (i) l’augmentation de la production agricole vivrière, (ii) l’amélioration de la disponibilité et le l’accessibilité alimentaire et (iii) l’amélioration de la pratique nutritionnelle et l’hygiène. Elles ciblent 107507 ménages vulnérables des 106 Communes réparties dans 16 districts réparties dans les 5 régions d’intervention (Amoron’i Mania, Androy, Anosy, Atsimo Atsinanana et Vatovavy Fitovinany). Ces zones, dotées d'un capital naturel de grande importance (terres arables, filières agricoles et de rentes, ressources naturelles), sont classées parmi les plus vulnérables où les indices de développement humain sont les plus bas de tout Madagascar. Read More...

Etude de base du Projet PACTE

Suite à de nombreuses études au Bénin, il a été révélé qu’au moins 7882 enfants vivent en situation d’exploitation dans les marchés ; 7,2% sont victimes de rapts et séquestrations ; 1,4% sont violées et harcelées sexuellement et 89% font l’objet de traite.
CARE est une Organisation Non Gouvernementale qui intervient au Bénin depuis 1999. Grâce au financement de l’Union Européenne, CARE BENIN/TOGO met en oeuvre le projet « Partenariat Contre le Trafic, l'Exploitation des Enfants et les Violences faites aux Filles et aux Femmes » (PACTE) qui vise à contribuer à l'éradication de l'exploitation et des violences envers les enfants et les femmes au Bénin.
Le projet PACTE intervient dans quatre (04) départements, à raison de deux communes par département : Karimama, Malanville, Kalalé, Nikki, Djougou, Ouaké, Kétou et Pobè.
Pour apprécier les changements induits par le Projet, CARE a initié l’étude pour (i) identifier la valeur de base des indicateurs et(ii) analyser les connaissance, attitudes et pratiques sur la question du trafic, l’exploitation des enfants et les violences faites aux femmes et aux enfants. Read More...

Evaluation Finale “Dans les Zones de Feed the Future” du Projet USAID/Nutrition et Hygiène/ CARE dans la Région de Mopti – Mali.

Health International (FHI 360), International Rescue Committee (IRC), CARE International au Mali avec son partenaire malien l'ONG Yam-Giribolo - Tumo (YA -G- TU) - (Association pour la Promotion de la femme). L'objectif global du Projet est d'améliorer l'état nutritionnel des femmes et des enfants, avec un accent particulier sur le renforcement de la résilience à travers la prévention et le traitement de la malnutrition, tout en ciblant la «fenêtre d'opportunité» de 1000 jours de la période de conception de l'enfant jusqu'aux deux premières années de sa vie; et cela dans neuf (9)) districts sanitaires, dont Nara (région de Koulikoro), Niono (région de
Ségou), Mopti, Bandiagara, Bankass, Tenenkou, Youwarou Djenné et Koro(région de Mopti). Initialement, trois (3) objectifs stratégiques étaient assignés au projet USAID/Nutrition Hygiène, que sont : (i) accroître l'accès et la consommation d'aliments diversifiés et de qualité, (ii) améliorer la nutrition et les comportements liés à l'Hygiène et (iii) accroitre l’utilisation des Services à Haut Impact en Nutrition et en Eau, Hygiène et Assainissement. En mai 2016, le projet a bénéficié d’un fond additionnel qui a permis de renforcer les activités au niveau de l’objectif stratégique 1 et d’ajouter un quatrième objectif stratégique, qui consiste à « Contribuer au renforcement de la capacité institutionnelle et opérationnelle de la DNACPN1 pour la mise en oeuvre de la stratégie post FDAL (Fin de la Défécation à l'Air Libre) au Mali». L’objectif de cette évaluation finale est d’apprécier le niveau d’évolution des indicateurs du
Projet entre l’étude de base et étude finale. De façon spécifique il s’agit d'évaluer les niveaux actuels des indicateurs agricultures, les indicateurs Santé/Nutrition/WASH d’une part, et d’autre part, de mesurer l’impact des émissions radiophoniques sur les communautés
bénéficiaires.
De façon globale des résultats forts encourageants sont notés, car la plupart des indicateurs ont connu des améliorations par rapport à leur valeur de base en 2016. Read More...

ÉVALUATION FINALE ET LA CAPITALISATION DU PROJET « RELÈVEMENT ET RENFORCEMENT FINANCIER DES POPULATIONS VULNÉRABLES AFFECTÉES PAR LA COVID-19 (COOPERER III) »

Pour contribuer à la lutte contre la pandémie Covid-19 initiée par le gouvernement camerounais, l’ONG de développement CARE International au Cameroun a mis en place le projet « Relèvement et renforcement Financier des populations vulnérables affectées par la COVID-19 », en abrégé « ResCOV-19 » ; soit COOPERER III avec l’appui financier du Centre de crise et de Soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères. Le projet est exécuté dans les communes de Kaélé et Touloum du département de mayo kani et la Commune de Yagoua du département de Maayo Danay, et avait pour objectif de contribuer à l’accès aux services sociaux de base en matière d’eau et aux opportunités économiques des femmes et des jeunes touchés par la pandémie de la COVID-19, sur la période allant du 1er janvier 2021 au 31 Mars 2022 soit une durée globale de 15 mois.
Arrivé à son terme, une mission d’évaluation externe a été réalisée pour renseigner les critères usuels d’évaluation que sont la pertinence, la cohérence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et l’impact.
Cette mission a utilisé une approche mixte qui combine les techniques qualitatives et quantitative pour obtenir les données aussi bien primaires que secondaires. A la suite de la première phase de revue documentaire, une collecte des données primaires a été réalisée auprès des personnes ressources pour ce qui concerne les entretiens et focus-group et dans les ménages et auprès des membres des AVEC d’une part et l’inventaire des points d’eau d’autre part avec les outils d’enquête par questionnaires. Ces outils ont été déployés dans les 03 communes du projet Kaélé, Touloum et Yagoua. Une répartition de 70% et 30% respectivement pour les bénéficiaires, membres des AVEC et les ménages non bénéficiaires a été observée. Pour la constitution de l’échantillon des membres des AVEC, 70% des femmes et 30% des hommes ont été définis. La méthodologie mise en place a permis de réaliser 29 personnes (05 femmes et 24 hommes) lors des entretiens avec les personnes ressources, 18 focus group (07 Comités de gestion des points d’eau, 08 AVEC et 03 micro-assurances) avec 88 femmes et 87 hommes et d’administrer 576 questionnaires (Membres des AVEC, Ménages) soit 435 femmes et 141 hommes. Après la collecte par questionnaires grâce à l’application de collecte numérique (Kobocollect), s’en est suivi la phase d’apurement et traitement dans Excel.
Malgré le retard constaté dans la mise en oeuvre de certaines activités du fait du Covid – 19, 39 649 personnes dont 22 655 femmes (soit 57 %) (Sans double comptage) ont été sensibilisées directement dans les communautés, par porte à porte et séance en groupe de 15 à 30 personnes, sur les thématiques tels que la prévention de la COVID-19 et le respect des règles d’hygiène et de salubrité, le civisme, le genre, le planning familiale, etc. le projet a également couvert environ 150 000 habitants suite à la diffusion des messages radiophoniques de sensibilisation.
L’analyse des différentes questions d’évaluation montre que le projet COOPERER III est cohérent car il s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 et dans le plan riposte contre la Covid-19 du Cameroun. Le projet s’aligne également aux lois et aux directives nationales et sectorielles et à la mission de Care qui vise à sauver des vies, vaincre la pauvreté et parvenir à la justice sociale. Du point de vue de sa pertinence, le projet apporte une réponse aux besoins spécifiques des différentes catégories de cibles (femmes, hommes et jeunes hommes, jeunes femmes) et des populations et a mis en place des approches et mécanismes de suivi-évaluation des activités du projet adaptées pour la mesure des résultats.
Le projet dans sa globalité a contribué aux changements des comportements au sein des AVEC, au sein de leurs ménages et leur statut social au sein de leurs communautés ; à l’équipement des AVEC ; au renforcement des capacités des membres des associations. En terme de changement, il a été constaté que : (i) les membres de comités de gestion des points d’eau formés nettoient et entretiennent leur point d’eau, (ii) les membres des AVEC tiennent des AGR et organisent régulièrement des réunions et sont engagés à réaliser une activité propre à leur AVEC ; (iii) que les personnes sensibilisées sur les bonne pratiques d’hygiènes font plus attention dans la manipulation des denrées alimentaires ; etc. Outre ces changements, le respect des règles d’hygiène (lavage des mains, des toilettes et récipients d’eau, etc.) et des mesures anti Covid-19 (port des masques facials, distanciation sociale, etc.) par les bénéficiaires s’est accru grâce aux activités du projet. Le projet a également permis aux bénéficiaires directs et indirects d’améliorer leurs connaissances, attitudes et pratiques sur plusieurs aspects. Il s’agit notamment des mesures de prévention et de protection contre le COVID-19, l’hygiène autour des points d’eau, mais également les connaissances des membres des AVEC sur des thématiques telles que la comptabilité simplifiée pratique, l’entrepreneuriat, le marketing, les techniques d’animation et de sensibilisation des groupes, etc… Read More...

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